Vous avez deux heures…
Bises
Jc
Vous avez deux heures…
Bises
Jc
En tous cas ça n’est certainement pas un facteur de développement de l’orthographe 
bonne journée à tous
J’aurais tendance à répondre “oui”. Mais comme je viens de regarder Intouchables avant hier, j’ai peur que mon point de vue sur la question soit encore un peu caricatural.
À mon avis la réponse est clairement non.
Nous touchons un public très ciblé et certains types de population n’auront malheureusement jamais accès à nos activités.
Non.
Mais ce n’est que mon avis.
A l’école, je rêvais de pouvoir répondre par oui ou par non à un devoir de français et/ou de philo.
Je n’ai jamais osé.
Merci JC. 

On ne peut clairement pas parler de développement, même s’il existe des initiatives qui permettent à certaines populations (jeunes défavorisés, personne en réinsertion, etc) d’accéder ne serait-ce que pour un vol à notre activité, ça restera toujours marginal.
avec Man’s et Patrick.
Rien que le prix du matos fait la différence. J’ai jamais vu de crêve la faim faire du parapente. Tu trouves quelques démerdards qui récupèrent des voiles par-ci par-là à des copains pour pas cher, mais la grande majorité, nous sommes des gens qui peuvent foutre au minimum 2000€ (formation+matos et je parle pas du renouvellement du matos) dans un sport. A mon avis ça serre la vis à la mixité sociale…
donc là ça fait
avec Man’s, Patrick et Lololo
aussi … dommage de ne pas avoir posté sous la forme d’un sondage 
On n’a peut-être pas beaucoup de banlieusard et peu de patrons du CAC40, mais je trouve que pour les autres couches sociales ça mixe relativement bien. On recontre plein d’étudiants/chômeurs sans le sou mais débrouillards sur le décos. Certains dorment dans leur voiture une semaine en septembre pour voler à Saint André, il n’y a pas que des riches rentiers qui dorment à l’hôtel.
Pour le prix de la formation, c’est pas donné, mais je trouve que c’est pas difficile de voir le parapente comme un investissement : un loisir à plein qui ne coûtera que l’essence et une licence à partir de la deuxième année de pratique (et encore on peut y aller en rando de chez soi quand on habite au bon endroit). Essayez de faire le calcul de l’argent économisé par un gars qui passe ses soirées sur le chant du vario et sur internet en général à organiser son cross du lendemain pendant tout le printemps et tout l’été au lieu d’aller dans un bon restau et au ciné une fois par semaine avec sa femme, ça chiffre très vite à plus de 2000 €.
Tu as quelquefois une approche des choses “étonnante” et pragmatique…mais quand même “étonnante”.
D’ailleurs ce soir, à la place de l’expo au musée de Grenoble et du restau Libanais au programme, je vais faire soirée LCDV / préparation cross.
Je te communique en MP le N° de tel de ma chérie pour que tu lui expliques ta théorie…
( Je ne pourrai par contre pas passer te voir demain à l’hosto :mrgreen: )
Clairement non.
En tout cas, si on ne voyage pas.
Et si on voyage, on rencontre 2 types de personnes:
Les “vieux” avec des moyens et les jeunes sans le sou mais qui sacrifie tout pour cela.
Finalement si on ne voyage pas c’est pareil dans le milieu du parapente.
Ah si la différence, les locaux ne sont pas les mêmes…
avec les non.
j’aimerai dire oui, mais non, mais pas tout à fait. du coup je développe 2 ou 3 lignes.
la licence + assurance c’est kifkif les autres sports.
le matos ? regardez le coût de certains équipements et certaines tenues sportives dans d’autres sports (le cout d’un kimono de compétition par exemple :affraid: ), on n’est pas forcément si cher que ca. dans mon cas personnel, j’ai mis 2000€ en matos en 2008 et je vais voler avec encore 2 ans avant de changer (lié à mon manque de temps et mon faible nombre d’heures de vol). donc 2000€ / 6 (+150€ de révision) ca fait dans les 360€ par an… donc pas si cher que ca. le hic c’est la trésorerie à un moment donné pour investir dans le matos !! et là ca bloque pour ouvrir la pratique à la mixité sociale-ethnique
d’où peut être la nécessité d’avoir des équipements collectifs en club pour le début… dans mon club de spéléo (que je fréquente peu par manque de temps encore), on a des équipements pour les débutants pour pas qu’ils aient à acheter tout le nécessaire au début (mine de rien, entre les baudriers, le crawl, le descendeur, les mousquetons, la combinaison, la sous combinaison (elle je l’utilise pour le parapente aussi), ca fait un budget).
des clubs ont des ailes et selettes qu’ils prêtent aux jeunes pioupiou, c’est peut être là la porte à l’ouverture à la mixité sociale-ethnique (mais la veut-on ? :canape: ).
le temps en revanche c’est énorme. c’est pas de la trésorerie directe, mais ca représente un investissement colossal. pendant ce temps tu ne bosses pas.
aujourd’hui le point réducteur de l’accès à la pratique pour moi c’est le duo temps-argent…
qui a du temps : les gens qui ne travaillent pas
qui a de l’argent : les gens qui travaillent
en découpant chaque catégorie on peut faire un joli tableau de qui peut voler ou pas.
aux extrêmes :
le chômeur aux minimas sociaux, il a le temps mais pas l’argent
le rentier il a le temps et l’argent
le retraité il a le temps et parfois de l’argent (mais pas tous, les retraités aux minimas sociaux ca existe)
le travailleur il a l’argent mais pas le temps (même si il y a des travailleurs pauvres).
ensuite tu greffes les contraintes familiales (marié, célibataire, divorcé, avec ou sans enfants) et tu as aussi un des facteurs qui joue sur le temps disponible.
à la fin, il reste un nombre assez limité de gens qui peuvent accéder à la pratique et perdurer dans la pratique.
il y a quelque temps je m’était fait la réflexion portant sur le fait qu’une chose remarquable sur un site de parapente est que tout le monde est d’abord parapentiste, tout le reste “marié, célibataire, indéterminé, ainsi que les csp” étaient accessoires, j’ai eu a côtoyer pendant 6 mois un pilote alors que j’étais chômeur avant d’apprendre qu’il était lieutenant de police dans la ville que j’habitai a l’époque, dans mon club actuel, il y a des artisans, des fonctionnaires, des agriculteurs, des juristes, des étudiants, des retraités, des hommes, peu de femmes :oops:, des citadins, des campagnards, …
certes de par certains coûts inhérents a l’activité, et les contraintes liées a la disponibilité, il est difficile d’arguer que le parapente va développer la mixité, mais il est indéniable que sur une région donnée il est un bon moyen de mettre des personnes de milieu différents en relation gommant en grande partie ce qui fait la différenciation sociale entre ces différentes personnes, et le dialogue est souvent le meilleur vecteur de la compréhension
C’est vrai qu’on voit pas mal de gens differents quand mem dans le parapente, mais ca reste toujorus des gens qui ont un minimum de temps dispo et d’argent…
C’est pas ouvert a tout le monde rien que pour ca.
Par contre, ce qui m’ a surpris, c’est le nombre de fumeur qu’il y avait ?
J’étais souvent le seul a pas fumé sur les endroits ou je suis allé… Et bcp fumaient des roulées (pas forcement des petard !non mais !)
Norbert
Je dirais non comparé aux autres activités que j’ai pratiqué (aikido,natation,escalade,théatre)
Par contre, c’est la meilleure activité pour rencontrer des gens a l’étranger.
Je vais prendre un cours d’orthographe et je reviens…
Putain fo pas se manquer ici…
On attend ta contribution !!!
Pour avoir participer une unique fois comme pilote à une journée bi pour devellopper la mixité ethnico-bidule en emmenant voler des jeun’s pas favorisés … ben je risque pas de recommencer, ces jeunes c’est pas d’un vol en bi dont ils ont besoin mais d’une bonne collection de coups de pieds au cul pour leur inculquer un minimum de savoir vivre…
J’ai toujours pas trouvé la faute :canape:
Tu trouves? Dans mon “réseau” c’est plutôt le contraire il y a très peu de fumeur…