Commencer le parapente .

Bonjour à tous je viens d’arriver sur se forum. Je voudrais me mettre au parapente cela me fait envie depuis plusieurs années, pouvais vous me conseiller ?

Salut,
le mieux c’est de passer par une école de parapente, faire 2-3 stages encadrés par des pros.
tu es dans quel coin?

Salut,

Je vais te parler de la progression en parapente telle que je la présente à mes stagiaires :

Étape 1 : le stage d’initiation => 500-600 €
Il se passe en école sur plus ou moins 5 jours en général. Tu apprendras à décoller et à atterrir, et les bases théoriques de notre activité. Tu passeras pas mal de temps en pente-école et tu feras tes premiers vols en solo. Si ça t’a plu et que tu veux continuer, tu peux passer en étape 2.

Étape 2 : le(s) stage(s) perfectionnement => 500-1000 €
Il(s) se passe(nt) en école sur 5 à 10 jours. Tu vas affiner ton pilotage, travailler tes décos et atterros, diversifier tes sites de pratique, et avancer sur la connaissance théorique de l’activité. L’objectif est d’arriver au Brevet de Pilote Initial, qui signe ta première autonomie en vol : sur site connu et en conditions calmes. Certaines écoles proposent des packs initiaux (env. 1200€) pour les 2 premières étapes. À partir du BPI, tu peux passer en étape 3.

Étape 3 : Achat du matos => 3000-4000 €
C’est le prix du matos neuf. Tu trouveras du matos d’occasion de qualité pour à peu près 50% de ce budget.

Étape 4 : Se rapprocher d’un club => 10-20 € :wink:
Auprès d’un club, tu pourras bénéficier de l’émulation et de la logistique (covoiturage) de pilotes qui vont bientôt devenir tes meilleurs potes ! Pratique énormément sur site connu et en conditions calmes, ou sur site inconnu et en conditions très calmes. Enchaîne et accumule des dizaines de vols, fais du gonflage, achète des bouquins et intéresse-toi à la théorie.

Étape 5 : Retour en école => 100-120 € par jour
Tu pourras y trouver plusieurs types de stages (Thermiques, Cross, SIV…) pour continuer ta progression.

Voilà ce que je conseille à mes stagiaires. Après, rien de tout ça n’est obligatoire, et tu pourrais acheter un parapente demain et aller te jeter d’un déco, ce que tu éviteras de faire si tu ne veux pas passer par la case “hosto”… Au delà de cette position extrême, il existe plein de solutions intermédiaires.

Comme tu le vois, la première chose à faire est de choisir son école. Il y en a plein, et c’est pas toujours facile de choisir. Donc, commence à nous dire où tu habites, où tu peux aller pour voler, et le forum se fera un plaisir de te donner ses préférences.

Bienvenue chez nous ! :trinq:

Salut

Réponse bien détaillée de Gilles.

Je reviens sur l’étape 4 se rapprocher d’un club: un poil plus chère car il y a une responsabilité civile aérienne à prendre (RCA).
Si tu choisis un club FFVL tu en auras pour une centaine d’euros (inscription club, ffvl et RCA).
Un club FFP fédération française de parachutisme … à peu près la même chose, mais en prime c’est un club école. Il n’y en a plus beaucoup.
Un autre club (ni FFVL, ni FFP) le tarif doit être faible mais tu devras te trouver une RCA.

Cette étape club est très importante il faut donc un club dynamique avec un peu tous les niveaux de pilotes, pilotes disponibles et motivés pour te conseiller (mais ce ne sont pas des moniteurs).
Avoir le club et un site proche de son domicile est une chance énorme.

A+
Eric

:pouce:
Il existe aussi des clubs école FFVL pour le même prix où tu pourras à la fois faire tes stages et trouver des conseils, mais au moins pour les premiers stages je préconise une école pro et si possible loin de chez toi afin d’associer passion et vacances :wink:
Et il manque une précision importante dans le post de Gilles, le prix du stage comprend le prêt de matériel tu n’as rien à acheter.

Une progression un peu différente est courante.

  • Etape 0 : achète le bouquin de Pierre-Paul Ménégoz intitulé “le parapente, s’initier et progresser”. C’est notre bible. PP enseigne à Talloires aux Passagers du Vent, c’est un type assez fabuleux, un formidable pédagogue et je l’aime beaucoup.

  • Etape 1 : fais un stage initiation en école, c’est INCONTOURNABLE.

  • Etape 2 : équipe-toi pour pouvoir accéder à l’autonomie, faire du gonflage et avoir la possibilité de voler.

  • Etape 3 : fais des vols d’application et d’entraînement en air calme sur site connu, sans assistance radio. En cas de stress, il y a toujours sur les décos des pilotes qui pourront te rassurer et vérifier que tu fais tout correctement, cela aide à faire passer le stress.

  • Etape 4 : retourne en école pour un stage perf de 4-5 jours (il y a rarement 5 jours volables consécutifs). Tu perfectionneras tes décos et tes atterros, ta gestuelle en vol et tu apprendras des manoeuvres importantes, avec initiation au vol thermique en conditions douces.

  • Etape 5 : fais le plus possible de vols peinards en conditions douces (le matin et en fin d’après-midi) pour que les apprentissages deviennent des réflexes, ce qui libère l’esprit et permet de mieux appréhender la masse d’air dans laquelle on vole.

  • Etape 6 : fais un autre stage perf pour valider ton expérience et aller plus loin (petites sorties du “bocal”, mini-cross) avec des manoeuvres plus ambitieuses préparatoires à un prochain stage SIV (simulation d’incidents de vol) qu’on appelle maintenant “pilotage avancé” mais c’est kif kif.

  • Etape 7 : avec une centaine de vols dans la musette, tu feras un premier stage SIV. Tu feras surtout du tangage amplifié, tu apprendras à temporiser au bon moment les abattées, tu feras des fermetures asymétriques (une demi-voile), des fermetures frontales, tu iras sans doute à la spirale engagée et à l’autorotation en fin de stage.

  • Etape 8 : quand tu sauras un peu voler, ne pas laisser ta voile se mettre en vrac dans du moisi et apprécier les conditions, tu seras mûr pour faire un premier stage cross, qui t’ouvriras les portes du grand vol.

Tout au long de ta progression, qu’elle soit rapide ou plan-plan, tu pourras aussi faire des vols-rando en montagne, c’est une autre façon de voler et elle a beaucoup d’adeptes, c’est si chouette la montagne !
Avec de l’expérience, tu pourras accéder au paralpinisme “facile” (aiguille du Midi) et pour décoller de n’importe où il faudra d’abord être un alpiniste confirmé et un pilote très confirmé, bref ce n’est pas pour tout de suite.

Gilles évoque les divers brevets qu’on peut passer en parapente. Seul le BPC (brevet de pilote confirmé) a un caractère indispensable parce qu’il donne accès à la formation biplace et à la compétition. Le brevet de pilote (simple) n’est indispensable que pour voler hors de France.

Bienvenue dans le monde des volatiles et ne perds jamais de vue ce principe fondamental : “en mer, en montagne ou dans les airs, celui qui s’est trompé a rarement la possibilité de corriger son erreur”. Et pour reprendre le leit-motiv de Pierre-Paul : en parapente, il faut toujours rester humble.
:trinq:

Ou encore https://parapente360.com en attendant d’acheter le bouquin de PPM, celui-là est gratuit… Et pas sur Facebook contrairement à ce que certaines ont pensé… :roll:

Juste un stage init pour gonfler une aile, ça peut le faire, mais si on a des bases saines. Autrement dit un bon feeling et une bonne compréhension de l’aile. Sinon tu risques d’accentuer tes défauts sans les corriger. Voler seul avec juste 5 jours de formation, c’est juste dangereux. Un stage initiation, comme son nom l’indique est une “initiation”. Pas une formation complète. Et donc il manque pas mal d’éléments (pratiques et théoriques) pour évoluer en sécurité.
Et méfies-toi des pilotes qui t’emmènent voler. Leur objectif à eux, c’est voler, pas te former, pas te surveiller, pas t’aider. Et donc ne crois pas qu’aller voler avec de meilleurs pilotes que toi augmente ta sécurité. En l’air, tu seras TOUT SEUL ! Ils ne seront pas la pour te conseiller.

Oui d’accord… Mais à la suite du stage init, comme le conseille Gilles.

1000% d’accord. Conditions douces = tôt le matin ou en fin de journée ou encore la plupart des journées d’hiver. Donc pas de thermiques en gros.
Mais pour qu’on ne me dise pas que j’ai zappé quelque chose, ATTENTION au vent aussi.
Tu vois que si après un stage init et un stage perf, l’analyse des conditions peut s’avérer compliqué, juste avec un init, ça paraît très juste.

La suite de la progression suggérée par Sagarmatha est une des nombreuses possibilités.

Ca se discute. Aucun n’est obligatoire. Effectivement le BPC est le seul qui ouvre à des formations qualifiantes. Donc lui il est obligatoire pour Qbi, accompagnateur, compétition, monitorat, … Il offre aussi l’équivalence à l’IPPI5 qui est un brevet international.
Mais de là à dire que le Brevet Initial et le Brevet de Pilote sont inutile, je pense que c’est un peu rapide comme conclusion.
Si un jour (et je précise que je ne prône pas pour cette option) l’un des brevet est obligatoire pour voler, ce sera un de ces deux là. Et puis c’est un moyen simple et peu coûteux de contrôler ses connaissances.

Voilà. C’est mon point de vue? Finalement, je suis assez d’accord avec Sagarmatha, à l’exception du point 3 qui me semble être placé beaucoup trop tôt. Ca m’étonnerait d’ailleurs que Pierre-Paul donne ce conseil.
:trinq:

A+
L

C’est très positif cette critique, cela va aider notre poussin à se positionner au fil de sa formation, des tout débuts en école jusqu’aux stages de niveau plus élevé.
Il me semble tout à fait normal que des professionnels, autrement qualifiés que moi, apportent des contradictions à ma manière de penser la formation, issue de mon expérience personnelle et de toutes mes observations depuis dix ans que j’assiste les écoles et les novices qui sortent d’init et qui font leurs premiers vols en autonomie.

Une autre manière de se former est celle de Philippe Paillet : il emmène ses stagiaires voler dans les Bauges, dès la sortie du stage init, dans des groupes de niveaux très disparates, en adaptant au niveau de chacun le vol qu’il va faire. Cela fait des vols et du temps de vol mais question technique c’est moins didactique que les stages des écoles de Talloires et de Doussard.
J’ai coopéré avec lui en 2012 et 2013, lui apportant un soutien logistique, cela me permit de voler à des endroits où je ne serais jamais allée et cela permit à mon pote “Pasdoué” de voler sans risquer de se tuer. Accessoirement, c’est Philippe qui me passa le virus Diamir.

Une autre manière de débuter, très intéressante, est celle de l’école Flyeo de Doussard, avec des UFO 18m². Les stagiaires apprennent très vite à sentir et manier cette voile évidente, à la poser (pas aussi évident) et ils font 5 ou 6 vols par jour. Après, ils devront faire un stage perf avec des vrais parapentes pour compléter leur formation initiale.
Fabien m’a passé le virus UFO, évidemment.
Faire un stage init avec 6 débutants intégraux quand on a déjà plus de 2000 (deux mille) vols au compteur, ce n’est pas banal… mais je voulais BIEN apprendre à BIEN poser la UFO, essai transformé.

De même que les alpinistes et les marins apprennent lors de chaque sortie, nous autres parapentistes apprenons tout au long de nos années de pratique, chaque vol étant un nouveau vol, différent des précédents, et chaque nouvelle voile est une nouvelle découverte d’un nouveau bonheur.
Voler, c’est LE PIED.
:trinq:

@ Viviane, salut,

Que tu veuille partager ton expérience et ta vision de l’apprentissage et de la progression en parapente à partir de zéro est très louable MAIS tu devrais pour être complet, donner l’historique des bobos que ton apprentissage et ta progression dans la pratique parapente t’ont occasionné.

Beaucoup de modèles pédagogiques existent, tous ne se valent pas pour TOUS.

La progressivité dans l’apprentissage me semble personnellement être un mot clef. Tous ce qui se veut accélérer la progression peut être préjudiciable dès que l’ON est pas forcément en phase avec.

En allant lentement on a toujours de la réserve pour accélérer, en allant trop vite le coup de frein peut parfois être brutal voire être le dernier.

Et comme support pédagogique, j’estime aussi que le nouveau manuel “Parapente 360” de Laurent Van Hille (Choucas) est une vraie brise fraiche pédagogique car totalement calqué sur le passeport de vol libre FFVL. On y apprend en tant que débutant tous ce que l’on a besoin sans se perdre dans des considérations prématurées.

:trinq:

C’est vrai, j’ai déconné à mes tout débuts sans me rendre compte que je me mettais potentiellement en danger, cornaquée par Corinne qui avait déjà une bonne expérience du delta avant de se mettre au parapente… et je me suis cassée stupidement, toute seule sur la montagne, accident qui m’a beaucoup fait réfléchir : genou explosé sur un tout petit choc du pied gauche sur une barre rocheuse, une vraie broutille mais… je faisais de l’ostéoporose sans le savoir. Mes os étaient en verre.
Si j’étais restée garçon, cela ne serait pas arrivé, j’aurais été quitte pour une frayeur.
J’ai gardé une mémoire traumatique de cet accident, qui revient quand je suis seule sur un déco montagne avec un vent pas très favorable. L’expérience acquise au fil de centaines de vols-randos me préserve de commettre des fautes et il arrive parfois que je descende décoller plus bas ou que je marque le but.

Après mon accident à l’Aiguille Verte en 1974, causé par une chute de pierres (des grosses) déclenchée par un sarpé que nous rattrapions, je n’ai plus été capable d’attaquer une voie où il y avait déjà une cordée engagée. Je me rappelle avoir été paralysée au départ du dièdre Fehrmann (Campanile Basso / Dolomites de Brenta) parce qu’il y avait du monde dans cette voie très classique. Les copains me mirent en rage et je partis à toute vitesse, en marchant sur les autres cordées, sans m’assurer (il y avait des cordes partout) ce qui permit de rattraper très vite le sarpé qui faisait tomber des cailloux et de le doubler pour sortir au sommet en premier… et la descente fut menée aussi à un train d’enfer, pas question de prendre un caillou.
Plus tard, quand je tombais sur une cordée lente, je les dépassais aussi en leur marchant dessus. ce n’était pas très correct mais j’avais vu la mort de si près le 14 août 1974 que j’avais des raisons de me méfier des autres.

Cette méfiance m’habite toujours quand on ne sort pas du bocal et qu’il y a beaucoup de trafic entre Planfait-nord et Planfait-sud.

Ma 2ème fracture fut la conséquence d’une connerie et d’une malchance : j’ai utilisé le rouleau pour gonfler vent de cul et banzaï !.. mais la Pte de Merdassier, dans les Aravis, ce n’est pas le col des Frêtes et si la pente d’herbe était débonnaire elle cachait un piège : une saignée en forme de fossé. Le rouleau m’ayant ramenée au sol, je me posais quand j’ai vu que j’allais me casser les deux jambes sur le bord aval de ce fossé : freinage puissant, petite ressource, j’ai passé les jambes mais je suis arrivée sur le cul et le poignet gauche a impacté un affleurement rocheux, fracture d’impact.
J’avais péché par excès d’audace et je n’ai pas eu de pot mais ce n’est pas une excuse.

Ma 3ème fracture, ce fut en fin de matinée à l’atterro de Planfait. J’avais décollé aux Frêtes et au moment de poser le vent a tourné et c’est passé cul, chagrin avec l’Awak ! Cela m’a poussée plus loin sur le terrain et au moment de poser les pieds j’ai pris une bulle qui m’a remontée de 2m, cela devenait craignos et je suis arrivée au bout, sur le chemin… et le pied a tapé sur une bosse, bing la cheville.
Un accident comme ça peut arriver n’importe quand à n’importe qui, ce ne fut pas la conséquence d’une erreur de pilotage. Résultat : je vole toujours avec des grolles de rando à semelles vibram et je me pose toujours en entrée de terrain parce qu’il y a souvent un petit thermique sur l’atterro et que j’ai donné.

En fait, ma progression a été tout à fait standard.

Lors de ma reprise en août 2008, après 10 mois d’invalidité, j’avais un stress monstrueux mais je me suis botté le cul, je me suis appliquée et ce fut un vol magique. Le lendemain, je ne pouvais même plus gonfler ma voile, une Joy hyper-douce, paralysée par le stress.
S’ensuivirent coup sur coup deux stages de 5 et 4 jours (j’avais acheté avant l’accident un “carnet” de 10 journées à prendre à la carte).
C’est avec Pierre-Paul Ménégoz et Benoît Cadoux que j’ai réappris à voler et que j’ai retrouvé confiance et plaisir.
J’écrivais sur mon site le 19 août : “C’est mon tour. Benoît me guide par sa présence en ne me disant rien”.

Après, j’ai fait 4 stages SIV avec David Eyraud, plusieurs stages cross, question technique je suis au point depuis longtemps mais c’est le mental qui ne suit pas et j’ai perdu la capacité de m’engager, tant en escalade qu’en parapente. Age + mémoire traumatique engendrent des doutes, il n’y a pas pire que le doute. Le stress paralyse le corps, le doute paralyse la volonté.
Je n’ai plus volé en thermique depuis 13mois et la reprise est pour bientôt. Il y aura sans doute du stress lors du premier vol, comme en 2008, la différence étant qu’à l’époque j’avais tout à apprendre.

Le même phénomène se produit maintenant lors de la première descente à skis de la saison : j’ai beau avoir une technique éprouvée après 58ans de pratique, je ne tombe quasiment jamais mais je ne suis pas complètement sereine, j’écoute mon genou fracturé en 2007.

L’expérience des Anciens profite rarement aux jeunes (air connu) ce sont les réflexions qu’on en tire qui peuvent leur apporter quelque chose.
C’est de ce point de vue qu’un forum est indispensable.
:trinq:

Suite a cette bataille d’experts de la formation de parapente, le jeune Dwight doowy a décidé de plutôt de tourner vers d’autres activités telles que les Teknival et le paintball.

:sors:

Pourquoi cette envie ? voler en soaring, thermique, acro ? pourquoi le parapente, pourquoi pas le delta, le wingsuit ou la chute libre ?
Le parapente c’est lent, ça peut être dangereux. Sinon bienvenue :bravo:
P.S: dans le décompte de Gilles, il ne faut pas oublier les bières et l’essence :wink:

Salut et bienvenue sur ce forum de passionnés.

Le parapente est une activité tout simplement exceptionnelle qui procure des émotions fantastiques, quel que soit le type de vols que l’on réalise.

Prends le temps tranquillement de te former sérieusement (donc en école professionnelle), ne cherche pas à brûler les étapes et tu verras combien il est extraordinaire de se retrouver en l’air sous un simple bout de tissu et quelques ficelles (pardon des suspentes !) avec comme seul bruit celui du vent relatif dans les oreilles. :pouce:
C’est tout simplement magique ! :lol:

:trinq:

Marc

@ Marc, soutiendrais-tu que seules les écoles professionnelles pourraient être sérieuse ? Je ne peux pas croire de ta part à un tel procès d’intentions envers les écoles associatives. Surtout que certaines emploient des moniteurs-Pro et que dans tous les cas, les moniteurs fédéraux disposent le cas échéant des mêmes prérogatives d’enseignement que les Pro et cela, suite à un cursus de formation et un examen final supervisé par la Commission de Formation Nationale et la DTN de la fédération.

:trinq:

Je pense qu’il a dit “école pro” en opposition à “mes copains vont m’apprendre” (note : ce n’est pas ça qui est écrit. Mais c’est ce que ça sous entend)

A+
L

Je n’ai pas de doute à ce propos et à propos de Marc mais il me semblait qu’il était souhaitable de ne pas laisser planer une ambiguïté sur le sujet.

Dans le fond utilsez les bons mots, le bon vocabulaire pour exprimer ses bonnes idées est un peu comme savoir utiliser correctement la grammaire et l’orthographe dès que l’on écrit…

:stuck_out_tongue:

Merci de préciser ma pensée !
Mon message n’était effectivement pas bien rédigé (merci wowo).
J’opposais “école pro” à “formation sur le tas avec des amis” (comme le font certains) !
Mais il existe effectivement :

  • des écoles professionnelles (qui sont de loin les plus nombreuses) ;
  • et des clubs-écoles habilités à effectuer de l’enseignement (ils sont beaucoup moins nombreux).

J’aurais dû me relire avant de publier mon message !

:trinq:

Marc