@ Michel, salut,
En aucun cas je réfute que l’argumentaire développé par rapport à la Loi et/ou sécurité à l’époque par Fabrice était faux. Juste que moi et sans doute beaucoup d’autres à l’époque et encore plus sans doute aujourd’hui, nous n’avons pas les compétences et connaissances de vraiment trier dans les conclusions des uns et des autres ce qui relève de l’info ou de l’intox. Bref dans une certaine mesure cela revient dans tous les cas à signer un chèque en blanc aux uns ou à l’autre. Mais force est de constater que même les principaux concernés, ceux qui ont perdu ces 600 000 € voire encore plus autorisés, ceux qui ont perdu un proche et qui pense que cela est directement lié à cette décision. Personne d’entre-eux ne s’est rallié à Fabrice pour faire valoir leurs droits à indemnisation ou compensations (?)
Et si au ministére un haut-fonctionnaire aurait vraiment été convaincu de l’argumentaire de Fabrice, n’y aurait-il pas eu d’autres suites que seulement une discussion discréte ?
Ou encore si les faits de violation du Code du Sport, Civil voire Pénal comme affirmé. Pourquoi aucune action en Justice ne s’est vue engagée ? Edit : grillé par Marc)
Et au-delà de tous ceci, à quoi rime de encore et toujours remettre sur le tapis cet événement (que j’estime aussi comme mal geré par la fédé) alors qu’il est clair que rien ne sera entrepris rapport au passé, que tout au plus on peut espérer faire mieux dans l’avenir. Et ce n’est pas en s’isolant dans une lutte désespérée que l’on obtient de l’adhésion du plus grand nombre pour espérer réellement jouer un rôle futur dans un changement heureux.
Perso cela me désole de voir Fabrice se perdre dans son combat perdu contre une minorité et de ce fait non-présent comme il avait su/pu par le passé l’être pour la communauté parapente et aussi de devoir me dire qu’il se gâche ainsi de belle année à vivre dans cette communauté parapente pour le simple fait de ne pas savoir/pouvoir tirer un trait.
Maintenant quand je vois que Marc non plus ne sait/peut pas faire autrement que de tenter encore et encore affirmer sa vision (et ses corrections ortho-gramatico-vocabulaire du Français écrit) Je me dis que c’est surement une question de facteurs humains et que c’est très difficile à contrer)
Je dis ça, je dis rien et bonne soirée,
