Salut !
Je suis débutant (50 vols). Je commence à tâter du thermique notamment depuis les jolies semaines d’avril. Mais jusqu’à maintenant, je la joue prudent en décollant en fin de journée.
J’ai fait un vol à Saint Hil vers 17h00 un jour, c’était un peu bourrin à mon gout. Pourtant en partant à cette heure, je me disais que ça serait pas trop musclé, et les voiles en l’air avait pas l’air de se faire trop chahuter. Je me suis fait refuser l’entrée d’un thermique par un demi-tour-va-t’en (vrille à plat ?). Ça s’est bien fini parce que j’étais assez haut au dessus des arbres, un 360 et j’avais retrouvé ma vitesse. Je suis allé voir ailleurs si c’était plus calme et j’ai fini par revenir le voir. Même sanction. Ça m’a calmé et je suis allé poser.
Ça m’a permit de comprendre comment ne pas entrer dans un thermique.
La fois suivante, c’était à Allevard. J’y étais un peu plus tôt cette fois. Quelques voiles en l’air. Je décolle à 16h00. J’avais un peu l’appréhension de revivre la même histoire qu’à Saint Hil, et aussi la ferme intention de ne pas me laisser faire.
Résultat, j’ai pris des pompes à +4m/s en centrant bien et tout. Et aussi des dégueulantes dans lesquelles j’ai du bien tenir ma voile. J’ai pu monter jusqu’aux Plagnes. La classe internationale
J’ai trouvé ça fort mais je m’y attendais et ne me suis pas fait peur.
A moyen (long?) terme, j’aimerais bien crosser. C’est ce qui m’attire dans le parapente. Rester le plus longtemps possible en l’air, et aller se balader. Et qui dit cross, dit partir plus tôt pour avoir une plage plus grande d’aérologie favorable.
J’entends souvent “il faut pas se mettre dans des conditions trop fortes pour son niveau”.
Mais du coup, c’est quoi des conditions trop fortes ? (je parle pas de vent trop fort évidement)
Et comment on progresse si on se confronte pas à des situations au dessus de son niveau ?
Et enfin, qu’est ce qu’on risque dans des conditions thermiques trop fortes ?
Louis
PS : j’ai un camion EN-A ridige comme un delta :ppte: et rapide comme un veau


)
Louis etlézautres
). Même d’un jour sur l’autre à Saint Hil, même heure, même conditions apparentes (t°, pression, expo), c’était bien différent.