En fait non : les mecs qui font du base, le font de l’extrémité Ouest de la falaise, nous on décolle de l’extrémité Est. Entre les deux, pas loin de 3.5km que tu n’auras pas le temps de parcourir avant de devoir songer à poser si ça ne tient pas. Ta finesse ne sera pas optimale (car quand tu ne tiens pas, c’est généralement que tu as un petit travers pile dans la direction du chemin dont tu parles) et tu te retrouveras forcément dans une zone imposable. Sur l’avant dernière photo, on voit nettement que la première zone posable est bien loin, et qu’avant cette potentielle zone, c’est de la falaise qui tombe droit dans la mer (autant dire que même si tu te mets à l’eau, tu es loin d’être sauvé !).
C’est très variable. Avec des forces de vent pour speedflyer (on a pu voler avec un peu toutes les tailles sur ce site, de 30 à 60km/h), tu peux arriver un peu en dessous et ça repart. Avec des forces de parapente, c’est très inégal. J’ai le souvenir d’un vol où on était allé à 1km en pleine mer sans perdre un seul mètre alors que d’autres fois, tu y vas en tombant du ciel…
Pour se jeter un p’tit pastaga, pas de problème, ça marche à tout les coups. La technique : tu passes à la maison !