En vol ou le passager n’intervient pas nous avons une obligation de résultat. Dans les phases de décollage et d’atterrissage ou le passager intervient activement (de par sa course) nous n’avons qu’une obligation de moyens. La question est bien sûr de définir clairement ou s’arrête là course d’envol et où commence la course d’atterrissage. En cas de nécessité c’est au Juge seul qu’il appartient de statuer à propos.
Dans tous les cas, des que l’on est responsable la RCA interviendra.
En phase de déco et d’atterrissage, il appartient au pax de démontrer que l’on est responsable. (Rien nous empêche de lui donner les éléments pour, de façon à lui permettre une indemnisation correcte au travers de la RCA)
Si quelqu’un se fait mal, je serai curieux de savoir qui peut se contenter de l’indemnisation proposé par l’IA (quelqu’elle soit)
Perso je ne la prends jamais, considérant qu’elle ne répond en rien à des besoins réels de ma part.
C’est la question de fond à se poser, qu’attendez vous de vos assurance en général et de l’IA en particulier.
On se donne tous la peine de lire attentivement les fiches techniques et autres rapports d’homologation nos parapentes. Pourquoi n’avons nous pas tous la même démarche avec les documents relatifs à nos assurances. Tout est disponible sur le suite de la fédé, la transparence est totale.
Personne ne peut donner une réponse formelle aux interrogations à propos d’autrui car cela relève avant de psychologie personelle sur la notion d’assumer ses responsabilités.