Si à ces deux phénomènes négatifs on rajoute le phénomène d’inversion de température qui bloque l’air froid dans les fonds de vallée et empêche la formation des thermiques, on obtient des conditions hivernales très peu favorables aux thermiques. Dans les alpes du nord, sauf exception on oublie les thermiques de fin octobre à fin février. Les chanceux qui vivent plus au sud sont moins frustrés que nous ! 
Il reste des vols en conditions souvent calmes dans un air froid plus dense ce qui permet d’avoir une aile plus réactive. On oublie les cross d’enfer et on passe aux vols randonnée pour les sportifs, aux rotations rapides et autonomes grâce aux remontées mécaniques, aux runs de fou en speedriding, aux vols dynamiques dans un vent plus ‘lisse’ qu’en conditions thermiques. De quoi attendre sans trop s’ennuyer le retour du printemps !


J’ai juste secoué un peu l’arbre pour faire tomber les fruits





:sors: cela dit il montait encore à 10m/tour dans son thermique avant de traverser le Manival…