le cross de plaine vs le cross de montagne

:coucou:

encore un sondage qui ne sert à rien (sauf à dire que j’ai volé ce ouikend :dent: )
bref… 'tit vol au mont mions, un gros plaf … du coup je pars
et franchement le vol de plaine c’est trop facile. comme y avait 5-10 km/h de zef, ben les transitions se font à 50-55 km/h. à ce rythme là moi je trouve que le cross de plaine c’est pas du jeu, c’est trop facile de faire du kilomètre
(bon me suis vaché pas bien loin paske la masse d’air a changé du tout au tout :clown: ça c’est un autre débat :stuck_out_tongue: )

Ben c’est bien ça la difficulté du vol de plaine , c’est pas le premier plaf mais les suivants :rando:
j’ai voté :" je sais pas" ,car mon seul vol en montagne , j’ai trouvé cool de m’appuyer au relief , pour continuer a avancer ( trop petite expérience pour avoir un avis “cross montagne”)

Bin c’est un autre sport et ça porte un nom hein ça mon Piwi !

http://screenshots.en.softonic.com/en/scrn/56000/56589/pdc-world-championship-darts-9.jpg

Tu vois que c’est pas si facile que ça.

tu as oublié la case “ca dépend” piwi! :taupe:

je sait pas pourquoi mais cela me rappelle un début de dis"gression"cution sur un autre fil qui avais trait si je me souvient bien a la quantification de la progression en parapente.
la pauvreté de mes distances tant en montagne qu’en plaine ne me permet pas d’avoir un avis net et définitif.
a mon niveau tout de même je peut dire que pour commencer a faire de la distance il est préférable d’être en montagne quand d’entrée de jeu il y a plusieurs km entre le décollage et atterrissage, que l’on part de plus haut, que l’on a plus de temps pour raccrocher quelque chose et que partout on peut s’appuyer sur des reliefs pour attendre le prochain cycle, la montagne est le meilleur moyen de progresser vite,
alors qu’en plaine, le simple fait de partir une seconde trop tôt ou trop tard et on passe l’après midi calimero a regarder les parapotes au plaf pendant que l’on remonte a pied cette p****n de colline.
a coté de ça en plaine le peu d’altitude que l’on puisse prendre permet vite de sortir du bocal sans un obstacle pour te retenir, a vrais dire les seul obstacles sont légaux “villes, aéroports, zones militaires, palombières, …”

en gros il est plus facile de faire le tour de la vallée en montagne et de sortir du bocal en plaine.

Perso je trouve ça bien plus facile la plaine parce qu’en montagne j’ai toujours à un moment ou un autre un souci de vitesse (voile 22m2, PTV 75kg, 36-37 bras haut, 45-46 premier barreau), un effet bagnard à gérer, une crête difficile à passer. J’ai tendance à sous-estimer ma finesse et à ne pas oser certaines transitions s’il n’y a pas une vache à moins de finesse 3. Et puis il faut comprendre les “au vent / sous le vent” qui sont parfois particuliers à cause de brises de vallée ou de pente que l’on ne soupçonne pas. Et je ne suis pas tranquille si j’ai du caillou sous les pieds - et j’ai raison parce qu’hier j’ai tapé fort pour la première fois de mon existence et si j’étais arrivée dans du caillou je crois que je me serais pulvérisée, et merci l’airbag !
Donc pour moi l’avantage de la plaine c’est “no stress”, des champs partout, un départ vent de cul et y’a plus qu’à gérer les zones aériennes (ce qui n’est parfois pas simple).
Ma technique pour aller au-delà du premier plafond : observer, observer, observer, tout, tout le temps. Se faire une représentation mentale des départs des thermiques potentiels et de leur dérive, prendre constamment un maximum d’indices en l’air, au sol, de façon à ce que quand j’ai fini d’enrouler un thermique, je sais déjà où je vais chercher le suivant. Rien que du très classique ! Et quand ça marche, le vol de plaine apporte une satisfaction intellectuelle bien supérieure à toute autre, parce qu’il récompense une osmose avec le milieu. En plaine, on se sent oiseau bien plus que partout ailleurs.
:vol:

Ouais, ouais, ouais. Viens faire un tour dans notre Ardenne, on te montrera nos massifs forestiers : ça te barre moins la vue qu’une montagne, mais c’est pas moins hostile pour autant.

Samedi après une petite quarantaine de km je glande au plaf devant les bois qui séparent Bouillon de Sedan, finalement je reviens poser sur le plateau de Menuchenet ou l’autostop est plus fructueux : j’ai pas eu l’audace de me jetter dans une transition de 10km sans vache possible avec 1.000m de gaz … p’êt’ quand je serai grand que que j’aurai une R11 et la paire de couilles qui va avec.

Moi je dirais qu’en plaine c’est moins stressant (souvent plus de vaches possible, moins de question sur les pièges aérologiques)…mais aussi moins souvent n(il n’y a qu’à voir le nbre de km déclaré en cfd plaine/ cfd alpes ! Donc c’est pas plus facile. Perso j’habite en bourgogne toute l’année et vais 1 ou 2 semaines l’été en savoie, et mes premiers cross je les ait fait en savoie…même si mon record est en plaine 70km :dent: .

je te rassure ben les arbres on connais aussi chez moi, ce n’est pas par hasard que la Dordogne est le 2 ou 3ème département le plus boisé de France.
on peut toujours lancer un sondage il y a t’il plus de repose possible dans le sud ouest que dans le nord est, ou alors les forêts ardennaises sont elle plus dense que les aquitaines, l’autre solution pourrait être d’aller voir sur place et d’allier la découverte au plaisir de tester d’autres sites et conditions de vol.

oh le beau troll !! ROTFL

faudrait posé la question a Frank A !!!

Ou à des gars comme Honorin qui sont aussi forts en plaine qu’en montagne… Je lui demanderai à l’occase.

c’est à ce genre de message que tu fais allusion? :wink:
http://www.parapentiste.info/forum/competition/coefficient-des-points-cfd-t15940.0.html;msg226189#msg226189

Oui, mais ça, c’était avant qu’il ne claque des A/R de 250 patates à la pelle dans lézalpes ! :wink:

comprend pas le sondage: y’a vraiment des gens qui volent en plaine?! :mrgreen:

Super rapidement donc incomplet :
Pour la distance c’est kiff kiff aussi méritoire à mon avis. Il n’y a qu’à voir les deux records français. Pour les points c’est la montagne qui se la joue facile avec +20 et +40% sur les triangles (surtout les alpes pour du FAI, pyrénées impossible de faire un très gros triangle FAI, massif top étroit). Avec les ailes de maintenant et des parcours et passages connus, peu à peu rallongés, les triangles sont un réel avantage.
Pour les quantités de journées à gros potentiel c’est la montagne et de loin à cause des espaces aériens en plaine qui divisent au moins par 4 les journées utilisables sur les grands axes. Une solution pour la CFD : faire un classement point et un classement distance. Rajouter aussi des déclarations “à but fixé” pour plaine et montagne avec un coef de +20%. . Une autre solution ne plus voyager en compagie low coast en ligne intérieure ce qui entrainera la fermeture d’aéroports régionaux et donc de CTR. Methode testée sur Angoulême pendant deux ans.

juste une petite précision pour jon, a ma connaissance il n’y a guerre qu’en plaine que l’on puisse espèrer avoir un plaf 10 fois plus haut que son départ!

comme par exemple monter a 4200m au dessus du mont mercou (46) 308m, ce qui a été fait au printemps 2010 lorsque tous les avions étaient cloués au sol grâce a la participation islandaise a la libération des espaces aériens européens.

Ben les plaineux y’z’ont qu’a faire du triangle, on les en empêche pas…
Ah ben merde alors, ça choisit la facilité, ça part toujours vent de cul (d’ailleurs l’expression vent du cul dans la plaine ça vient d’ou à votre avis? :mrgreen: ) et après ça vient cracher sur les vrais crosseurs, ceux qui taquinent un peu le “sous le vent” pour boucler le triangle de la mort qui tue genre Tournette-Parmelan-Semnoz. Attention, on aimerait bien le voir sur ce genre de parcours ultra technique le Franck Arnaud, mais on le voit pas souvent, la trouille surement :mrgreen:

Bon j’ai remis 5 balles dans la machine là, à vous les plaineux :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Lololo, la ficelle est un peu trop grosse :stuck_out_tongue: . tu n’as pas le talent d’olive pour lancer une polémique saignante avec l’air de ne pas y toucher.

Je pense que nous n’arriverons jamais à dire quelle pratique est la plus facile. Voler en plaine ou en montagne est tellement différent que ce n’est simplement pas la même activité.

Personnellement, en plaine je suis super tendu, j’ai l’impression en permanence que je vais poser dans les 5 minutes qui suivent (c’est d’ailleurs souvent le cas :lol: ).

hé lololo il me semble avoir lu/entendu qu’en montagne il n’y a rien de plus facile que de faire un triangle ou un quadrilatère, il suffit simplement de faire le tour du relief par les faces éclairées, Est le matin, Sud a midi, Ouest l’après midi, et Nord le soir avec la restit, juste histoire de faire le retour et se poser comme un cador devant le bar des parapentistes sur l’avenue que vous nommez terrain d’attérissage.

je n’y voit aucune difficulté, il suffit juste d’avoir une boussole et un minimum de sens d’observation pour voir ou est le soleil et de faire l’essuie glace sur la face au soleil en attendant tranquillement que la prochaine s’allume, il n’y a même pas besoin d’enrouler un thermique tout se fait au soaring. :tomate: :tomate: :tomate: :tomate: :canape: :sors: