Aujourd'hui j'ai volé....imprudence, inconscience ou euphorie ce vol ?

Concernant les fermetures.
Tu viens de mettre le doigt sur le problème que je rencontre.
Comment rester général, mais quand même apporter une aide constructive.

Pour ce qui me concerne, une fermeture n’est pas anodin et doit être considéré comme un incident.
Même un clignotement de bout d’aile.
Quand j’ai les bouts d’ailes qui clignotent, je me dis que je suis soit déconcentré, soit en manque de sensations, soit en retard.
Quand je vois beaucoup d’ailes avoir des fermetures modérées, je me dis que la masse d’air n’est pas simple et je commence à adopter un régime de vol de crise.
(J’observe énormément, j’essaye de vérifier les évolutions, vent, brise, couverture etc…)
Si moi même j’ai plusieurs fermetures, à des endroits différent, j’écourte le vol.

Il est vrai que la pluie est couramment banalisée.
Il faut impérativement atterrir avant la pluie.
Nos aéronefs ne sont pas fait pour voler avec de l’eau sur les suspentes et sur l’extrados.

sans entrer dans la polémique

  1. pourquoi voler quand il pleut ?
  2. en quoi un clignotement d’aile témoigne-t-il d’une erreur de pilotage ?

:grat:

C’est une erreur de pilotage, car soit tu as mal centré le thermique (bout d’aile à l’extérieur du thermique), soit tu n’as pas mis de coup de frein extérieur au bon moment, soit t’as pas fait les 2.

On ne vole pas quand il pleut, on essaye juste de sauver un rare vol avant le début des averses au milieu d’un printemps pluvieux et puis comme ça thermique bien on est encore en l’air quand ça commence. Tant qu’on parle d’averses printanières sous des cumulus mediocris (pas congestus !) je pense que le risque est calculé parceque ça se limite toujours à quelques gouttes, on peut s’éloigner du nuage tout de suite et aller se poser dans le quart d’heure qui suit. Perso je considère qu’il vaut mieux prendre le risque de prendre quelques gouttes en volant ces journées pour garder un minimum de pratique et être préparé pour les rares bonnes journées forcément instables entre les journées pluvieuses plutôt que de ne voler que les bonnes journées et être constamment en vol de reprise dans des conditions fortes.

[quote=“PiRK,post:63,topic:40212”]
you’re talking to me ?
enfin plutôt “tu cause de moi ?” :canape:

c’est pas la peine de la ramener paske tu as beaucoup plus de points que moi :stuck_out_tongue:
35% … :koi: quand même !

Désolé, ce n’était pas très clair dans ton message de savoir ce qui venait de la liste de Limo ou de tes observations (en tout cas, visiblement. je n’ai pas compris).

Non, je parle pas de toi, toi t’es un warrior avec ton aile de compète collector 8) Mais je me pose des questions sur le nombre de pilotes qui ont fini aux arbres, sous le secours ou pire sur les deux bonnes journées qu’on a eu en avril-mai pour l’instant, et je me dis que le manque de pratique peut être une explication. Ou peut-être que les statistiques n’ont pas changées et que c’est juste qu’il y a plus de pilotes en l’air ces deux jours qu’au cours d’une journée printanière classique une année moins pourrie :grat:

Pas de soucis : tout vient de la liste de Limo : j’aurais du mettre des quotes

A propos Piwaille, c’était excellent de te suivre en Live Tracking lundi! En même temps que Sly, Kepsilon et José… Dommage que le signal ait lâché sur le Grand Som!

Ouaif, je ne pas vois les thermiques aussi bien structurés que ça, ou alors parfois si étroits que le rayon de braquage de l’aile fait que celle-ci s’y inscrit difficilement. Bref, pour moi le clignotement me dit 2 choses : je n’ai pas trop de frein :ange: ou alors il faut que je me replace dans le thermique :oops: . En résumé je suis partiellement d’accord.

J’ai bien lu tout le texte et personnellement je me contente d’humidifier mon aile au contact d’un cumulus humilis ou mediocris :eclaircie:

:mrgreen: Raaa l’autre, comme il est de mauvaise foi…

partiellement seulement :tomate:

[quote]Même un clignotement de bout d’aile.
Quand j’ai les bouts d’ailes qui clignotent, je me dis que je suis soit déconcentré, soit en manque de sensations, soit en retard.
[/quote]
Faut pas exagérer quand même, des bouts d’ailes qui flappent dans une aérologie un peu turbulente, c’est des choses qui arrivent.

On peut pas tout contrôler, puis ça dépend des ailes en plus. Certaines y sont plus sensibles que d’autres. Je considère ça comme quelque chose de normal en vol thermique quand c’est un peu haché.

++

Ouf … un qui pense comme moi. J’aime bien donner des karma+ aux gens qui pensent comme moi :mrgreen:

:+1: ca suffira!
(faut pas non plus galvauder les karmas! )

et puis la check-list est plutot pour les debutants, donc des bouts d’ailes d’Alpha faut deja y aller pour que ca bouge!

On va me dire que c’est de la mauvaise foi, mais je me méfie toujours quand ça ne bouge pas un peu (en thermqiues): ça peut aussi vouloir dire que je bride trop l’aile et que plutôt qu’un bout d’aile qui clignotte, c’est le tout que je vais me ramasser sur le g… et sans avertissement. OK … on va me répondre "pilotage actif … ". Enfin tout n’est pas noir ou blanc … je me situe dans le gris :averse:

t’es neutre quoi… T’es pas suisse ? :sors:

moi qui ne voulais pas me mouiller … encore raté ROTFL

les échanges relatifs au PDA de papy ont été déplacés vers Instruments de vol.

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