Classement Permanent Mode de calcul

#1

Bonjour,

Je n’arrive pas à comprendre comment fonctionne le classement permanent. Avec la fin du BPJEPS, les modalités d’entrée à l’universel DEJEPS maintenant ont changé.
Les conditions d’entrée indiquent qu’il faut être dans les 350 premiers du classement FPRS… J’ai du mal à comprendre comment ça fonctionne

→
de résultats en compétition ou en vol de
distance dans les 3 dernières années :
o d’un classement mensuel :

dans les 350 premiers du classement
permanent français (FPRS)

ou dans les 800 premiers du classement
permanent mondial (WPRS) en vol de
distance ;

ou dans la première moitié du classement
permanent mondial en voltige

#2

L’indentation ne permet pas de tout comprendre, mais à vue de nez, je dirais qu’il faut soit te classer dans les 350 premiers au classement permanent français.

Cela signifie qu’il te faut faire des compétitions et des résultats un peu au-dessus de la moyenne pour y être.

#3

J’aimerais bien voir la formule parce-que justement je me considère comme un compétiteur moyen voir quelques fois un peu au dessus et à ma bonne surprise 261 ce mois ci…

#4

Il te faut fouiller dans la rubrique compétition, voir peut-être même dans le règlement des compets, la formule y est quelque part.
L’objectif initial était de dire que la valeur d’une compet dépendait de la valeur des participants… mais il me semble que la formule a été altérée depuis : une manche “Elite” valant + de points que la même en B, improprement appelée “Sport”, avec les mêmes participants et la même épreuve.

#5

Les années précédentes (parce que j’ai pas fait de compète l’année dernière ni cette année), une manche sport gagnée faisait entre 50 et 70 points, à peu de choses près (c’est effectivement fonction des pilotes présents).
Pour (énormément) simplifier (parce que je ne suis jamais rentré dans le détail des calculs), si tu boucle dans les derniers, tu fais en gros la moitié des points (soit entre 20 et 40 points).

A l’époque (je suppose que c’est toujours le cas …), on comptabilisait les 8 meilleures manches de compète. Les premiers du classement ont plus de 1000 points parce que les manches internationales font entre 120 ou 130 points.
Mais pour être dans les 200e, il fallait (et il faut toujours, apparemment) autour 200 points, ce qui est largement accessible pour quelqu’un qui se motive à faire de la compète au bout d’une bonne saison de vol.
Si tu boucle la majeure partie de tes manches, t’es largement dedans. Pour être 350e en ce moment (classement de mai 2017), il faut 106 point, ce qui est vraiment accessible, même sans boucler tes 8 manches !

Voilà, je ne sais pas si ça répond à ta question, mais ça donne une idée du principe de calcul !

#6

Salut, je n’y connais rien au classement permanent mais sur le site de l’ensa tu as les barêmes pour le test d’entrée. Avec 261 comme classement ça te donne 11 points (sur 20) pour la note de performance. La cfd permet également d’obtenir une note de performance (dans le premier quart). Tu peux regarder en détail ici http://www.ensa.sports.gouv.fr/images/ENSA/vol_libre/DEJEPS/Barème_de_notation.pdf.

#7

Yes j’ai vu les docs mais la cfd quand on est dans les Pyrénées c’est difficile de rivaliser. C’est une règle pas vraiment équitable quand on est pas alpin.

J’ai trouvé la ou les formules apparemment mais je ne comprends rien perso :
https://parapente.ffvl.fr/detail-des-manches

#8

Y a pas qu’en CFD que c’est pas très équitable… le clap a ses effets pervers, une compet en dehors des Alpes ben les Alpins ne viennent pas parce que c’est trop loin, du coup la compet ne score pas beaucoup et ça justifie le fait de ne pas y aller! Ca a tué toute envie de faire des compets A dans les Pyrénées. Voire de faire des compets A en France vu qu’il est plus facile de faire des points en compets internationales qu’en A…
Avec l’ancien système si ça volait les 2 jours y avait 2000 points à prendre, tu venais ou pas ça ne changeait rien!

#9

Et dire que certains présentaient le clap pour revaloriser l’intérêt des A… et se plaignaient de ceux qui étaient en opposition à ce “génial” progrès…

#10

Il y a pas mal de pilotes Pyrénéens ou du Sud-Ouest qui viennent chaque année faire les grands parcours classiques des Alpes du Nord ou du Sud.

#11

Y’a même des Bretons… :mrgreen: