Bonjour à tous,
J’espère ne pas vous choquer en me présentant sur votre forum.
Je suis paramotoriste mais si je pouvais me passer du moteur, je le ferais volontier.
Je vis en Bretagne où je me sens très bien et je n’ai trouvé que ce moyen très autonome pour assouvir ma passion de voler.
Il m’est arrivé de monter très haut pour couper le moteur pendant 20 minutes et c’était le bonheur de mieux ressentir l’aile et l’air qui siffle dans les suspentes. J’ai pu imaginer ce qu’est le plaisir de voler en “libre” et je vous envie beaucoup.
Bref, j’aimerais avoir vos commentaires car je souhaiterais me frotter petit à petit au vol thermique dans mes plaines de Bretagne, car pour l’instant, la montagne, je n’imagine même pas, sauf peut être en bi.
La question principale que je me pose est celle du meilleur moment pour voler pour aller progressivement vers le vol thermique. D’autres paramotoristes le font mais ont souvent fait du parapente à un moment ou à un autre.
Décoller au début de la journée thermique --> risque de poser en pleine activité thermique. Décoller plus tard pour s’essayer aux thermiques de fin de journée --> le risque est alors plus au moment du déco car ensuite l’activité devrait décroitre et l’ atterrissage sera plus cool.
Mon approche est qu’en fait, il faut savoir détecter l’activité thermique au sol avant d’aller se frotter au thermiques en l’air, ceci afin d’éviter un sketch près du sol.
Est-ce que ce n’est pas le même problème pour vous sur un déco de montagne ou lors d’un treuillage en plaine ?
Merci pour vos réponses.
Laurent
