La PMA tacle le DHV

:+1: J’ai plutôt pas mal de plomb dans mon cerveau et je n’ai pas trouvé ces infos sur les ailes que je visais et j’ai surestimé mon niveau de pilote en volant dans des conditions inadaptées avec mon nouveau matos que je ne connaissais pas encore car tout paraissait trop facile.

Je bosse en ce moment sur une mission dans le domaine de la certification dans un autre secteur d’activité, c’est pas toujours glorieux et on en arrive à une situation de crise où les organismes de certification perdent de l’argent, les personnes certifiées ne peuvent plus payer leurs tests de certifications et les clients au final ne sont plus protégés par les diagnostics souvent mal fait par des diagnostiqueurs au bord du dépôt de bilan et de la dépression/envie d’arrêter et qui bâclent les diagnostics (diagnostics sur lesquels reposent des garanties via les compagnies d’assurances…).
:+1: donc avec Fabrice, on ne régule pas toujours tout et on ne limite pas toujours le risque par un excès de normes. La régulation du marché libre peut parfois faire mieux car un modèle dangereux ne va pas se vendre. Le bouche à oreille et l’échec commercial vont plus vite que la norme pour éliminer les modèles pas top.

Pourquoi l’oublier en quoi est il choquant ?
:+1: pour toute ta synthèse, mais pourquoi censurer d’avance la proposition constructive de toute ta synthèse, car la clé, elle est là, un lâcher officiel sur chaque modèle de voile pour pouvoir voler.
Ça coûterait pas si cher au pilote car on ne change pas de voile comme de chemise et ça donnerait du taf aux moniteurs pour faire 1/2 journée de grands vols pour le lâcher.

Totalement inutile, économiquement abusive, infondée (une partie des moniteurs n’est pas apte à juger du niveau d’une autre partie des pilotes), techniquement utopique (tant qu’à faire, autant imposer un siv) et totalement improductive car cela ne réglerait en rien le problème de l’accidentologie (… si tant est que ce soit un vrai problème …).

En bref, une vraie solution technocratique digne de l’administration fiscale !!!

Je veux oui que ça m’en couterait : Si je me réfère a un certain nombre de BE que je connais, hors de question que je laisse certains d’entre eux (qui faisaient leurs premiers gonflages en me demandant des conseils), qui ne volent jamais en solo et qui ne font jamais de sorties hors bocal, décider pour moi du matériel avec lequel je peux voler. Je veux bien qu’ils ont eu une reconnaissance par l’obtention d’un brevet officiel, c’est pas ça qui en fait à mes yeux, des dieux vivant. yen a même que je trouve plutôt petit niveau :canape:
Et pi, filer du taf aux moniteurs !!! rhooo les pauvres, si ils sont dans la merde, je veux bien leur filer un peu de taf…dans mes champs.

Comme toujours, il faut quantifier, dans la mesure du possible, les problèmes, et le coût des solutions.

A quoi cela sert de dépenser du fric, du temps, de l’énergie sur un aspect mineur?

Ouaip, on peut évaluer et certifier des tas d’engins quand il ne s’agit que de technique, évaluer et certifier des gens est une autre paire de manches, vous pouvez en croire mon expérience de prof.
Des profs “certifiés” (voire même agrégés) nuls à chier tout debout, j’en ai croisé des wagons au fil de 36ans de carrière. Quand on ne pratique plus ce qu’on a plus ou moins maîtrisé à une époque, on oublie et on s’abêtit. Idem quand on pratique à un niveau trop bas.
C’est ce que disait ci-dessus un intervenant au sujet de moniteurs qui, ne faisant que du biplace pour des raisons alimentaires et autres, perd une part de ses qualités pédagogiques.
Je connais tous les moniteurs qui enseignent à Annecy, certains ne font plus que faire décoller les stagiaires parce qu’ayant fait trop de biplace pendant trop d’années ils ne sont plus assez sûrs d’eux pour les guider en l’air et à l’atterrissage. Le dire sans complexe est une forme de courage que je salue.
D’autres, et on les connaît, préfèrent ne plus enseigner parce qu’ils ont commis des erreurs, eux aussi ont parfois le courage de le dire.

Dans les conseils de classe, on me voyait toujours monter au créneau quand une prof (de lettres en général) déclarait que tel ou tel jeune n’arriverait jamais à rien, qu’il était nul de chez Nul. Là je me levais, je tonnais, je vitupérais cette insondable sottise bouffie d’orgueil qui consiste à juger, mais à l’aune de quelles références ? Moi je disais que l’élève avait des résultats nuls par absence de travail, que je pouvais juger de la qualité des travaux effectués mais que jamais je n’aurais l’idée de juger la personne.

Avec le temps on va toujours dans le sens de la tolérance, on laisse ouvertes des portes que plus jeune on aurait peut-être claquées, on a appris que même les gens qu’on trouvait nullissimes pouvaient nous étonner et se montrer excellents quand ils étaient motivés.
C’est aussi pour ça que, dans les conseils de discipline auxquels j’ai participé, j’ai toujours assuré la défense et refusé de juger.
J’ai connu des crapules qui ont bien évolué, personne n’aurait parié un rouble sur eux.

Alors je reviens à l’évaluation des pilotes et je suis perplexe. Faire appel à leur réalisme en leur demandant de s’auto-évaluer, comme cela se pratique en fait quand un pilote lambda achète une voile, c’est comme faire confiance à un escroc : tel qui veut telle voile l’aura, et si un marchand ne la lui vend pas il la trouvera ailleurs. Les gens ne sont pas toujours honnêtes avec eux-mêmes.
A partir de là les marchands (et les particuliers) vendent parfois des voiles à des gens incompétents, lesquelles gens ne se cassent pas toujours la gueule.
On n’y arrivera pas comme ça.
Quand j’ai acheté l’Awak 18 fin 2010 (à un particulier), je l’avais longtemps cherchée et il me l’a vendue. Je n’avais pas assez de compétence pour voler avec cet avion et je me suis cassé la gueule en 2011.

La FFVL nous propose divers niveaux pour nous breveter, et c’est louable, mais comme il n’est pas obligatoire de posséder un brevet si on ne vole qu’en France et qu’on ne fait pas de compète ni de biplace, un grand nombre de pilotes ne sont jamais évalués officiellement, et beaucoup d’ailleurs n’en ont rien à foutre.

Il y a diverses classes dans le permis de conduire, mais avec le permis B on peut rouler en Deuche ou en Ferrari, en 106 ou en Porsche, en Smart ou en camping-car, les compétences de pilotage nécessaires ne sont pas du tout les mêmes.
Nos brevets sont aussi insuffisants que le permis de conduire.

Un marchand de voitures vend ce que le client demande, l’usage qui sera fait de la voiture ne le regarde pas. Idem un marchand de parapentes, qui ne se même pas de savoir si le client est compétent ou non.
En général…
Il n’y a guère que pour les avions qu’une certification rigoureuse est exigée, qui passe par des heures et des heures de vol en diverses configurations, et des tas d’examens. Cela revient très cher et cela limite (fort heureusement) le trafic aérien. Si on appliquait la même rigueur pour le parapente, plus personne ne volerait.

Les Allemands et les Suisses exigent un brevet draconien pour laisser des pilotes voler librement, sans encadrement, et il y a des contrôles sur les décollages. Résultat : les brèles viennent voler chez nous, cela ne leur coûte rien et personne ne les emmerde.
On ne peut pas leur donner tort et cela fait marcher l’industrie du tourisme.
Les bons viennent aussi, évidemment.

Quand j’ai commencé à voler avec l’Artik, en mai 2010, Damien (Grands Espaces) ne voulait pas me la vendre parce que je venais d’une Joy, il a mis plus d’un mois avant d’accepter, un mois pendant lequel ses moniteurs m’observaient en l’air, et c’est finalement David Eyraud qui l’a décidé, après 2 stages SIV que je venais de faire. Quand David dit que la pilote maîtrise parfaitement sa voile, on peut le croire.
Damien me connaissait depuis mes débuts et quelque part il me protégeait, après un terrible accident. Tous les marchands n’ont pas une telle déontologie.
:trinq:

karma+ Viviane,

Après, moi ce que je retiens de la lecture de l’emsemble de ce fil et de tous le reste que j’ai eu l’occasion de lire et d’entendre à propos de la pertinence ou plutôt non-pertinence de l’homologation actuelle, est que :

Le comportement retenu à l’issue des test fait dans le respect du protocole d’homologation ne préfigure que rarement et/où partiellement le comportement que l’aile peut avoir en conditions réelles.

Les constructeurs, du moins ceux représentés par la PMA, se satisfont de la situation.

La fédé DHV tire un signal d’alarme même rapport à des ailes homologuées par le certificateur DHV.

La fédé DHV n’émet pas de doute sur les autres certificateurs, elle ne remet en question que la pertinence des protocoles de tests tels que définis actuellement par la norme sur l’homologation.

Si la fédé DHV n’était pas en droit de donner son avis, en le commentant, sur des ailes qu’elle fait essayer par ses pilotes essayeurs. Quels seraient les arguments de nature à autoriser des revues spécialisées dans le domaine, de publier les avis et commentaires de leurs pilotes essayeurs ?

Est-ce que apporter une information la plus exaustive possible, n’est pas une des pierre angulaires indispensables à la construction d’une réflexion pertinente quant au choix d’une aile ?

En quoi dire clairement photos a lappui, suite à des essais comparatifs, ce qu’il faut lire entre les lignes, voire deviner, dans les présentations marketing des constructeurs, dans les “essais” des magazines spécialisées et même au vu des résultats des tests d’homologations synthétisé par une lettre ?

Mais bon, j’ai quelques numéros de parapente-mag du debut des années 90 en lecture ( :coucou: Marc) et déjà à l’époque le débat sur la pertinence de l’homologation sous sa forme d’alors faisait rage.

On en parlera certainement encore après un autre quart de siècle, rendez vous pris pour 2040 (pour ceux qui seront encore là, à commencer par le parapente lui même)

[quote=“wowo,post:39,topic:57825”]
Mon tempérament très pessimiste - un pessimiste est un optimiste bien informé (proverbe russe) - me fait quand même penser que les choses évolueront, avec comme dans tous les domaines un retard conséquent des bureaucrates sur les réalités de la question.
Et si la bureaucratie “européenne” met le nez dedans, ce sera encore pire.
Parions donc (je serai dans le trou en 2040, je ne risque rien à parier) que le sujet n’est pas près de trouver une conclusion.
Et réciproquement.

Je salue donc les initiatives des constructeurs, eux au moins sont à la pointe de la question, ce sont eux qui innovent et qui font avancer les choses. Qui se rappelle un gugusse, il y a belle lurette, qui se disait compétent et qui claironnait haut et fort qu’une voile ne volerait jamais avec plus de 9 caissons ?
Heureusement, il y aura toujours la :trinq:

La PMA tacle le DHV ? Faut croire que non…

Puisque le DHV mets en ligne non seulement les PDF de leurs Safety-Class tests (11 articles à ce jour) mais y rajoute maintenant carrément deux vidéos sous-titrés en anglais. La 1ère expliquant en image la démarhe et la 2ème montrant la procédure et quelques exemples pour comprendre leur notation.

Bon visionnage,

https://www.youtube.com/watch?v=lKVaWHc2Sxc

https://www.youtube.com/watch?v=IhN6LYMpo8g

Est-ce que le DHV est financé par subventions publiques gouvernementales ou régionales ?

A la fin de la 1ère vidéo, le gars explique que le DHV est financé par les cotisations de ses adhérents.
C’est pour cela dit-il qu’ils ne testent pas tous les modèles ni toutes les tailles, mais seulement les modèles les plus vendus (qu’ils achètent dans le commerce).

Plein de choses intéressantes dans ces vidéos…

  • Ils ne testent que EN-A et EN-B
  • Plein d’infos sont enregistrées avec un logger dans la selette et un dans la voile (quel impact sur la dynamique de la voile ?)
  • Le pilote de test ne sait pas faire une sortie chandelle sans se prendre la voile sur la gueule

Oui, j’ai vu ça. Mais je me demandais si le boulot (énorme) réalisé par le DHV, était financé uniquement par ses fonds propres ou s’il y a aussi en plus un système de subventions…

la vache en effet… ça fait un boulot énorme avec les log etc…

Amis pour quel resultat au final ?? Car ça abouti a des classements ou tu te retrouves avec 2 ailes au meme niveau alors que dans la vrai vie c’est pourtant bien different !?

Norbert

C’est une question de lecture voire de vision/philosophie.

Avec le système de l’homologation, on peut dire et certains s’en convaincs même ; que 50 ailes sont toutes au même niveau (toutes les ailes “B” sont de niveau B, par exemple et 50 n’est qu’un nombre générique)

Même Ziad avec son classement des ailes au vu de l’exigence “qu’il” leur touve avec une notation de (je ne suis pas sûr) de 4,5 à 15 se retrouve avec 2 ailes aux caractères pourtant bien differents noté à l’identique ou alors avec un écart si faible qu’il n’en est plus significatif.

Ici le DHV ne s’intéresse qu’aux ailes A et B, les voiles qui aux dires même des textes ayant servi à la mise en place de la norme d’homologation pu plutôt aux tests d’homologation, seraient des ailes prévues pour permettre l’initiation et l’apprentissage du parapente voire l’utilisation avec les meilleures garanties de sécurité passive, de caractère auto-démerdant, pour des pilotes occasionnels.
Pour les C et plus encore D, le DHV estiment que les textes sont clairs et que les pilotes concernés par ces ailes ont les compétences et expérience pour en comprendre les exigences (le DHV ne lit pas le fofo et ne connait pas certains contributeurs d’ici)

Bien sur pour en retenir ce qui est utile, il est certainement préférable de maîtriser l’allemand ou l’anglais lu, histoire de ne pas que interpréter la note globale définie par la plus mauvaise note obtenue sur les 3 critères qui se voient notés (asy, frontale, 3.6) mais aussi d’intégrer les avis des testeurs au vu de leurs ressentis mais aussi de l’interprétation des enregistrements et visionnage des vidéos embarqués ou depuis le sol.

Le résultat en est déjà des “essais” qui ne font pas penser à l’école des fans de Jacsues Martin et en même temps quelques chose de moins abstrait même si factuel que les rapports de test homologations ou que l’avis même si pertinent “unique” de Ziad (ici il s’agit d’une équipe de testeurs/interpretateurs)

Après cela reste une source d’informations pouvant aider à la decision mais qu’il appartient comme toute source d’info savoir utiliser ou ne pas utiliser si elle ne semble pas répondre à ses besoin.

Bonne soirée,

Peut-être que le DHV a simplement une vision de l’activité bien plus réaliste et beaucoup moins péremptoire que toi.

j ai passé un bon moment à visionner les vidéos ce soir, et je les trouve très intéressantes et instructive même si je ne maîtrise pas la langue de Goethe.

Je me dis que le jour ou ca part en sucette avec ma B à 6 d’allongement, j’ai intérêt à ne pas avoir eu trop de problèmes extérieurs et qu il vaut mieux que je sois très bien concentré. Des fois on se dit qu il vaux mieux voler sous mescal ou UPRIME

:grat:

:grat: je comprends pas trop ta remarque car je ne faisais qu’expliquer le pourquoi le DHV se cantonnait aux voiles A et B dans le cadre de ses Safety-Class. Peut-être est-ce ma petite pique d’ironie sur les aventures vecues par d’aucuns du fofo sous des voiles C voire D au terme d’une “progression” rapide qui ne leur a pas laissé le temps d’emmagasiner l’expérience et les connaissances/competences pour leur permettre de choisir avec plus de pertinence leur jouet volant.

Alors non, je ne comprends pas ta remarque et ne peux en attendant peut-être une explication de ta part, que faire des suppositions ; Te sens tu concerné par ma pique ? Ou es-tu simplement un “rancunier” qui ne peut s’empêcher de… ?

Bonne nuit,

Le pluriel employé s’adressait donc à d’autres pilotes que M@tthieu … hors je n’ai pas constaté, que ce soit sur ce forum ou dans la vraie vie, que les pilotes d’ailes C ou D aient moins “d’expérience” ni de “compétences” en rapport avec des ailes qu’ils ont choisi de piloter pour poursuivre leur progression (ou tout simplement pour voler et se faire plaisir !).

Contrairement à toi qui, semble-t-il, observe régulièrement (voir systématiquement) ces inconscients présomptueux voler au delà de leurs compétences …

Un pilote qui sort de un, voir deux stages init ou perf et part en autonomie sous une B ne fait pas preuve de plus d’expérience (ni de compétences) pour affronter les aléas aérologiques avec son aile. Et pourtant, la plupart s’en sortent. Étonnant, non ?

Si je ne cite personne en particulier c’est bien que je penses que cela n’est le fait d’un cas unique. En même temps, je pensais que ma façon de l’exprimer était suffisamment claire pour que la grande majorité des pilotes C et D ne se sentent pas concernés. Évidemment que ceux qui sont dans le doute puisse s’en offusquer ne m’étonnerait pas. Mais dans le fond tans mieux si cela les fait réagir et… réfléchir.

Et puis s’il est vrai, qu’ici ou là je me permets de penser qu’untel a manqué de reflexion et/ou de conscience sur les risques qu’il prend et qui l’ont mené à la situation désagréable dont il est question. Sans doute que je me montre un peu “péremptoire” mais je le fais dans le cas de bons sentiments. Surtout je ne pense pas jamais avoir “traité” de façon général les contributeurs du Chant du Vario d’inconscients péremptoires. Je m’applique autant que je peux à rester poli et non agressif. Visiblement tu as du mal avec ces concepts important dans le relationel.

Encore heureux que la plupart que tu cites s’en sorte, mais pour autant doit on accepter que ceux qui ne font pas partie de “la plupart” y laissent des plumes.
Au sujet des voiles A et B, c’est le constat du DHV. Si toi, tu as le tiens de constat sur l’accidentologie et/ou la sécurité, je ne demande qu’à le lire et y réfléchir, avant d’exprimer mon avis quant à propos.

Bonne après-midi,

Interressant ce dernier numéro (95) de Vol Passion, il confirme ce qui s’est dit lors des assises parapente le 20/11 à Voiron et laisse sous-entendre (pour celui qui veut l’entendre ou plutôt… lire) que les choses bougent sur les thèmes de l’homologation et de son interprétation.

D’abord page 4, l’article justement à propos des assises ou il est rappelé que dans le débat sur la norme CEN, il a été dit qu’elle (la norme) certifie une navigabilité et non une accessibilité. Ce qui, faut-il le rappeler, est tout de même déviant de l’esprit de la norme au moment de son élaboration ou l’accent etait mis justement sur le rapport entre la lettre de classification (A, B, C, D) et l’accessibilité “promise”.

Mieux vaut changer d’avis tard que jamais, là cela à l’avantage d’être dit et me laisse penser une fois de plus que le DHV est bien dans le vrai dans son rôle choisi de lanceur d’alertes.

Surtout si on continue la lecture de la revue et que pages 36 et 37, dans le dossier sécurité, on lit les commentaires élogieux que je rejoints totalement sur l’aventure “MEMO” ( :coucou: Paul :pouce: ) du début des années 2000 et qui a certainement inspiré le DHV dans sa démarche mais aussi méthodologie.

Visiblement la ligne de pensée éditoriale de Vol Passion s’est plus ralliée à la réflexion d’Yves Gueslain notre DTN plutôt qu’à l’intervention (politique ?) de Jean Claude Benintende notre Président (voir le fil sur le Rasmo et les assises)

Je suis curieux de la suite. Car je ne vois pas l’intérêt de ces prises de position et rappel ou plutôt mises au point si il n’y avait pas une suite de prévue.

En tous les cas, je trouve que la revue fédérale s’améliore à chaque publication et pour 6 € l’an, c’est mon abonnement le plus pertinent (avis certe tout personnel)

Bonne soirée