Je profite d’un calme profond sur le fofo… ou d’une vague envie de me faire remonter les élévateurs ?
Voilà : malgré 27 ans d’activité volante (trop modérée, 500h environ) j’ai l’impression de presque redémarrer à zéro avec ma première aile équipée de joncs, profil reflex, dont on me dit qu’elle DOIT voler bras tout en haut
Venant d’une époque où on devait tenir sa voile avec 30cm de freins, j’avais déjà eu du mal à lâcher la tension, il y a environ 15 ans sur la génération 21è siècle, mais là c’est vraiment très nouveau et difficile … d’attendre que ça remue suffisamment pour intervenir avant que ça dégénère.
D’un naturel plus confiant dans l’aile que dans le pilote, j’ai laissé vivre jusqu’à me prendre une grosse fermeture qui a rouvert dans une explosion énorme (jamais entendu pareil en vol !, bon quand les autres ferment je suis pas juste à côté…) Ca m’a rappelé la destruction récente d’une aile après sketch
Question 1 : les réouvertures avec joncs sont-elles normalement plus bruyantes (et violentes ?) que sans ?
Question 2 : faut-il vraiment n’avoir aucune tension sur le frein ou accumuler l’expérience qui permet de n’intervenir qu’en dernier recours, sachant que pour trouver cette limite je me reprendrai qq fermetures pas très sympas? ou accepter de brider souvent l’aile qui ne sera pas en vol optimal?
la balle est dans votre camp…
avec modération 
(PS je n’ai trouvé sur le sujet que le fil
http://www.parapentiste.info/forum/techniques-de-cross/le-laisser-voler-avantages-et-limites-t41964.0.html)
. Tu peux sans problème continuer à tenir ta voile en tension quand ça bouge. Le peu que tu perdras en efficacité sera largement compensé par le confort suplémentaire. À moins de jouer en coupe du monde, nous ne sommes pas à quelques minutes près.

la fermeture,
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