Si le traitement des protestations restent au niveau de l’organisateur et de la CCPP, celui des réclamations doivent respecter celui du Code du Sport, à savoir elles doivent être instruites par une commission indépendante!
Est-ce que ce point va-t-il être appliqué?
Nous avons vu récemment que le Président de la FFVL s’autorisait à être juge et partie, et court-circuitait même les réclamations avec la complicité du Président et des membres de la CCPP et du Bureau Directeur : des actes totalement inadmissibles dans un Etat de droit comme le nôtre.
Ben qu’est-ce que tu fais là ?
Tu voles pas aujourd’hui Piment ? Il a l’air de faire beau dans las PY non ?
Oui t’attends qu’il fasse vraiment un temps de CCCP ?
Ben je me suis fait opérer y a juste 1 mois alors j’attends que le tibia se ressoude…
Si vous vous foutiez un peu sur le groin dans ce fil ça serait sympa et distrayant…
Pour la transparence, il suffit de lire les différents CR pour se rendre compte que certains ont peur de donner trop d’infos, de toute façon les gueux ne peuvent pas comprendre… ce qui est souvent vrai mais avec quelques explications beaucoup de décisions peuvent être comprises et acceptées. Cacher les raisons d’une décision, c’est simplement armer une bombe à retardement.
Dans le cas présent, je fais directement référence aux interventions directes des Présidents qui se permettent de bafouer les règlements sportifs et les Lois sur le Code du Sport. Même sans les connaître, nous savons tous que nous ne pouvons pas juger une affaire pour laquelle nous sommes acteurs.
Si Nicolas, en tant que nouveau Président de la CCPP n’est pas capable de s’engager pour + de Justice sportive, alors sa mission aura déjà échoué.
Si je ne m’abuse, il s’agit de 2 documents transmis en décembre 2012, intitulés “Indemniser-Reconcilier” et “Constats et propositions”, adressés au président de la FFVL.
Une relance par email, lettre et fax à ce sujet a été adressée au président de la Commission Compétition Parapente en avril 2013, copie le Président de la FFVL, copie la Direction Technique Nationale, au sujet du courrier précédent, …
Enfin, en juin, une lettre ouverte au président de la FFVL
Je me trompe ?
Si c’est bien le cas, il faut que tu t’adresses à l’intéressé : le pdt de la FFVL ou le Bureau Directeur ou le Comité Directeur, …
N’étant ni l’un ni l’autre, je ne peux guère faire grand chose pour toi, …
Ne t’y trompe pas, mes actions ont un but qui s’étend bien au delà de ma personne, même si je sers parfois de support.
Ma question aurait pu être :
Quels sont tes engagements pour mettre fin aux abus de pouvoir que nous avons constatés?
Est-ce que la FFVL, et plus particulièrement la compétition parapente, restera un espace de non-droit?
Mettre la pression à Nico est indigné de toi. C est UN BENEVOLE. Quelque soit le résultat de son mandat, je le félicite de l avoir accepté et je suis très fier de lui.
Te concernant, toutes les voies d’appel du CNOS t’étaient ouvertes, tu n’en a saisie aucune. Cela me déçois beaucoup. Je suis le président de la commission disciplinaire de la FFVL et je n ai jamais été saisi de quelques demande que ce soit.
Merci de respecter le travail des bénévoles, c est tellement difficile à trouver !!
Fabrice aussi est un bénévole qui se dévoue pour le vol libre.
Je crois qu’on est encore en démocratie pour le moment.
Faut quand même pas trop se prendre la tête et travailler ensemble
pour améliorer les imperfections, non ?
C’est sûr, ça met la pression sur le nouveau zident (mais il semble motivé) ! Il n’y a pas beaucoup de professionels à la fédé si je ne m’abuse, comme DE dans une école ne me semble pas être un boulôt à la fédé, ça doit pas faire beaucoup plus que les cadres techniques et la secrétaire !
Pour les voies impénétrables de la fédé, quelqu’un aurait très bien pu transférer à l’organisme compétent mais bon, tout le monde est au courant maintenant !
Peut-être que ma formulation peut te troubler, mais tu devrais avant tout et de loin être choqué, surtout en tant que Président de la Commission Disciplinaire, qu’un licencié et responsable fédéral soit obligé de faire une telle demande.
Puisque tu as suivi les débats de la CCPP au travers de sa liste de mail pour la Commission Disciplinaire, tu n’as pu que noté les irrégularités de certaines décisions, il me semble que tu aurais pu signaler un certains nombre de dysfonctionnements criants. Or, tu t’es toujours tu, tu n’as même pas répondu lorsque tu as directement été sollicité, comme je l’ai fait le 14/12/12
[quote]Bonjour JC,
Comme tu es le président de la commission disciplinaire, j’imagine que tu as plus que des notions de droit.
Pour moi, nous sommes dans une situation similaire à celle d’une voiture en ayant emboutie une autre en stationnement régulier et qui ne voudrait pas assumer sa responsabilité en déclarant qu’elle a été gênée par un tiers.
Qu’en penses-tu?
Et quel est ton avis d’une manière générale sur le courrier de l’avocat? Sur la rétention de cette information malgré des demandes répétées, par mail puis dans le courrier du 6 août.
A eux, comme aux dirigeants, qui se sont tant investis pour promouvoir la
compétition, il m’apparait nécessaire de leur donner plus que des explications, une
analyse juridique des différentes options qui a conduit à cette décision, serait un
plus.
Peux-tu/veux-tu jouer un rôle de médiateur dans cette affaire? Ou qui pourrait le faire?
Je voudrais éviter de faire appel au CNOSF dans un premier temps, car cela serait très préjudiciable pour notre fédé et la DTN.
Il va falloir être plus précis sur “les abus de pouvoir constatés”, car, me concernant, pour l’instant, je ne vois pas quel est l’objet de ton allégation.
“Mon” engagement est plus celui des élus qui composent la commission : les sujets qui nous sont adressés font l’objet d’une consultation et, s’il y a lieu, de décisions, …
“Mon” engagement véritable est de me positionner en tant qu’arbitre lors de litiges, pour le reste, le consensus et la discussion des sujets proposés reste “La” voie.
La commission compétition est un espace de droit et de règlement, à une seule vitesse, sans exceptions, …
Si un non respect des règles devait être constaté, il faudra alors nous le signaler, via son élu, pour que l’on corrige le tir, s’il y a lieu.
Je ne sais pas si j’ai répondu à tes attentes, … mais les mails directs ou les coups de téléphone passent aussi très bien, …
Merci Nicolas pour ton engagement qui me satisfait pleinement, je n’avais d’ailleurs aucun doute, mais je pense qu’il était nécessaire de l’écrire, et la transparence de l’action apporte un plus.
D’ailleurs, malgré les nets différends que j’ai eus avec Pascal sur les sujets techniques de la CCPP, je dois reconnaître que Pascal respire la sincérité et l’honnêteté, et qu’il aurait souhaité faire les choses comme elles auraient dû l’être.
Je crois au
Compte tenu de la dégradation de la sécurité des compets, je pense qu’il est primordial de faire accepter à tous la réalité de l’invalidité de la décision sur les VNH, et ce sur les différents de points vue: légal, sportif, et risques juridiques.
Une fois acceptés, il sera plus facile pour certains d’accepter de corriger les effets désastreux d’une décision prise sans analyse, ni transparence.
Je note qu’en 2011, malgré le soutien de Thomas Senac, nous ne savons pas de ce qui a pu être fait avec le laboratoire spécialisé dans la sécurité et le sport.
Je note qu’en 2012, mon analyse sur l’évolution de la sécurité en compétition a été dénigré sans aucune base sérieuse, premièrement par la DTN, puis a été qualifié de manipulation par un membre du bureau dans un mail adressé au Comité Directeur.
Aujourd’hui, avec un bilan aussi dramatique, si la vérité est révélée sur cette interdiction alors un sujet important comme celui de la sécurité ne sera plus perturbé par des considérations de politique de caniveaux!
Tu te trompe, je ne peux être saisi que par le président de la FFVL (bien heureusement d’ailleurs…) Je n’ai pas à intervenir et encore moins à me prononcer sur le fond.
Article 7
Les poursuites disciplinaires sont engagées par le président de la FFVL, après avis du bureau directeur. Il est désigné au sein de la fédération ou de ses organes régionaux ou départementaux, par le bureau directeur, un représentant chargé de l’instruction des affaires disciplinaires, désigné « rapporteur ». Celui-ci ne peut avoir un intérêt direct ou indirect à l’affaire ni siéger dans les commissions de discipline saisis de l’affaire qu’il a instruite.
Il est astreint à une obligation de confidentialité pour tous les faits, actes et informations dont il a pu avoir connaissance en raison de ses fonctions. Toute infraction à
cette disposition est passible d’une sanction décidée par le bureau directeur, allant d’un avertissement au retrait des fonctions en cas d’infraction pouvant nuire à l’instruction. Le rapporteur ainsi désigné reçoit délégation du président de la fédération pour toutes les correspondances relatives à l’instruction des affaires qui lui sont confiées.
Les affaires ne mettant pas en cause la sécurité des personnes peuvent être dispensées d’instruction sur décision du bureau directeur.
(tu vois, j’ai des articles moi aussi).
Force est de constater que tu t’y es pris de la pire des manières possible. Pour tout dire, tu ne pouvais pas faire pire…
Don Quichotte de la Manche…
À la fois roman médiéval — un roman de chevalerie — et roman de l’époque moderne alors naissante, le livre est une parodie des mœurs médiévales et de l’idéal chevaleresque et une critique des structures sociales d’une société espagnole rigide et vécue comme absurde. Don Quichotte est un jalon important de l’histoire littéraire, et les interprétations qu’on en donne sont multiples, pur comique, satire sociale, analyse politique. Il est considéré comme l’un des romans les plus importants des littératures espagnole et mondiale.
Je te rassure, l’histoire finie bien