Mais POB ta réflexion sur l’inutilité vient en fonction de ton approche et de ton engagement.
Ton passager lui, n’a pas cette vision et probablement n’est pas à même de saisir les implications de ces choix de matériel.
On ne peux faire ces choix à sa place alors en bi, on se doit d’en mettre le maximum. On ne peut demander à un passager passif par définition d’accepter le même engagement que l’on accepte pour soi. On ne peut proposer à tt le monde un baptême en montagne sous un bi awak ou un bidule, peu de gens accepteraient.
Dans ton “apriori” tu oublies un truc que tu comprendras vite en faisant des bis. Tu ne peux jamais présumer du comportement de tes passagers. Tu te dis qu’un montagnard ne devrait pas poser de pbs au départ de la Dent de Crolles* et au final, il devient ton mètre étalon du déco laborieux et du posé sur le cul. Pas de bol.
Un bi entre deux pilote, les deux sont OK pour partir ultra light, pas de pbs.
Un bi en rando avec 1000-1500m de dév, tant que l’on n’est pas en para-grimpe ou paralpinisme, on doit mettre le max.
Tant que je suis en rando, j’ai mon secours monté sur ma Twin avec un mousse bag pour moi et mon passager à une string kruyer avec un Sak modifié où j’ai isolé la partie dorsale de l’airbag comme Ticho. Je me retrouve alors avec deux sacs corrects à porter.
Donc je me retrouve avec tout: ceinture et bretelle, je peux partir en cross, envoyer ce que je veux en l’air. Je vais rarement en montagne juste pour descendre. C’est bien sympa de crosser à partir de points hauts.
Après en alpi c’est une autre sauce, on part dans une logique de descente, l’aile sert à diminuer les temps de sortie et le public est déjà plus sélectionné, plus averti. Alors là, c’est radical, bi en 38m², deux strings et en avant la Mado…
Pfff, vivement les conditions qu’on vole un peu. J’passe trop de temps du le fofo…
- Aller Madame Vivi, on y va cette année!!!