Cherche école

Bonsoir…

Voilà ce qui m’amène sur ce sujet :

J’ai commencé en 1996 par un stage d’une semaine (ou dix jours, à partir d’un certain âge, le temps et les souvenirs sont relatifs…le début d’Alzheimer ?) dans une école labellisée FFVL. Sans surprise, ça m’a plu, et j’en ai profité pour passer le brevet de pilote dans la foulée, soit à la fin du stage. Puis, vous savez ce que c’est, nouvelle passion, nouvelles conneries, alors on multiplie les vols “autonomes” sur des sites qu’on ne connaît pas, sur lesquels on a vaguement repéré le déco (ça c’est un minimum) et l’atterro (pas toujours), des sites comme le Lachens (5ème grand vol et 1er sans assistance), St Hil (juste conseillée par des collègues de club), Fismes (même pas officiel), la Belle Idée (stage de treuil), plus des tas de “pentes école” et autres “sites” au hasard des balades, quand on a toujours une aile dans le coffre, “au cas où”, et que c’est le merdier quand on va à Carrefour faire les courses, à moins d’avoir un utilitaire. (*)

(*) Les situations et les événements décrits ici sont réalisés par une professionnelle des choses à ne pas faire, ne pas les reproduire chez vous.

Puis bon, nouveaux lieux, nouvelle vie, chemins de lie, chemins de vie, LA rencontre, et puis la Vie, d’autres buts, d’autres envies, on passe à autre chose, même si des fois on se surprend encore à rêver d’aller taquiner les nues, mais qu’on serre d’autres poignées que celles des freins pour s’envoyer en l’air…pardon, je m’égare.
Bref, tout ça pour dire qu’après plusieurs années de sommeil, un beau jour on se réveille avec une furieuse envie de voler à nouveau. Dont acte.

Problème :
Après tout ce temps passé en dehors du circuit, il semblerait que mon dossier se soit perdu, tant à la FFVL qu’à la ligue et à l’école. De mon côté, je n’ai plus aucun document en ma possession (dû à divers déménagements), en gros, c’est un peu l’histoire de la personne qui n’a plus d’existence légale auprès de l’administration (“mais je vous assure que d’après nos fichiers vous êtes décédée”…voyez le genre).
Bon, tant pis pour moi, j’ai l’habitude des situations à la con, plus qu’à repartir à zéro.

Donc je cherche une école (sérieuse) qui proposerait un stage débouchant sur le brevet pilote, peu importe sa localisation, si la formule est toujours d’actualité, sans devoir attendre deux ans, comme ça m’a encore été dit hier.

Merci. :bravo:

Bonjour Caroline :wink:

Je trouve ton histoire assez sympa et entre nana , je me dois de t’encourager et de te souhaiter un bon retour parmi les volatiles :wink:
Pour une école sympas , professionnelle , dynamique, bonne ambiance dans un cadre sympas … AEROGLISS à St André les alpes ( 04 ) voici le liens et toutes les infos dont tu auras besoin / http://www.aerogliss.com n’hésites pas à les contacter et à prendre toutes les infos nécessaires . Concernant le logement pas trop cher tu as le choix avec le camping juste derrière l’école ( c’est pratique ) http://camping-les-iscles.com ou une bonne adresse pour très bien manger et dormir a petit budget http://www.gîteclairlogis.com …Voilà J’ai fais mes stages las bas et j’y vole très souvent alors peu être au plaisir de t’y croiser :wink: :trinq:

Je pense que toute école sérieuse acceptera de te prendre en stage en tenant compte de tes spécificités si tu les expose clairement avant et te permettra de valider la pratique du BP s’ils constatent que tu en as le niveau.
Par contre, ce type de validation ne pourra se faire que si ça thermique un minimum je suppose, ce qui veut dire qu’il faut les conditions qui vont avec qui vont devenir de plus en plus rares en s’approchant de l’hiver. Peut être en partant dans les dolomites avec ladite école…

je modererais un peu les propos de Chatmalo, si tu viens dans le Sud, il y a des conditions thermiques possibles, meme si plus rares, toute l’annee :floodstop: :stuck_out_tongue: .

Un stage sur la region marseillaise (Cuges / Signes) ou Nicoise (Gourdon) par exemple, doit pouvoir te permettre de valider le BP en toute saison.

Bonjour Karoll et merci pour les infos. Je vais regarder tout ça tranquillement (de toutes façons aujourd’hui c’est mort pour voler par chez moi) :slight_smile:
Et au cas où, on pourra parler chiffons :smiley:

Oui, c’est clair qu’une remise à niveau est nécessaire, raison pour laquelle j’ai effectué un stage d’initiation pour la reprise.
Et c’est là que le bât blesse.
Le DTE sympa, rien à dire sur ça, mais sur le reste…j’ai trouvé l’ensemble plutôt léger.

Exemples :

  • Première matinée de pente école et “découverte” succincte du matos avec quelques gonflages “à plat” (vent quasi nul et mal orienté…limite rébarbatif -la femme que je suis dans mon lit n’a plus 20 ans depuis longtemps- et courir comme une dératée sur un faux plat c’est fatigant et on n’a pas le temps de “sentir” les commandes, les quelques secondes que l’aile est au-dessus).

  • La fin d’après-midi super…1er “grand vol” (le grand plouf que tout le monde a connu la première fois). Perso, ça m’a fait plaisir de “voler” à nouveau et de retrouver de vieilles sensations (je vis, je vis !) mais vu les conditions de la pente école du matin, sans même un saut de puce pour “valider” les premiers “petits vols”, c’est un peu mettre des gamins qui ne savent pas nager dans le grand bain (avis perso qui n’engage que moi). Ok on était en conditions calmes, mais un seul mono au déco qui gère à la fois l’envol et l’atterro à 300 mètres plus bas, avec un site “encombré” par des pilotes autonomes, j’ai cru voir passer un sujet qui parlait de ça sur le forum, et à priori les avis semblaient confirmer un certain manque de “professionnalisme”. Certains stagiaires auront le courage de faire trois grands vols. Pour ma part, la remontée sera un calvaire et je me contenterai d’un seul (j’ai une jambe dans le sac suite à une chute d’un toit il y a quelques années)

  • Tout le long du stage, la théorie peu ou pas abordée, et généralement une bonne partie de la journée à glandouiller avant le début de soirée. Je ne parle pas de la météo qui était un peu merdique (les aléas d’un stage mais ça c’est la faute à pas de chance), mais ça aurait pu être justement l’occasion d’avoir des “cours théoriques”, sauf que là c’était quartier libre, et si je n’avais pas insisté à titre perso pour avoir un cours de pliage de secours, je n’aurais rien appris que je ne savais déjà avant (sauf que moi j’avais déjà volé et que j’avais encore les bases, chose que ne semblaient pas avoir les autres stagiaires, et pour un stage d’initiation, c’est logique).
    Je me souviens des cours donnés il y a 20 ans lors de mon premier stage quand j’étais totalement ignorante des questions d’aérologie, de mécavol, de forces aérodynamiques, de réglementation, etc., les questions qu’on posait et qui permettaient de mieux comprendre tout le truc…c’est vrai que là ce n’était qu’un stage d’initiation mais dans ce cas une journée suffisait. Deuxième jour pas de bol, pas de vol (cause météo)

  • 3ème jour, soaring sympa (le pied pour des élèves, là on pilote) mais toujours sur un site encombré et toujours un seul mono. Avantage non négligeable pour ma vieille carcasse : repose au sommet (promis demain je me remets au sport…ah ben non, demain j’ai piscine) et découverte du décollage cobra (que je ne maîtrise pas vraiment, j’avoue, puisque les deux fois je commence à me retourner à l’envers par rapport à mon sens de retournement face voile…question de mauvaise habitude…et puis ce con de vent ne pourrait pas arriver dans l’autre sens aussi ?)

  • 4ème jour, gonflages sur un autre site un peu plus propice puis glandouille cause météo.

  • 5ème jour, météo pourrie, on attendra la fin de journée mais ça souffle vraiment trop fort, et un seul deltiste confirmé prendra l’air.

  • 6ème jour, je ne peux me libérer que l’après-midi et je loupe une séance de gonflages (mais là c’est de ma faute, rien à dire). L’après-midi ça vole, mais trop de monde en l’air (genre place de l’Etoile un vendredi à 17h) et à force d’attendre, les conditions se renforcent et au moment où je me dis qu’il va falloir replier, c’est à mon tour de prendre l’air. Vol pénible, enfermée dans un venturi, j’ai le temps d’écrire mes mémoires avant de quitter l’ascendance et la moindre sollicitation des commandes me fait reculer…si je lève les bras plus haut, je vais chatouiller l’intrados sans plus avancer pour autant. Bon ça je connais, j’ai déjà eu le tour en treuillé quand un jour j’ai posé en marche arrière sur le terrain (super chiant, on serre les fesses et on attend de descendre tout doucement sans trop contrer pour ne pas se retrouver à deux kilomètres de l’atterro…plutôt ludion que ludique mais en tout cas bien merdique).

Fin du stage et bilan mitigé : j’ai pu revoler (ça c’est cool) mais à part avoir appris à confectionner un autre sapin de Noël artificiel (faut juste éviter la bombe à neige) et à jouer les charmeuses de serpents, je n’ai pas eu l’impression d’apprendre ou de réapprendre vraiment.
A ma charge, grosse faignante (que même notre bon président christique le dit, c’est que ça doit être vrai), sans doute trop exigeante et limite chiante, et trop impatiente (sacré PTV au final), mais j’aurais aimé plus de théorie et plus de “suivi”.
Là ça m’a donné un peu l’impression d’utiliser la licence “encadrée” comme un ticket d’entrée à Disneyland.
Vivement le 1er octobre, que je la prenne à l’année.

Sinon, pour ce qui est des thermiques, c’est vrai qu’ici c’est plutôt un “terme aux piles” (réchauffement climatique mon cul oui) mais je ne suis pas pressée, ayant conscience que c’est la fin de la saison (suffit de voir l’augmentation du nombre d’annonces de vente de matos dans le forum, ça c’est une analyse aérologique qui ne trompe pas). Mais dès la reprise, j’espère trouver une école et un stage adaptés à ce que je recherche. (ah, et avec une remontée mécanique ou un système de navette, j’avais omis de le préciser) :mrflood:

A voir aussi, merci. :slight_smile:

Ca va sans doute paraître idiot mais pour moi le BP est important, même si ce n’est pas une fin en soi. Disons que c’est juste une satisfaction personnelle, comme une forme de “reconnaissance” et une espèce de “revanche sur la vie” (trop long à expliquer ici)

Merci à tous. :slight_smile:

Salut Caro,

Le brevet de pilote est composé d’une partie théorique et d’une partie théorique…

Concernant la pratique, j’ai l’impression que les écoles et leur DTE procèdent plus à une évaluation au fil de l’eau de ton aisance et de tes compétences de pilote (genre contrôle continu) qu’à une réelle session d’examen (genre figures imposées au patinage artistique).

Pour la partie théorique, c’est aujourd’hui un qcm moins simple qu’il n’en a l’air avec des questions sur les pratiques fédérales, la physique ou la thermodynamique en plus de l’aérologie, la météo, la méca vol ou la réglementation…

Bref, il faut bachoter un peu les 300 questions possibles pour obtenir un score de 75% sur les 60 questions en 1h qui te seront posées à l’examen (score mini 270).

Voici le lien pour t’entrainer : http://qcm.ffvl.fr/#/qcm

Bonnes révisions et bons vols, :wink:

FK

Oups, t’ai-je précisé qu’il y avait aussi de la théorie? :mdr:

Pas très pratique mon post! :sors:

Merci Koala.

Je m’étais amusée à m’entraîner un peu avant le stage sur ces questionnaires, et sans avoir ouvert un bouquin depuis 20 ans (perdu lui aussi, celui avec la couverture sur fond orange, un peu comme “le code Rousseau du parapente”) j’avais encore de beaux restes en me situant au-dessus des 90% de bonnes réponses en moyenne basse.

Oui, c’est un peu l’impression que j’ai eue aussi, avec le bon côté (ça supprime le “stress” de l’examen) mais aussi le mauvais (on peut se faire “balader” pendant des mois…business is business). Perso je préfère être “stressée”, comme pour le permis voiture, camion, transport en commun, bateau, etc. Au moins là, pas de doute : si on se plante, ça reste une question de niveau insuffisant et pas parce qu’il y avait des promos sur les stages à venir (ce qui n’empêche pas ensuite d’en faire, mais sans autre “carotte” que celle de progresser pour soi, et je trouve ça plus “sain”)

Salut Caro,

D’abord pour ton souci de trouver la bonne école, il faut répondre à la question ou vis tu et combien de km voiture es tu prêt à accepter pour t’y rendre. Aussi sur une semaine ou deux ou … ou préfères tu fonctionner en week-end ?

Après il ne fzut pas se leurrer, les exigences du BP d’aujourd’hui ne sont pmus celles du BP d’il y a 20 ou 30 ans. Entre temps le BI (brevet initial) a vu le jour et il correspond peu ou prou à notre BP d’avant. Le mien de BP date de 2003 et en toute sincérité et au vu de mon carnet de pilote ; À 33 vol à l’époque, mon niveau était tout au plus celui du brevet initial d’aujourd’hui et certainement pas du brevet de pilote.

Donc une autre question que tu peux/doix te poser en toute franchise personelle est ; suis-je à la recherche/chasse d’un document (auto-)valorisant ou d’une validation de mes compétences réelles d’aujourd’hui. Note qu’aucune des deux réponses me semble moins honorable mais il n’empêche que l’une est juste souce d’auto-satisfaction alors que l’autre se veut une confirmation de ton niveau de pilote.

Je n’ai pas de doute que tu peux trouver des écoles, moniteurs et DTE, asso comme pro, pas de jaloux, qui peuvent te donjer satisfaction dans les deux cas de figures. À toi de savoir ce qui est important pour toi.

Le passeport de vol-libre parapente donne une bonne indication de ce que est sensé être capable un pilote au différents niveaux de blanc à marron. Niveau vert pour brevet initial, niveau bleu pour brevet de pilote, erc. Dans l’idée ce n’est pas de réussir ici ou là de temps à autre et éventuellement dans le cadre d’un examen sec tel ou tel exercice (coup de bol du bon exercice au bon moment) mais bien de maîtriser “suffisamment” tous les exercices depuis le niveau blanc jusqu’au niveau envisagé. Alors oui, l’évaluation dans la durée est assurement plus pertinente que sur une une ou deux journée (c’est sûr d’un autre côté qu’une semaine de stage volable devrait normalement suffire à juger d’un niveau bleu)

je te souhaite de trouver les bonnes reponses aux questions que tu… peux ou non te poser.

Jolie histoire que la tienne.
Comme cela a été écrit très récemment pour quelqu’un qui cherche une école pour son 3° stage, il faudrait que tu donnes une zoné géographique plus précise. Sinon, je pourrais te conseiller d’aller à Samoëns, à Mieussy, à Passy (74), à Font Romeu, à Barrême, à Roquebrune Cap Martin, à Val Louron pour les écoles que je connais et que j’ai vu fonctionner.
Après c’est surtout une question de feeling avec le moniteur (dans certaines grosses usines, il y a plusieurs moniteurs aux caractères bien différents).
Ensuite, la période de ton stage est importante (pour la météo).
Bonne recherche et bons futurs vols !

Oui, c’est ce que j’ai cru voir sur le carnet pour le BI, comme j’ai pu voir que le niveau bleu correspondait aussi peu ou prou à celui que j’avais à l’époque (vols en autonomie sur plusieurs sites, treuil, manœuvres, thermiques, etc.).

Je suis consciente qu’une remise à niveau s’impose (reprise, nouvelle aile, nouvelle sellette, nouvel âge…) mais aussi dans un but affiché de pouvoir déboucher sur le BP (pour satisfaction perso mais pas une fin en soi, juste un “palier”)…et pas juste faire un stage pour faire un stage comme on “fait” tel ou tel pays sans jamais sortir de l’hôtel, avec l’impression ténue que je ne serai pas plus avancée à la fin quant à ma progression et mon niveau (suivi, débriefing, cours théoriques, etc.).

Sur la forme, je pense qu’une formule “à la semaine” (voire deux) serait l’idéal, un seul week-end me paraissant trop juste (météo, intensité), même si j’espère pouvoir voler entre deux averses avant le début de la saison prochaine (et donc du stage) pour entretenir tout ça en attendant (ploufs réguliers, gonflages, éventuellement vols au treuil, soarings, etc.). Pierrot m’a même proposé gentiment de venir un week-end à Champauvert, ça me rappellera la Belle Idée. :slight_smile:

Comme j’ai dit, la localisation de l’école importe peu, vu que ce sera sur une semaine ou deux de congés de toutes façons, et la distance n’est pas un problème (j’aime bien voyager). Je suis dans le Morbihan au fait, entre le Menez Hom et Penestin (la Mine d’or).

Bon, pour l’instant je suis obligée d’attendre le 1er octobre pour la licence 2018 avant de pouvoir redécoller (celle de 9 jours “encadrée” étant arrivée à expiration), mais je compte mettre à profit la période d’inter-saison pour continuer à m’entrainer.

Merci pour vos réponses. :pouce:

Merci. :ppte:
Je note tout ça aussi…
Pour ce qui est de la météo, je compte sur fin mars début avril…je suppose que ce sera plus formateur avec les “gros pétards” du printemps.
Là aussi je vais mettre à profit cette magnifique arrière saison qu’on a sur Neptune pour étudier toutes les possibilités…punaise, quel temps de merde, j’ai pas choisi le bon moment pour reprendre. :bu:

Bons vols :slight_smile:

Pour Parler chiffon ça sera avec grand plaisir Caroline :wink:

PS , je suis dans le 06 , on y vole quasi toute l’année et il y a 7 sites écoles FFVL donc fais signes si un jour tu passe dans le coin :wink:

bise

Aucune école sérieuse n’enverra des élèves en recherche de validation du niveau bleu et très certainement pas d’autres élèves non plus, dans des “gros pétards” de printemps et d’aucune autre saison d’ailleurs. D’abord parce qu’il me semble qu’il n’y a la aucune bonne pédagogie de possible à mettre en oeuvre et qu’ensuite même pour envisager des conditions thermiques “normales”, toute école soumettra d’abord les stagiaires à une évaluation qui ira crescendo vers les conditions aérologiques envisagées.

Donc au moins ce critère la pour le choix de l’époque n’est pas pertinent et pour mars/avril il faut sans doute un peu plus de “chance” encore pour trouver de bonnes conditions qu’à d’autres moments de l’année ou il faut vraiment viser les bonnes contrées.

Bonne continuation,

Ben alors dans ce cas c’est parfait et ça me convient tout à fait.

C’est même encore mieux que je ne le pensais…les seuls “G” que j’aime encaisser étant généralement précédés d’un point mais pas de chiffres (désolée, c’est plus fort que moi) :sors: :bien/mal:

Oui mais ces G là, ils font monter.
Un des rares cas où j’ai une très nette préférence pour le biplace…en string :jump:

Houla!! vos posts c’est comme jeter une allumette dans la pinède au mois d’aout : Vous allez mettre le feu au forum :camp:

Nan, mais c’est pour rire hein :smiley: