Fermer virage vent de cul en thermique.....

Bonjour,

Je profite de la saison calme pour demander l’avis de tout le monde.

Je vole depuis 2 ans maintenant sur prymus et depuis cette année sur mentor S en milieu de fourchette.
Tant que les conditions ne sont pas trop venteuse j’enroule sans trop de problèmes, la précision n’est pas toujours au rendez vous mais j’y travail.

Le seul cas qui me pose beaucoup de pb, c’est d’enrouler les thermiques quand le vent est un peu plus fort (et du coup thermique un peu plus couché).

Dans la phase vent de face et coté, pas de soucis. Dès que je passe vent de cul, j’ai beaucoup de mal à fermer mon virage. Je finis par bouriner la commande et le résultat n’est pas franchement terrible.

Au début j’ai mis ca sur le compte de la voile, prymus dhv1 que je pensais pas assez vive. Mais maintenant avec la mentor il me parait difficile de dire que c’est la voile (j’ai d’ailleur eu le même truc avec une artic 1 donc…).

Je pense que je volais avec une ventral trop serré (desserrée depuis l’automne), mais pas sur que ce soit la seul raison.

A votre avis ?

:coucou:

mon avis c’est que si l’environnement le permet, le meilleur virage est obtenu … en fermant les yeux
:mdr: c’est pas une question de trainée de tes yeux hein :clown:
le blème ce sont les références / sol que prennent tes yeux et transmettent au cerveau qui te font bourriner.

j’ai p’tre mal expliqué en fait.

Mon pb, c’est que je n’arrive PAS à tourner, comme si mon virage était vérouillé dans cette branche vent de cul. c’est pour ca que je force la commande.
C’est pas bon, si je continus, je vais trouver le départ en vrille je pense.

Pour mieux analyser, je te conseille d’emprunter le gps d’un copain ou un telephone android ou apple avec l’appli qui va bien. Tu enregistre ta trace GPS et tu la mets sur le forum.

Comme ca on pourra voir comment tu te fais sortir du thermique, la puissance du thermique ,quel est la vitesse du vent et plein de petits détails.

en tout cas j’avais bien compris :stuck_out_tongue: :wink:
je sais qu’on en a déjà parlé sur :forum: (mais je ne sais plus où :oops: ), ça constitue un (gros) risque lors des approches par vent soutenu etc …
en fait c’est l’impression (purement) au niveau du cerveau) que tu ne tourne pas paske le paysage défile alors que ton aile tourne comme il faut (dans la masse d’air).
Perso me suis déjà tapé une mise en vrille vrille comme ça à 3m / sol lors d’une vache du coté de sintil… paske j’ai plus écouté mes yeux que mon aile.

Oui, comme dit Piwaille, essaie avec les yeux fermés!
Si tu gardes toujours la même position de frein, ton virage est homogène (si tu restes dans la même masse d’air). Avec du vent, tu te décales par rapport au sol, mais ton thermique aussi! Si tu l’as bien centré près du sol sur un tour, continue de l’enrouler avec la même pression de frein. Ce sentiment de ne pas tourner quand tu es vent de cul est effectivement lié à ta vitesse par rapport au sol. Tu t’apercevras d’ailleurs que plus tu montes dans le thermique (donc plus tu t’éloignes du sol) plus tu auras l’impression que ton virage est homogène.
Gaffe quand même quand tu enroules bas le long d’une pente, en te laissant déporter par le vent, de pas finir dans un arbre en voulant boucler coute que coute le virage!

impression du cerveau, je ne suis pas bien sur que ce soit toujours le cas.
quand on est haut, je ne dis pas, on peut très bien avoir des sensations différentes de la réalité.
mais quand on est à 50m/sol, on constate facilement et avec précision que cette “chasse”, ou “dérive”, ou “contre” est bien présente de temps en temps.
personnellement, je constate aussi la même chose par moment, autant en l’air qu’au sol en regardant les autres, et ça se voit bien quand ils ne sont pas haut.
on peut aussi retrouver ce “phénomène” sans thermique. exemple, tu veux faire un 180 pour une prise de terrain, mais vu que tu as la place, tu inities simplement un petit virage à la commande. ça fait faire un mouvement sur le roulis, la voile plonge un peu, commence à tourner, et fini par bloquer. le poids du pilote revenant sous la voile, celle ci se met en “vol droit” malgré que l’on a toujours une action sur le frein intérieur.
à ce moment là, soit on force et c’est pas très joli, soit on relâche le frein, il va y avoir un petit mouvement de roulis ramenant le pilote à l’intérieur du virage et , comme ce mouvement tends à replacer le pilote au centre, on remet un coup à la commande (un peu comme on joue avec le roulis pour les wings). j’ai remarqué que ça venait de ma mauvaise synchronisation entre mes gestes, mon point de gravité, ma vitesse et l’angle de ma voile. maintenant que c’est devenu une simple histoire de sensations et plus de réflexion ça ne m’arrive quasiment plus. tout ce fait en fait au départ du virage et en jouant frein sellette dans le premier mouvement de roulis
sinon, pour quand ça arrive dans les thermiques, c’est apparemment souvent du aussi au fait que la voile se retrouve entre deux eaux air, (a savoir qu’une entrée en thermique peut faire buter ta voile, par extension, il y a même des pompes où l’on arrive pas à entrer. si tu reste à l’intérieur, ça se fait bien, si tu sors un peu, c’est là que ça complique dés fois la chose) mais je n’ai pas envie de me reprendre encore des :tomate: même si ce que j’avais écrit fonctionne très bien (chose que je n’ai d’ailleurs pas inventé, on me l’a largement transmise), je laisse donc la place…

:pouce: c’est exactement ce qu’ai l’impression qu’il se passe.
Ou je force l’intérieur, ou je pompe l’intérieur.

Il faut probablement que je progresse dans la syncro sellette/commande pour garder l’inclinaison de la voile et éviter le verrouillage au moment du rappel.

Un autre point que j’avais pensé, sur l’axe du tangage quand je rentre dans le thermique.
Exemple, j’y rentre sous le vent (ben ouais on choisi pas toujours…), mouvement à cabrer, virage, la voile reprend de la vitesse dans le virage, je me retrouve vent de cul en fin d’abatée (petite quand meme !!!). Il me semble qu’à ce moment la vitesse voile est inférieur à ma vitesse et que le virage est du coup moins efficace aussi. Si tout se combine…

Bravo Dawa ton cerveau est en parfait état de marche puisqu’il te trompe avec beaucoup d’efficacité ! :lol:

Je confirme que le problème vient bien d’un décalage entre ton pilotage et les infos venue de tes yeux. Tu verras sur le schéma ci-dessous (que j’ai emprunté sur wiki-parapente.fr) que quand tu pense faire un 180 par rapport au sol, tu fait en réalité un 90° ou un 270° (environ suivant la force du vent).

Il suffit pour le démontrer de faire des 360° dans du vent avec les yeux ouverts et ensuite fermés (haut et en espace libre bien sur !). Les yeux ouverts, Fracio décrit très bien les sensations de virage “paresseux” et une dureté au commande qui change au cours du virage. Dès que tu ferme les yeux le changement est spectaculaire, le virage est régulier.

Comme tu le souligne plus on est bas et plus cela est sensible (plus d’information visuelle).

En pure mécanique de vol, le profil fonctionne DANS la masse d’air environnante et peu importe que cette masse se déplace. Une aile tourne EXACTEMENT de la même façon dos ou face au vent et les efforts aux commandes ne changent pas (malgré les sensations fausses).


http://nsa20.casimages.com/img/2010/12/10/101210103456359939.png

heuu…

je ne dis pas que l’aile ne tourne pas de la même façon dans un sens ou dans l’autre. d’ailleurs, si tu relis ce que j’ai écrit, tu ne trouveras rien là dessus.

je disais qu’à la façon d’initier le virage, il y a des cas ou tu te retrouve bloqué. et il suffit de regarder le défilement du sol, qui est quasiment droit, pour se rendre compte que tu ne tourne pas.
l’histoire est simple, la dernière fois que ça m’est arrivé, c’était en mini. je fais deux passage au dessus d’un attéro improvisé pour savoir quel est le sens du vent (y en avais pas, ou très peu, et rien au sol).
je fais quelques petites pertes d’altitudes et, arrivé à la bonne hauteur, j’avais l’attéro derrière moi, j’initie un petit virage dans le but de faire un 180 tranquillou vu qu’il y avait largement la place.
j’ai du faire une 100aine de ° et, stop, la voile revient quasiment à plat, moi presque centré, avec toujours le même effort sur la commande.
je reste comme ça un laps de temps en inclinant sellette.
que néni, j’avais toujours l’attéro main droite, et ça restait comme ça.
là j’ai lâché ma commande et profité du mouvement de roulis amplifié sellette pour la reprendre et faire un bon vrai virage, mais j’ai du coup été un peu court pour la pose.

à partir du moment ou l’attéro ne change pas d’orientation par rapport à moi (ou l’inverse), c’est bien que je ne tourne plus, il n’y a aucune autre solution possible, si ce n’est que la terre se mette à tourner en même temps dans le bon axe et à la même vitesse que moi. mais vous l’auriez tous ressentit ! :lol: la dérive est une chose, le cap en est une autre…qui ne trompe pas, et qui n’est pas sujet à une extrapolation du cerveau tant que celui ci n’est pas désorienté par quelque chose d’ inhabituel. et un simple virage tranquillou ne vas pas plus désorienter le cerveau qu’un rond point pris un peu fort en voiture.

pour être sur de son cap, il ne faut pas regarder un point, mais en aligner 2. chose que l’on fait couramment en voile avec les amers, et chose que je fait couramment tout le temps, y compris en volant.

il est impossible, si les amers sont fixes et que l’on est pas en pleine montée d’LSD, que ça en soit autrement.

avec un peu d’habitude, on arrive même à évaluer la dérive avec précision grâce à deux point aligné en horizontal, et 1 point vertical (3D en PP contre 2D en voile), chose que l’on fait tous machinalement plus ou moins bien, et plus que bien quand on a appris et que l’on s’est réellement entrainé à le faire en rajoutant la notion de temps.

concernant la difficulté à tourner avec la voile dans les changement d’air (ce qui n’est pas là pour expliquer mon histoire ci dessus, mais qu’il y a juste un tas de possibilités).

dire que le changement de la masse d’air (direction, vitesse…) n’influe pas à un moment donné sur la “trajectoire” (dans ce cas dont on parle) d’un ensemble composé d’une aile et en mouvement dans cette même masse d’air (et donc qui fonctionne avec les forces communes à toutes les ailes) me semble un peu…“drôle”. (d’ailleurs, regarde bien ton shémas)

pour la bonne raison que pour tourner, la voile (l’aile) à besoin de s’incliner. (et on est d’accord, jusque là, ça se présente exactement de la même façon que tu sois de face, ou cul au vent)
en prenant un exemple ou l’on est vent de cul bras haut, on subit la force du vent qui s’additionne avec la vitesse de la voile par rapport à son ensemble et, quand on veut initier un 180 (pour l’exemple, mais sinon simplement un virage, on est d’accord), on incline celle ci.
il y a déjà un changement de vitesse qui augmente au début, mais, arrivé à un certain angle du cap du vent, la voile se retrouve à présenter plus de surface opposé au vent.

on est bien d’accord que l’aile vole grâce aussi (et principalement) à la dépression crée sur l’extrados de part l’accélération de l’air autour de celui ci, accélération qui sera moindre sur l’intrados, de par sa forme.

à partir du moment ou l’aile présente son extra plus perpendiculairement au vent, et dans un sens qui commence à devenir inverse (au fur et à mesure de l’angle de la rotation), l’air passant sur l’extrados se désorganise dans une certaine mesure (et bien sur aussi sur l’intra), ce qui change les équilibres entre intra et extra.
dans le sens où, la depression sur l’extra sera moindre (donc le sens de l’aspiration), et que l’on présente cet extra plus perpendiculairement au vent, on se retrouve contré, surtout sur la demi intérieure, ce qui devrait logiquement accentuer le virage (en ralentissant davantage la demi int).
seulement, l’aile n’est pas toute seule, on y est raccroché par des suspentes.
notre corps, de par sa densité/masse, se retrouve lui pas vraiment contré et subit immédiatement la gravité.
vu que la demi int nous porte moins, on se retrouve à descendre plus vite, et à un moment, en tendant plus les suspentes sur la demi ext, donc on est plus porté par celle là (surtout si l’on a pas emmagasiné assez d’énergie pour que notre masse (corps), par inertie, garde la même tension sur la voile).
et vu que cette demi ne suffit pas à nous porter, on la fait redescendre (sans parler des différences de vitesses qui peuvent initier la rot) ce qui nous remet à plat (l’aile).

et pour tourner, l’aile à besoin de s’incliner.

rajoute à ça une masse d’air qui vient contrarier encore les équilibres, et surtout au niveau de la demi int, et l’aile à tendance encore à se retrouver à plat au bout d’un certain temps.

donc il y a forcément un moment où, dans ce cas, on se retrouve contré, et que notre vitesse de changement de cap se retrouve être ralentit, voire presque bloqué dans certains cas qu’il me serait difficile de détailler par manque de connaissance. il faut alors ré équilibrer les forces en action et recommencer.

dans d’autres circonstances, et d’autres équilibre/déséquilibre on se retrouve à buter dans les pompes, c’est bien que la masse d’air influe sur notre aile d’une façon ou d’une autre…sinon c’est quoi ?

de plus, ton shémas précise bien que, pour un même virage initié mécaniquement, le rayon du virage va être différent en fonction de la direction de la masse d’air (donc modification par influence).
en regardant ce shémas, on pourrait faussement penser qu’il est toujours plus facile de tourner face au vent que vent de cul.
ce shémas n’est pas fait pour expliquer quoi que ce soit qui corresponde à la question initiale.
pour la bonne raison que la question se situe dans un environnement en 3D qui est en mouvement, et nous qui sommes en mouvement également dans cet environnement.
ce shémas est en 2D et ne tient compte sur le plan 3D, (par déduction logique) que du déplacement de la voile en vertical !

c’est un peu comme si je te donne le même shémas pour un voilier, mais que ta question à toi, c’était que tu te retrouvais avec des difficultés pour virer de bord avec des creux de 2 m.
ce n’est forcément pas pareil, les creux influants sur les angles d’attaque du vent par rapport aux voiles, ainsi que sur la coque en fonction des moments de son inclinaison par rapport à son assiette et son cap.

c’est sur qu’avec une mer plate on peut faire des shémas, dés qu’il y a des creux, et que l’on rajoute une 3ème dimension, il faudrait quelques dizaines de milliers de shémas pour pouvoir expliquer “scientifiquement” une chose aussi complexe.

:koi: :koi: :koi:
:speedy: :speedy:

Tu es totalement aux fraises car tu mélange les repères air et les repères sol.

Au sens mécanique de vol, une aile ne fonctionne qu’en fonction de l’air qui l’environne, il n’y a pas de vent qui s’additionne ou qui se soustrait. Par contre on en tiendra compte en technique de pilotage car quand on pose vent de cul on sent bien que ça s’additionne !

Tu mélange aussi allégrement les phases stables et les phases transitoires (entrée de thermique ou rafale).

Par exemple, quand tu explique que l’aile ne tourne plus en approche malgré une commande constante, il est possible que tu rentre dans une accélération ou un changement de direction du vent et que ton aile continue sa rotation par rapport à l’air ambiant mais qu’elle semble rester fixe par rapport au sol (hypothèse).

C’est souvent le problème des pilotes qui travaillent beaucoup la théorie dans les livres et qui ont du mal à mettre en rapport ces connaissances et les sensations en situation.

Mon ordonnance : Profiter d’un jour de mauvais temps sur un site pour qu’un moniteur te reprenne les bases de méca-vol. Si tu traine un jour à Samoens ce serait avec plaisir. :wink:

Je ne vois pas bien pourquoi tu cherche à dissocier la mécanique de vol et le vol en lui même. l’un ne fait pas partie intégrante de l’autre ?

[quote]Au sens mécanique de vol, une aile ne fonctionne qu’en fonction de l’air qui l’environne
[/quote]
et l’air…il ne “bouge” pas ?
il n’exerce aucune force “changeantes” sur le profil ?
le profil ne réagit il pas à ces changement de forces ?

STP…fais un effort,

car tu n’apporte rien du tout à la discussion, tu n’aide en rien à la compréhension, tu es dans les choux en terme pédagogique.

c’est souvent le problème des personnes qui ont oublié en cours de route, que les théories de communication ne servent à rien si elles ne sont pas mise en application.

et si je passe par chez toi, j’espère que tu m’en dira bien plus qu’aujourd’hui…parce que pour l’instant ??? :affraid:

:wink:

De rien …

[quote=“dawa grup ©,post:13,topic:32958”]
Je ne suis pas à la retraite et je donne des cours théorique tout au long de l’année. Je ne pense donc pas être trop rouillé sur ma pratique d’enseignement. La pédagogie contrairement au commerce n’est pas de donner toujours raison au “client”. :lol:

Tu mélange le fonctionnement aérodynamique du parapente et les répercutions sur la trajectoire sol ce qui t’induis en erreur.

Imagine quand tu parle de mécanique de vol que la voile soit “aveugle” et quelle ne fonctionne qu’en fonction du vent qu’elle reçoit effectivement, on parle de repère air. Par contre quand on parle de technique de pilotage, il faut tenir compte des dérives, on parle alors de repère sol.

En dehors d’un effet transitoire (rafale) le vent relatif est constant que l’on vole face, dos ou travers au vent. Donc oui, ça ne bouge pas, pas de forces changeantes ni de réaction de l’aile. S’il te plait fais un effort et révise tes fausses certitudes.

Tu l’as bien lus?
C’est justement ce qu’il t’a expliqué :trinq:
Enfin je crois…

A partir d’un certain point, la pédagogie ça devient de l’héroïsme. P.Samoens essaye de t’expliquer gentiment des choses, il passe du temps à te faire des petits dessins, et voilà comment tu le remercies !
A sa place, j’aurais laissé tomber depuis un bail.

Il y a de rares situations dans lesquelles la direction du vent peut avoir un effet sur le pilotage, par exemple les thermiques tournants ou le gradient de vent. Ce sont des situations de vent stationnaire, c’est a dire qu’a un endroit donné le vent reste constant au cours du temps mais qu’a une certaine distance il peut etre different en vitesse ou en orientation. Mais si on parle de vent qui change au cours du temps on parle de turublences et de rafales, et dans ce cas l’orientation de l’aile par rapport au vent a peu d’influence, dans tous les cas on se fait secouer et on ne peut pas vraiment prevoir si la turbulence va aider a tourner ou bien gener le virage.

Ce schema est generalissime, son auteur doit etre un pur genie !

Bandit, t’es gentil, mais quand tu cites, fais le correctement, j’ai passé 10mns à chercher où se trouvait la phrase en question ! :wink:

tu l’avais mis lors de la ré edition ?
parce qu’au début, je n’ai vu que les phrases “tu mélanges tout” etc…
j’ai posté et j’ai vu ensuite l’invitation en fin de post et j’ai ré édité moi aussi la dernière phrase, mais je ne l’ai pas relu complet.

bon, en fait, je crois bien que l’on est d’accord. je me tue à dire depuis le début, apparemment surement mal, que les repères sols montrent bien qu’à des moments, il y a des changements dans la masse d’air, et vice versa du fait du “comportement” de la voile face à cette masse.
je ne comprenais d’ailleurs pas pourquoi tu postais un shémas qui allait dans ce sens en disant, me semblait il, l’inverse.

c’est à dire que si l’air change et qu’il te pousse plus d’un coté que d’un autre, tu te retrouve bloqué…contre le relief.
et souvent, c’est bien ce qui compte le plus car il faut réagir avant de faire papier verre.
mais je ferais des efforts pour bien constater que la voile ne change jamais de d’inclinaison (par exemple) dans les virages à cause de la masse d’air.
pour l’instant, je ne suis pas convaincu. mais j’entends bien et j’essaierai de voir ça en vrai.

et nous sommes bien d’accord aussi j’imagine, que la pédagogie, ce n’est effectivement pas le fait de donner raison ou pas (je ne te demandais pas ça), c’est de savoir adapter la façon de transmettre en fonction des personnes à qui on transmet…c’est ça non ?

merci pour ton explication

:frowning:

toi tu regarde et cites un peu ce que bon te semble ! (remonte à peine plus haut et fais aussi les autres citations ! ) :wink: