Dams Lacaze et Antoine Girard au Pakistan

Un beau récit par Damien, même pour ceux qui ne volent pas:
https://alpinemag.fr/le-survol-des-geants-episode-1/
https://alpinemag.fr/le-survol-des-geants-episode-2/
https://alpinemag.fr/le-survol-des-geants-episode-3/

https://i0.wp.com/alpinemag.fr/wp-content/uploads/2018/11/girard_lacaze-0213559.jpg?w=1200&ssl=1

Il est ouf lui!..il a une gropo sur le casque.

trop bien ! merci pour le partage !! je garde cette lecture pour mes pauses :):):slight_smile:
au festival du film de montagne, Antoine Girard était présent pour son film “quand on aime, on ne compte pas” et pour dédicacer son dernier livre. Au milieu de son intervention, il raconte sur un ton “passe moi le sel” qu’il a eu un œdème cérébral cet été à cause du manque d’habituation à l’exercice en altitude (comme quoi “voler” et “marcher dans la neige jusqu’au cou” ne demandent pas le même effort physique), bref, il a vraiment pas été bien, il a genre dormi 17h d’affilé…et moi, je me suis “mais merde quoi on a failli perdre Antoine Girard!” bref, j’ai un grand respect pour ces athlètes mais leur pratique est vraiment…extrême avec les risques que cela implique, donc si jamais Antoine Girard me lit : prend soin de toi, on te veut vivant !

J’ai lu ça hier.
les récits font peur qd même : bcp d’engagement dans un pays ou le joker n’existe pas toujours …

les images, tout est magnifique mais ils sont passés près de la correctionnelle plusieurs fois

Idem ça fait plus peur qu’envie !

C’est magnifique mais l’engagement est total. J’admire et je frémis.

Un peu pareil: la performance est incroyable mais ça me donne quand même l’impression que ce serait un peu comme jouer à la roulette russe mais avec plusieurs balles dans le barillet…
J’ai vraiment l’impression qu’un cran a encore été franchi pendant ce trip sur ce type de projet. Ou alors Damien Lacaze est-il simplement plus honnête dans ce qu’il raconte, sans rien cacher de la réalité de l’engagement, des doutes, des peurs (osons le mot!) rencontrés.

je crois que le pire dans ce récit c’est la nuit en bivouac avec MAM et l’absence de porte de sortie si la météo ne s’améliore pas …

Merci AD pour les liens. Je me suis régalé à lire ce récit. Par contre je vois 3 voiles différentes sur les photos :grat: .

Moi j’adore ces récits. Comme déjà dit, ça fait rêver (pas envie) et ça fait très peur. Ces mecs ont un niveau incroyable, et repoussent leurs limites, qui sont déjà tellement loin. Comme dit Flying Matmute, pourvu qu’ils restent en vie longtemps pour nous faire encore vibrer comme ça (pas refaire le coup du Spantik hein, c’était quand même un peu chaud ça!).
Oui Antoine a sa LM6 et il change pour aller au Spantik visiblement. Un proto de Swift 5? Une Alpina 3?

Dans le même genre, je recommande vraiment le récit écrit d’un mec hyper attachant; Blutch (en plus de son film).
D’avoir raconté sa traversée de l’Himalaya en 4 mois dans un livre nous permet aussi de nous rendre compte des aspects humains et de l’impact psychologique d’un tel périple. Avant, pendant et après. Jean-Yves Fredricksen - Vol au-dessus de l’Himalaya - Editions Guérin.

Un fort bel ouvrage, effectivement. Si vous ne savez pas quoi offrir pour Noël, ne cherchez plus :vol:

Merci beaucoup pour le récit passionnant ponctué de photos tout simplement incroyables!!! J’ai une nouvelle collection de fond d’écrans pour rêver un peu…

La vue sur le Baltoro et la tour de Mustagh, avec au fond le Chogori*, c’est fabuleux.
Merci Antoine.
:trinq:
(*) Il n’y a que les Anglais impérialistes pour avoir entretenu le monde entier des noms qu’ils donnèrent aux montagnes de l’Himalaya, qui en avaient déjà un depuis toujours. Ainsi de la Déesse des Neiges, appelée Sagarmatha en népalais et Chomolungma en tibétain, qu’ils baptisèrent “Everest”, ou du “K2” qui se nomme Chogori en balti et Dapsang en chinois.
Ici, Antoine est au Baltoro et il faut nommer la montagne Chogori.
Je n’aime pas les Anglais et je vomis l’impérialisme.