Salut,
Maintenant, mon cul est automatisé, le moindre pet de mouche dans une demi-aile et mon cul s’appuie systématiquement sur le côté concerné… une vrai machine à tordre du cul.
Du coup, je suis pas prêt de me faire surprendre par une fermeture… sauf que hier, j’ai lu ça:
http://www.flyozone.com/paragliders/fr/learn/tips-and-advice/dealing-with-deflations/
Pour faire simple, le contre-sellette n’est pas du tout une bonne idée (sauf pour éviter le reflief/copains):
Si tu prends 50% d’asymétrique, et que tu contres, tu te retrouves à 100% d’augmentation de la charge alaire sur le côté ouvert. comme si tu échangeais en 1 seconde ta rush3 25 contre un pilpit 12m² dissymétrique.
Mais en plus d’être plus vive, tu te retrouves avec une demi-voile plus vive certes, mais aussi plus rapide, du coup, le point de décrochage que tu atteins d’habitude à 40cm de débattement, tu vas désormais le trouver à 20cm.
Bref, tout est réuni pour que ça se passe pas comme tu fais d’habitude…
J’imagine que les puristes ont déjà débattu de tout ça, mais je n’étais jamais tombé sur cet article qui est pour moi atypique, alors je le soumets à la communauté pour avoir son avis (et éclairer le mien)

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J’ai repris le raccourcis de l’article. Oui enfin ultra momentané, c’est hyper transitoire quand même, et cette force est bien supérieure quand tu sautes que lors du transfert selette je suppose. Ce que je voulais dire c’est que le coup de la charge alaire qui augmente parceque tu fais un appuis sellette (il sous-entend, tant que tu restes appuyés ta charge alaire est supérieure sur la demi-aile retant ouverte que si tu n’avais pas d’appuis sellette) ça me parait un peu gros. Ou alors je loupe un truc. Et il justifie le fait qu’on se rapproche dangereusement du point de décrochage (ou plutôt que celui-ci se situe à des vitesses/air supérieures) parcequ’on est en appuie sellette, et donc que ça reste à éviter.
!
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Et comme il justifie le fait que le point de décro est d’autant plus haut que tu contres…