merci la fédé et jean gabriel charrier 
http://www.efvl.fr/sites/efvl.fr/files/2014%20-%20Livret%20FFVL%209%20BD.pdf
merci la fédé et jean gabriel charrier 
http://www.efvl.fr/sites/efvl.fr/files/2014%20-%20Livret%20FFVL%209%20BD.pdf

Merci !
Très utile,
merci Francky 
Voici le lien :
http://www.efvl.fr/sites/efvl.fr/files/2014%20-%20Livret%20FFVL%209%20BD.pdf
:banane:
J’adore la premiere photo :mdr: :mdr: Y a pas assez de site en France pour la FFVL :mdr: :mdr: Mais l’helvète est sympa il partage 
Avons nous réellement besoin de ce genre de docs. Quand je le lis j’ai l’impression d’être dans une réunion avec des gars en costard cravate, qui se branlent la nouille en regardant un powerpoint projeté sur un mur blanc et ou tout le monde acquiesce à la bonne parole délivré par le chef. Rien que le titre “les bonnes pratiques” me fait penser au langage bureaucratique pour nous vendre les belles salades.
je suis d’accord, c’est un tas de bla bla…
C’est une tentative d’améliorer la sécurité par l’information et en changeant les mentalités, au lieu d’empiler plus de réglementations, de normes et de dispositifs techniques. On peut ne pas cautionner pas le côté marketing / fascicule de propagande (très très léger dans ce cas, et presque uniquement pour le titre ; si je pouvais te montrer les posters de sécurité et les petites formations qu’on nous fait subir au boulot tu aurais de biens meilleures raisons de hurler), mais ça reste fondamentalement une bonne chose.
Merci à la FFVL et à Mental Pilote pour l’édition de ce bouquin 
Me suis arrêté a la 6eme page … Trop chiant ,trop long !
grillé par yeager :
Salut
C’est vrai que c’est un peu “gnan-gnan”. Par contre, puisque le sujet est ouvert…
Je suis certain que vous ne faites que très rarement attention à votre état mental, physique, psychique, … avant d’aller voler et ce à toutes les étapes du vol.
Je dis vous, mais je devrais dire “nous” ou “on”. Pourtant notre état de fatidue, d’énervement, d’anxiété, … influe pour beaucoup dans notre capacité à analyser les choses et à y faire face.
Si la tentative du livret échoue pour certains (faut lire te tout et tout) au moins le post pourrait peut-être NOUS mettre cette question dans la tête :
“je suis à quel pourcentage de mes capacités totales aujourd’hui ?”.
Cette question, pausée au bons moments va radicalement changé nos actions.
Ex :
Je regarde la météo pour aller voler. Selon mon état je vais être plus ou moins ambitieux
J’arrive sur le site et j’observe. Avec un petit moral je vais même pas sortir la voile du sac… Si je me pose cette question. Parce que si je suis les potes, dans 5 minutes j’ouvre ma voile
Je suis prêt mais et je suis plutôt fatigué. Ben je vais reoir mes objectifs à la baisse et me concentrer sur un vol simple
…
Ce qui compte, c’est pas que le support présenté soit bon ou mauvais (enfin on peut en parler, mais maintenant il est là et il faut au moins applaudir des deux mains ceux qui y ont consacés du temps). Non ce qui compte c’est que petit à petit, les pilotes intègrent l’analyse de leur état physique, psychologique, … dans leur prévol.
A+
L
Bonsoir,
Peut-être que c’est un peu rébarbatif à lire mais c’est très intéressant. Certes on va pas lire tout ça avant chaque vol. Mais tout comme on fait une prévol au niveau du matériel avant de décoller, on peut en faire une avant d’aller voler du style : OQQCQ = Où (site…), Quand (saison,météo, heure, …), Quoi (quel type de vol…), Comment (Quel matériel, Plan de vol…), Qui (le pilote : forme, connaissances… avec qui : influences…).
Encore faut-il vraiment s’inquiéter de sa sécurité (et éventuellement celle des autres) pour le faire…
Pour moi, le plus positif dans cette démarche c’est qu’on commence à prendre conscience que la sécurité ne se limite pas à une liste de recommandations techniques (attacher les cuissardes, ne pas voler sous le vent, ne pas voler bourré, ne pas décrocher…), on commence à se poser les bonnes questions : Pourquoi est-ce que souvent des pilotes expérimentés qui ont à priori intégrés ces recommandations et sont les premiers à les propager continuent à ne pas les respecter ?
Et il n’y a pas que les paramètres mentaux et physiques “négatifs” à prendre en compte (fatigue, stress), il y a aussi et surtout les état d’esprit excessivement positif du genre excès de confiance, euphorie, anticipation d’un beau vol qui nous font faire des conneries. Par exemple pas plus tard qu’il y a deux semaines j’ai fait une belle rando, très peu fatiguante, et j’ai décollé sous le vent en toute connaissance de cause (balise météo avec girouette visible à 30 m du décollage), comme un con. Je m’en suis tiré avec un vol bien flippant et un atterro en contre pente à 5 km de l’endroit prévu et de la voiture parceque je n’ai pas réussi à passer la petite crête en début de vol :bang:
C’est pas du tout gnangnan de se poser quelques questions sur nos capacités d’analyse objective à n’importe quel niveau d’expérience.

disons que c 'est pas très synthétique 

souvent apres un vol un peu engagé, la fatigue, le froid, la faim, la soif ou l’euphorie … un atterro “archi connu” va paraitre “archi facile”, et on l’aborbe en mode “pilotage automatique” …
perso, je me botte le c… pour me forcer à me reconcentrer sur l’approche, reverifier les biroutes, choisir la ZPA, caler la finale, rebouger un peu les jambes, etc …
… et jusqu’à la fin du vol donc 
il y a pas mal de chose intéressantes dans ce bouquin, mais j’y mettrais quelques réserves
la première en est la présentation, on a l’impression en lisant ça que l’on va entrer dans l’industrie nucléaire ou bosser avec des maladies infectieuses et mortelles dans un labo ultra sécurisé de l’armée.
j’ai le sentiment qu’il aborde tout par le coté négatif, un peu a la manière du vieil oncle qui sermonne “si tu ne regarde pas a droite et a gauche avant de traverser, tu va te faire écraser!!!”
et je trouve aussi qu’il est un peu écrit comme les “troubleshooting” a la fin des manuels t’expliquant que quoi qui se passe dans ton vol la réponse est que tu n’avais rien a y faire.
c’est pourquoi j’ai peur que de mettre un bouquin comme celui ci entre les mains d’un débutant ou d’un init soit plus source de stress que facteur de progression.
je pense que pour pouvoir pleinement profiter de ce fascicule il faut du recul et de l’expérience au moins niveau bp et pas mal de vols derrière soi,
je pense également que les débutants ont déjà de par leur appréhension une bonne dose de retenue “hormis les casse cou qui de toute manière n’ont rien a faire de conseils et donc de ce bouquin”, et sont plutôt a la recherche de conseils pour progresser plutôt que de sentences pour se freiner.
quand a la notion de mental, j’ai pour habitude a dire aux pilotes de mon club,
"tout au long de ta préparation, pour chaque action importante “analyse des conditions, choix de l’emplacement, préparation de l’aile et du matériel, installation dans la sellette, choix du moment du gonflage, vérification de l’aile gonflée et décision de décollage” tu doit être capable de te mettre dans une “bulle” de sorte que rien de ce qui peut te distraire de ton analyse et de ta sécurité ne puisse interférer avec ce que tu fait.
si tu n’est pas capable au sol de “trouver cette bulle”, tu risque fort de ne pas pouvoir y rentrer une fois en l’air quand tu en aura besoin, et il vaut mieux que tu reste au sol au moins le temps que tu puisse avoir le mental adéquat.
si tu a pu être dans ta bulle le temps d’une action, elle est validée, cela n’empêche pas de revérifier plus tard ce qui a été fait, mais cela donne une certaine confiance plus du au fait de savoir que l’on était concentré sur ce qu’on faisait pendant cette action que du fait de l’action elle même.
cela a entre autre avantage de forcer a se calmer, et de faire un point simple sur son mental.
ensuite en l’air la consigne surtout pour les débutants est de temps en temps de faire le point sur ses sensations, en rapport avec le temps nécessaire pour arriver a l’atterrissage avec une petite marge de sécurité, ce qui est aussi une autre manière de se mettre dans “sa bulle”
attention, quand je parle de se mettre dans “sa bulle”, je ne l’entend pas en autiste replié sur soi même, mais plutôt en situation d’attention élargie ou on prend en compte tout ce qui peut impacter directement notre vol et notre sécurité, et laisser de coté tout ce qui n’a aucun impact sur notre vol et notre sécurité si ce n’est qu’apporter une distraction malvenue.
Toutes les choses dites dans ce powerpoint sont des évidences, il n’empêche que certains jours on en tient compte, et d’autres pas et nous pouvons selon les cas en tenir compte ou pas. On renonce certaines fois parce qu’on ne le sent pas alors qu’objectivement il n’y a pas plus de raisons que la veille ou on est parti en faisant une saignée dans la montagne. Je sais qu’a l’heure actuelle les moralistes de tout poil ont pour crédo, “cela va s’en dire, mais ça va mieux en le disant” mais cela m’énerve.
Putain ça vole pas et j’en suis réduit à lire et à débattre sur des conneries comme ça.
N’oubliez jamais que ce qu’il y’a d’encombrant dans la morale, c’est que c’est toujours la morale des autres.
Léo Férré
rien ne t’y oblige ROTFL
La forme peut se discuter, mais le fond est ni plus ni moins que ce qu’il faudrait avoir en permanence à l’esprit quand on va voler, (j’en connais au moins un qui gagnerait à lire ça, mais il ne le fera jamais
). Pour la prévol, certains ont la chance comme moi de pouvoir se mettre en mode “autiste”, uniquement centré sur ma prévol, les conditions environnantes, et mon état mental personnel, d’autres non. D’où l’intérêt d’avoir des “rituels” de préparation, et d’accepter de plier quand ça ne cadre pas avec. Enfin c’est juste mon avis de jeune piou-piou 
Marche plus le lien… 