Arbrissage ?

bon en ce qui me concerne pas encore d’arbrissage :mrgreen: chez moi il n’y en a plus trop on va éviter.
par contre au tout début ou je voler un collegue fait une frontale…freine trop…décroche et fini par chance dans un pin.lui rien la voile non plus.

deuxieme: un autres collegue avec une oasis fait un hélico qu’il ne savait pas trop faire et apris par un pot…bref pas haut.au moment ou il sort de ses deux trois tours il parachute et a ce moment là il freine, decro assymetrique et l’abatté elle aussi fermeture autorot… secour(dans les suspentes) et les petits sapin.presque rien le bougre juste des égratignures et revole 15 minutes aprés le crash.

enfin bon j’aime bien les arbres…plus que les caillasses!
en meme emp ceux qui sont resté aprés la tempete de neige sont juste des piqués de bois prés à nous empalé :?

Bonjour,

Malgré vos flood intéressant avez-vous de bons conseils?

Choisir la tête de l’arbre? Ou plutôt entre deux et l?aile s?accroche? Et quel type d’arbre et mieux?

Faire un arrondi ? Tomber en parachutale? Privilégier plutôt de protégé sa figure avec ses bras?

ET

[quote]si vous vous retrouvez pendu dans un arbre et que ça a l’air bien stabilisé, surtout ne plus bouger et attendre les potes ou les secours, à moins davoir dans son sac une corde pour tirer un rappel, mais je ne connais personne qui vole avec une corde dans son sac
[/quote]
Pas d?accord!
1-Pourquoi attendre(6hrs) les secours si vous pouvez vous débrancher seul?
2-Oui j?ai un kit de d?ébranchage qui n?a jamais servi pour l?instant?

entre les deux c’est craignos…non??
plutot la partie bien verte.
à oui l’arrondi c’est bien aussi, tu casses la vitesse.
réflexe tu la protege ta petite mine, enfin c’est normal.

Re,
Instinctivement on ne cherche pas à toute éviter donc on finie à passer mais pas l?aile.
On ne peut pas faire une arrondi / parachutale et à 2m se protéger?

j’ai pas encore pratiqué la technique de l’arbrissage mais le collegue qui l’a fait s’est poser comme sur un atterro mais sur un pin :mdr:

je pense la technique est bonne mais pas l’arbre (bon si possibilité de choix existante biensure)

On m’a dit que quand il n’y a plus d’autre choix possible que l’arbre, la technique de “l’enroulage” du conifère en commençant par un bout plume permettait un arbrissage en douceur !

Je confirme! :roll:
On doit dissiper l’énergie dans la rotation plutôt que dans l’empalement… :evil:

Pas d?accord!
[/quote]
c’est ton droit, je n’empêche personne de faire autre chose.

c’est ce qu’ont du se dire ceux qui sont tombés de l’arbre en voulant en descendre tout seul, et qui par après en sont décédés ou grièvement blessés, y’a plusieurs cas concrets qui me viennent en tête, des chutes de 20m c’est pas anodin (non, sans blagues ?).
Donc si je me retrouve en présence de quelqu’un qui pense assumer tout seul, je lui dis d’abord comment je vois le truc, si après il insiste, ben moi je n’insiste pas, mais faudra pas venir pleurer chez moi après si ça tourne vinaigre parce que là on va avoir une discussion intéressante et animée.

dans ta sellete ?
c’est ton droit aussi

A+

:coucou: allez! je raconte ma p’tite histoire
Ya environ 1ans et demi, nous vla parti avec le gilou :speedy: pour st hil: comme d’hab, on a le couteau entre les dents; impatient d’etre en l’air. :ppte:
on arrive sur la moquette, la tendance est sud avec une bonne bouffe de temps en temps. Le gilou me dit que ça devrair forcir :prof: dans l’aprèm. donc je me grouille de préparer ma voile. nous voila fin prêt, mais les créneaux sont super étroits :grat: . Je finis par décoller (je serais le dernier du jour). aprés avoir glandouillé 5 minutes au pilier sud a faire le yoyo comme un con dans les rouleaux de sud :koi: , je repasse devant le déco et vois gillou et 2 ou 3 autres toujours skoché sur la moquette. Je m’éloigne vers le deco sud, d’un seul coup je sent ma voile secoué et instable à mort :affraid: , du coup je m’ecarte du relief, et là: VLAN! je ramasse tout le coté droit sur la tronche, départ dirrect en autorot. que je contre au bout d’un demi tour, je me retrouve face au vent dans une espece de machine à laver, et VLAN! re-tout sur la geule, re-autorot re-contre, le tous se terminant par une magnifique abatée :vrac: face a la valée, le truc c’est que entre moi et la valée yavait une magnifique rangée d’arbre inévitable: et voilà! me voila pendu a 15 metres du sol sur un espece d’abre a moitier mort avec un tronc de maxi 25 centimetres de diamètres.

aprés être descendu, remonter semblait vraiment perilleux, et malgrés les conseils très avisé de gilles et richard (mes sauveurs intelligent EUX!), chui quand même allé cherché ma voile avec un facteur risque beaucoup plus important que le skech lui même. C’est claire la logique aurait voulu qu’on laisse la voile et q’on revienne abattre l’abre déjà bien pourri, mais ça aurait surement tué la voile, et la colère, l’enervement du moment , et mon sale carafond têtu bourrin m’a poussé a y retourner. voila, voila, sur le coup on fait pas toujours des choix logiques, même si à la sortie c’ était le bon choix puique j’ai pu récupéré ma voile intacte, avec un peu de sueur quand même. :coucou:

:coucou:
Ouais, je me souviens de l’affaire…La voile était dans un arbre (dans une bonne pente) bien haut, pas très gros, en plus complètement pourri en bas et brassé par le vent du sud…Steph faisait le singe au sommet pour décrocher la voile et moi je lui suggérais de descendre avant que l’arbre ne casse… :affraid:

Franchement c’était pas très “safe”, heureusement à force de couper des branches, ça a donné moins de prise au vent et le fait de monter un sac pour ranger la voile au fur et à mesure a permis de gagner du temps.
M’enfin, il fallait avoir un bon physique de grimpeur pour faire ce que Steph a fait ce jour là…et aussi être sacrément têtu ! :bang:

En tous cas, depuis j’ai dans une poche accessible de ma sellette une petite corde de 20 m.

Gilles

:stuck_out_tongue:
Pendant que j’y pense, en technique d’arbrissage, notre Pierre à nous a déposé une technique propre à lui.
J’ai appelé ça ( normal, je l’ai vu faire en direct ) la technique “Koala”…en résumé c’est : je vise le tronc de l’arbre et quand j’arrive dessus mes bras et mes jambes l’entourent :dent:
Hyper efficace et très élégant :mrgreen:
La prochaine fois que vous le croisez, demandez lui qu’il vous explique en détail… :dent:

:pouce: ECXELENT! :lol:

Petite expérience personnelle… il m’est arrivé 3 fois “d’arbrisser” et les deux premières fois je me suis fais mal… au visage !
La figure tapant dans le tronc ou dans une branche… depuis j’ai adopté pour cette raison le casque intégral et la troisième fois c’est la mentonière du casque qui a tapé dans une branche… c’est p’tet un peu secondaire mais ça me semble être un paramètre intéressant pour abrisser sans trop de bobos :shock:

du bon déterrage en bonne et due forme, :mrgreen: mais je suis sur que depuis 2 ans et demi, il y a plein d’anecdotes graveleuses à se mettre sous la dent :twisted: :twisted: :twisted:
bon, je commence par moi-même, deux têtes à têtes avec des arbres.
le premier aux alentours de mon 10eme vol à verel:
déco hors cycle. toute les voiles commencaient à monter au sire, je décole, quedalle, je m’enfonce inexorablement, et arrivé très bas, j’essaie un dernier virage… face à la pente… badaboom perché à environ 10mètres. je me rapproche du tronc le plus proche, et me laisse descendre position “koala”, (ca racle joliement bras et jambes). bien sur sans radio, donc le mec qui s’était posé juste en dessous, je vais le rejoindre, il annule l’intervention des secours et on mettra toute l’aprem à débrancher la bright.

deuxième: l’an passé, déja plus expérimenté, mais premier vol sur ce site (lorraine), les conditions sont fortes, effet venturi sur le déco, thermique et dynamique. ma voile au lieu de partir tout droit vire sur a droite, je contre à gauche à la commande , malheuresement, au même moment ma voile repart à gauche, -> surpilotage… et en plus de ceci, je la freinnais trop donc quand j’ai voulu repartir à droite, elle n’a pas répondu… elle est donc alée gentiment recouvrir un feuilludu déco. je met retrouve à 1 mètre du sol et les franches rigolades des copains aux oreilles :grrr: . heuresement, ils sont venus m’aider à débrancher le bouzin :bisous:

depuis plus rien… et comme dirait le dicton… je touche du bois!

à vot’ tour! :forum:

Tiens, marrant ce déterrage. J’ai pas tout lu mais je peux raconter mon histoire en espérant que ça servira à quelques jeunots. Ça pourrait s’intituler “Quand on cherche, on trouve”…

Ce devait être en 1998. A l’époque je n’avais encore jamais volé avec une voile compétition et j’avais un copain qui venait de se pointer avec sa toute nouvelle Tigra, aile compète de chez Apco. Il commence évidemment à me proposer de l’essayer et je lui dis, non, c’est pas raisonnable, j’ai pas le niveau, patati et patata… On se retrouve à l’atterro après un vol pas terrible en conditions faibles. Bien sûr ça me démangeait et on en reparle. Allez, ça va être un vol de fin de journée, je craque ! Petit problème, je faisais à l’époque un ptv de 75 kg et le bas de fourchette de sa taille était à 85 kg… Mais la décision d’être con étant prise, on trouve toujours des solutions. Son matos étant bien plus lourd que le mien, il me passe tout et comme ça j’arriverai bien au moins à un peu plus de 80… Et nous revoilà au déco, lui me faisant la rotation et moi avec une aile compétition trop grande et inconnue, une nouvelle sellette pas à ma taille et réglée pour lui, et chargé comme une mule pour peser plus. Tiens, au moment de partir on s’aperçoit que si j’ai pris un maximum de trucs inutiles, j’ai par contre oublié ma radio en bas !
Je finis par m’arracher du sol, impatient de tester la bête. Pas de thermique devant le décollage, je file donc droit vers le relief le mieux exposé Ouest. Je ne suis pas impressionné par la vitesse mais par le planer oui. Arrivé à destination, je remonte dans des bulles, sans trop rien sentir à la commande, tout au taux de chute (excellent) et au rendement du virage. Je vole 3/4 d’heure comme ça, je suis le seul à tenir en l’air… Je teste une ligne droite vers le village, trims lâchés et là ouais ! ça avance et ça ne perd pas ! Demi-tour, je reviens au relief, je re-trimme tout et ça remonte ! Bon, mais va falloir se poser, je les vois tous qui m’attendent en bas. Donc, direction l’atterro. Comme j’ai trouvé que ça bougeait pas beaucoup cet engin avec son suspentage long, tiens faisons un peu de tangage pour voir. Allez, j’enfonce, je relâche, il ne se passe pas grand chose. Je continue, bon ça passe pas vraiment devant. Niarf ! Je vais lui en mettre un bon coup, j’enfoooonnnce… Hirf ! Les freins molissent direct ; je relâââche progressivement… Ouf ! pas d’abattée… Mais bizarre, l’aile est molle et en fait je m’enfonce à la verticale avec de vagues mouvements de lacet. Belle parachutale très cher… ! Je regarde l’aile, ça serpente un peu au-dessus de la tête. Coup d’œil vers le bas, j’ai du gaz et ça ne descend pas fort. Allez faut que ça revole : mains dans les poulies… Ça aurait pu revoler…Mais ça ré attaque toujours dissymétrique et j’ai peur de ne pas maitriser l’abattée. Donc à chaque fois je cherche à rééquilibrer par de petites corrections aux freins… Erreur ! Je ma la réexpédie toujours en parachutale. Je garde l’œil rivé sur la voile et c’est ainsi que je vois passer des feuilles, des brindilles, des branches et chhraaff ! me voilà bloqué dans l’arbre. Je le crois pas ! Je suis branché !
Je crie en direction de l’atterro que tout va bien (pas de radio…) et je me prépare à attendre les secours. Je sais que dans cette configuration on se sur-accidente en voulant descendre par ses propres moyens… Donc je me cale dans la sellette… j’ai bien du tenir 42 secondes… Bon, je suis accroché par le haut, pendu à environ 4 mètres du tronc sur un hêtre de 30 mètres de hauteur… cette branchette là, si je tends le bras je peux l’atteindre… tiens elle résiste, je tire dessus et me tractionne vers le tronc… je finis par arriver à le ceinturer malgré l’aile qui me tire fort en arrière… voyons, c’est des boucles automatiques, ah oui la ventrale s’ouvre d’une main… clic, clac les cuissardes aussi et sschhtoïïïng ! tout le bazar remonte en effet fronde 5 ou 6 mètres plus haut et pend dans le vide ! Merde, pas prévu ça !
En attendant, descendons. Facile au début, un véritable escalier… mais voilà, encore bien haut, plus de branches ! Le tronc lisse. Bon, vais pas m’arrêter là, je ceinture le tronc et commence à me laisser glisser… mais il devient rapidement de plus en plus gros, je sens que je vais finir par lâcher, les bras écartés ! Non ! Juste avant de lâcher prise je touche le sol… sur un muret d’1,50m de haut (sur lequel le hêtre appuie sa base) qui donne dans la pente et je manque de peu de tomber en déséquilibre dans les cailloux ! Je me rattrape in-extrémis et m’assied… Re-Ouf !
Cinq minutes de marche plus tard je croise l’équipe de secours qui montait à ma rencontre. Un copain est venu avec des cordes et une scie, il remonte dans le hêtre, scie une seule branche et tout le matos tombe. Une heure après la parachutale on est à l’atterro, je n’ai absolument rien et le matériel non plus.
Pendant toute la durée du sketch, j’ai gardé le regard fixé sur la voile, je suis arrivé près du sol sans m’en rendre compte, s’il n’y avait pas eu d’arbres ç’aurait été pareil !
Tout le temps je n’ai pensé qu’à me battre pour faire revoler l’aile mais ma technique était défaillante.
Jamais l’option secours ne m’a traversé l’esprit.

Depuis, j’ai toujours dans les poches latérales de la sellette de quoi m’assurer ou remonter une corde, ainsi qu’une scie pliante. C’est du lest utile…

Mr Montant finissant ds les arbres d ailleur je comprend pas trop pourquoi il tire pas en vallée des quil a la cravate ? peut etr qui pouvait vraiment plus controler ca voile …

http://www.youtube.com/watch?v=eYQsk7hJhvo

il semblerait qu’il soit deja a la limite du decro en essayant de garder le cap …

et un petit coup d’accelo pourrait être utile sur cette configuration et tracer au dessus des champs?

Il visait peut-être le golf, car la ‘vallée’ c’est d’abord une ligne de chemin de fer, une autoroute et seulement ensuite les salades…