J’ai lu le le fil (et comme souvent sur ce forum, j’ai dû faire du saute-mouton avec les échanges qui partaient en cacahuète).
Bref, dans le fil en question il est fait référence à un article dans Voler.info que j’ai lu aussi.*
Et il semblerait que le fameux rouleau de printemps que tu connais depuis la nuit des temps était sans doute moins courant que maintenant, ce qui contredit ton analyse. Permets moi donc de douter de tes affirmations et de me poser des questions.
Quant à la sortie “avec un “bang” sur les freins au bon moment [qui] est très rapide et ne consomme que vraiment très peu de temps et d’altitude.”
1/ Je demande à voir quelle est la hauteur consommée. Tu as dit toi même avoir failli terminer sur un rocher avec une frontale collée.
2/ C’est de toute façon toujours une perte supplémentaire de hauteur comparée à une voile qui réouvre spontanément et rapidement.
Apparemment, tu ne veux pas entendre ce que j’essaye d’expliquer sur la “zone grise” et la sécurité. Je n’insisterai pas plus vu que je ne sais pour quelle raison ce sujet te mets dans tous tes états (car tu sembles penser qu’il est odieusement inimaginable que les gens découvrent ce phénomène, voire qu’ils sont dans le déni!).
- Je cite:
[i]"Avec les voiles récentes, munies de joncs dans le bord d’attaque, combinés à des points d’attaches des “A” assez réculés, les frontales sont souvent plus amples et plus stables, nécessitant éventuellement une réaction du pilote pour accélérer la réouverture. C’est dû au fait que le point autour duquel se plie le bord d’attaque recule pour ces ailes modernes qui ont des joncs, des profils “Shark Noses” et les lignes A reculées, le bord d’attaque se retrouve donc plus facilement plaqué sous l’intrados par le vent relatif.
[…]
La diminution du nombre de suspentes sur les ailes parapente de nouvelle génération joue également un rôle important et peut potentiellement retarder l’ouverture : le vent relatif fait passer des parties du bord d’attaque dans le suspentage de plus en plus ajouré de nos ailes modernes. Un facteur supplémentaire retardant la réouverture, voire empêchant une ouverture autonome…
L’aile se trouve donc dans une configuration de parachutale, et plus l’allongement est grand, plus les chances sont grandes que l’aile se tord ou se vrille, rajoutant des mouvements asymétriques à cette phase de vol. Certaines ailes EN B “haut de gamme”, avec des allongements autour des 5.5, sont plus concernées que les parapentes plus compacts dans la catégorie EN A."
Voler.info 30/06/2014[/i]


après cela dépend de plein de paramètres comme la situation familiale, le vécu, le mental etc…