Question d evolution ou de mode ,meme par peu d alimentation,la grande majorite des decollages sur sites se font actuellement en face voile…Je me demande pourquoi ?
decollage face voile / dos voile
avec des ailes modernes qui gonflent même sans vent … à avoir le choix… le face voile… ben au moins tu vois ta voile … (clé, ascension, aspect…), alors pourquoi se priver ?
c’est comme ça que je me justifie, après, ça n’empêche pas de travailler le dos voile en pente école, toujours utile en cas de “leger cul”
Ah… elle gonfle sans vent relatif l’Alpha 5 ? :grat:
Sûrement un effet de lévitation… quantique. :sors:
Ben! au moins quand tu es face voile tu peux souffler pour créer du vent relatif … :sors:
Ceci dit petite question sérieuse (je vais essayer du moins): Est-ce que le paramètre force de l’alimentation du déco est le seul critère pour déterminer si face voile ou dos voile ou y a t-il d’autres critères que vous prenez en compte?
Si c’est vraiment fort, je crois qu’il n’y pas le choix. Mais à 10 - 15 km/h, pour moi, c’est la topographie du terrain qui décide.
Si je dois hiérarchiser, je dirais que oui. Mais en fait, la pente intervient aussi. Une pente très raide même avec un peu de vent me fera préférer le dos voile pour ne pas risquer une glissade/chute au moment du retournement (mes genoux n’ont plus 20 ans) Idem pour une pente très glissante (herbe mouillée, neige ou gravier/poussière) ou encore pour un déco très encombré par de gros blocs.
Je pense surtout qu’il est bon d’être à l’aise avec les deux méthodes histoire de pouvoir choisir celle la plus pertinente en fonction du lieu et du moment et évidemment pas que en pente-école. Beaucoup de vrai déco n’y ressemblent pas forcément. Idem d’ailleurs si possible dans l’idéal avec différentes façons de gonfler face voile (cobra, depuis la boule, etc.)
Plus notre boite à outils en technique de pilotage est fournie en outils dont… on sait se servir, meilleur seront nos capacités à fournir le travail correct.
Remarque que quand tu es dos voile tu peux péter pour créer du vent relatif :sors: aussi.
Juste pour frimer et faire comme si les pilotes étaient des confirmés :sors:
Mais du coup… il faut vraiment s’appliquer à péter plus haut que son cul.
Ce qui ma fo,i correspond bien à l’analyse faite par M@tthieu. 
:sors:
Je commence par dire que le décollage dos voile est excellent et peut s’adapter à toutes les conditions de pente et de vent. Il est peut-être même quasiment plus sûr que le déco face voile.
Mais personnellement je privilégie le face voile dans 85% des cas car j’ai toujours eu du mal à être bien symétrique (et le bordel en dos voile, c’est de gonfler en levant un côté seulement) et avec les voiles de plus en plus allongées, ce défaut est facilement accentué. Le visuel sur ma voile au gonflage m’aide à corriger la symétrie durant la montée.
Perso, j’ai quand même beaucoup de mal avec les gens qui veulent absolument décoller face voile sur des lieux où le dos voile passe bien et ou l’alimentation est bien faible.
J’ai précisément un souvenir à Passy PLaine Joux, ou 3 gars attendaient un semblant de courant d’air pour lancer leur face voile, quand un dos voile serait passé depuis 5-10 minutes. C’est assez rageant quand tu attends derrière la voile en corolle.
Quand une ecole envoie 8 pioupious en dos voile, est ce que ça vaut vraiment le coup d’attendre une bouffé une plombe pour faire un face voile ou est ce que libérer le déco pour les suivant ne mérite pas de décoller dos voile…
Quand une ecole envoie 8 pioupious en dos voile, est ce que ça vaut vraiment le coup d’attendre une bouffé une plombe pour faire un face voile ou est ce que libérer le déco pour les suivant ne mérite pas de décoller dos voile…
Non ça ne mérite pas car partir en dos voile ça t’assimile à un élève ou à un débutant pas dégrossi et c’est la honte.
J’ai le cas aussi du pilote qui attend une rafale de travers pour faire un face voile, plutôt qu’un léger vent de face avec un dos voile, résultat un décollage merdique.
On devrait tous s’imposer sur des décos faciles d’alterner le face et dos voile afin de choisir la technique appropriée quand c’est plus compliqué.
Comme c’est celui qui dit qui y est, je vais désormais appliquer cela.
Non ça ne mérite pas car partir en dos voile ça t’assimile à un élève ou à un débutant pas dégrossi et c’est la honte.
Rhaaa, zut, va vraiment falloir que je passe plus de temps à attendre sur le déco plutôt que d’aller voler tout de suite avec un dos voile, sinon, je vais rester un pioupiou toute ma vie…
J’ai le cas aussi du pilote qui attend une rafale de travers pour faire un face voile, plutôt qu’un léger vent de face avec un dos voile, résultat un décollage merdique.
On devrait tous s’imposer sur des décos faciles d’alterner le face et dos voile afin de choisir la technique appropriée quand c’est plus compliqué.
Comme c’est celui qui dit qui y est, je vais désormais appliquer cela.
t’es pas obliger de faire ça au déco… Tu peux enchaîner les gonflage sur une pente ecole aussi, histoire de garder les 2 possibilités opérationnelles.
Mais peut etre que faire de la pente, pose le même problème que que celui évoque par Triple Seven (Histoire vécu : “vous aussi vous débutez?” “non, je vole déjà, pourquoi cette question?” “ben la pente ecole, c’est quand on n’a jamais volé, non?” “Heu, non, c’est pour toute la vie de parapentiste” “Mais c’est pas drôle, pourquoi ne pas aller voler” “c’est pas drôle quand on débute, peut etre, mais apres, y a plein de chose à faire, et y a des jours ou on se sent mieux sur la pente qu’en l’air” “ha…[qui en dit long sur l’envie de revenir faire de la pente école et du gonflage]”)
Je sais pas vous mais moi quand je décolle je suis toujours dos voile, sinon c’est un décollage twister.
Bon je joue sur les mots…
Mais Michel Cossec m’a appris, comme je pense dans toutes les écoles, à décomposer le décollage en plusieurs phases.
Il y a le gonflage (mettre au-dessus de la tête, temporisé si besoin), la prise de décision (se retourner, regarder le cap, vérifier que le ciel est libre), la prise de vitesse (courir et charger la sellette progressivement jusqu’à constater le dernier pas).
Pour le gonflage j’ai le sentiment que, dos ou face, la voile ne va pas monter plus vite. Personnellement si le terrain le permet (le plus souvent quand même…), le face est quand même plus simple : j’ai naturellement les mains plus hautes, je contrôle la voile, je me replace avec plus de précision et donc moins de frein : bref c’est plus performant même dans peu d’air.
L’aile est belle, le ciel libre, on fait une jolie prise de vitesse… dos voile.
Après c’est certain que si la physiologie du pilote et/ou le terrain ne permettent pas de gonfler face voile de manière sûr, il est préférable de faire du dos… Sans surprise…
PArce qu’à force, je ne sais plus faire le dos voile :canape:
Parce qu’à force, je ne sais plus faire le dos voile :canape:
Bonjour,
Et moi je déteste le “face voile”, que je n’ai pas appris en école (en 1987 !) et qui me stresse car j’en ai loupé certains où je me suis fait traîner…
Aussi je fais quasiment tout le temps du “dos voile”, comme quoi…
Je sais très bien qu’il faudrait simplement que je fasse du travail au sol, mais je n’ai jamais ni le temps, ni la motivation, alors… j’ai tort bien sûr. 
C’est simplement un problème de motivation ; en fait j’adore voler, mais je n’aime pas du tout les décollages…
Par contre les atterros, mêmes petits et assez délicats, ne me stressent pas vraiment, va donc comprendre !
Marc
peut etre que ça dépend aussi des voiles !
mon ancienne voile gonflait très bien face voile et le dos voiles était plus “aleatoire”, la diamir, je trouve que le deco dos voile est bien plus efficace et plus rapide!
…
Mais peut etre que faire de la pente, pose le même problème que que celui évoque par Triple Seven (Histoire vécu : “vous aussi vous débutez?” “non, je vole déjà, pourquoi cette question?” “ben la pente ecole, c’est quand on n’a jamais volé, non?” “Heu, non, c’est pour toute la vie de parapentiste” “Mais c’est pas drôle, pourquoi ne pas aller voler” “c’est pas drôle quand on débute, peut etre, mais apres, y a plein de chose à faire, et y a des jours ou on se sent mieux sur la pente qu’en l’air” “ha…[qui en dit long sur l’envie de revenir faire de la pente école et du gonflage]”)
Il faut reconnaître que quand on débute, on a principalement envie de voler. Suer des heures sur un pente à faire du gonflage, ben ça gonfle justement :bu:
Pis après 2-3 gonflages approximatifs au déco, on s’aperçoit que finalement, il va falloir y retourner sur la pente, et suer encore. :vrac:
Pis quand on commence à choper le truc, qu’on arrive à tenir la voile au-dessus de la tête avec un peu de brise, ça devient même un plaisir :ppte:
Tout à fait Chris ! Et puis il y a des fois où on foire des décos car les conditions sont plus fortes ou de travers et on rate des cycles ou du temps de vil, et c’est là su’on se dit : “je retourne à de la pente école”, pardon du gonflage 