A lire au coin de la cheminée 
http://philippenodet.blogspot.com.au/2013_09_01_archive.html
Merci de l’info, je le chercherai à la coupe icare.
on peut l’acheter dorénavant sur http://philippenodet.blogspot.com.au/2013_09_01_archive.html et hop sur la table de chevet 
et un petit rappel de ses mots
http://www.dailymotion.com/video/x3ki5u_philippe-nodet_travel
Je suis en train de le lire, il y a vraiment de tres belles pages. La pratique du vol bivouac, engagé à ce niveau là, c’et vraiment un autre monde. A lire.
voir aussi ce fil http://www.parapentiste.info/forum/vol-rando-vol-bivouac/un-beau-livre-sur-le-vol-bivouac-dapres-les-recits-de-philippe-nodet-t31640.0.html;msg407151#msg407151
quelques phrases de ce livre que je ne manquerais pas de compléter après lecture complète
“il est des limites que celles que l’on veut bien se fixer” Bob Drury sur un vol bivouac dans l’himalaya indien
“J’aimerais être assez sage pour ne plus avoir besoin d’une aile pour voler” Philippe Nodet
“A jamais je serai chasseur de rêves, de rêves bleus, clairs, infinis, qui ont la couleur du ciel” dit Philippe Nodet aprés son premier vol bivouac
« Là bas, les ascendances atteignent des proportions inconnues sous nos latitudes. Elles sont à l’échelle des montagnes démesurées. Il n’est ainsi pas rare de prendre plus de 4000 m en moins d’une demi-heure. C’est si rapide, si violent, qu’il faut parfois accepter de faire des paliers dans la montée. C’est comme une plongée en eau profonde. Quand on vole ainsi des heures et des heures, multipliant les variations d’altitude, la tête pèse de plus en plus lourd sur les épaules. On s’efforce de respirer calmement, en privilégiant les contractions du diaphragme, comme le font les oiseaux, de façon à augmenter la pression interne de l’oxygène dans le sang. Et quand on se pose enfin, le mal de tête dure encore longtemps. » en parlant du Karakoram.
Pourquoi les pilotes les plus clairvoyants ne restent pas… pour continuer à nous raconter la route ?
Même les meilleurs !!!