mesurer l'impact d'une bannière

#1

:coucou:

Je prends un peu de temps pour poster sur le sujet initial qui a cfréé cette section …
donc les marketeurs professionnels expliquent :prof: qu’une bannière c’est de la communication institutionnelle … donc en gros ça permet d’exister dans un monde de communication, mais ça n’apporte pas de vente.
j’ai rien contre la théorie, mais je ne suis pas du genre à leur obéir aveuglément :stuck_out_tongue:

donc me suis dit “la tendance (peut être encore plus vraie pour les internautes) c’est de chercher un bon prix.” … autant en profiter
du coup :idea: (peut être à 2 balles voire moins) proposer un bon de réduction sur le chant du vario… (du coup avec un code spécifique, on trace d’où vient le demandeur)

l’autre idée c’est d’amorcer le contact entre un client potentiel et le vendeur …
le problème c’est

  • de ne pas grignoter les marges avant même de faire des ventes (mais la réduction ça peut être la réduction déjà prévue en “standard” pour n’importe qui qui négocierait un peu)
  • à force de donner des prix sur les sites web, ben justement on tue le dialogue avec les clients qui ont pour seul élèment de comparaison des grilles de tarifs

voilà … qu’est-ce que vous en pensez ?

#2

Tiens, là j’en pense quelque chose. J’en pense ce que peut en penser une petite structure…
J’annonce ici uniquement pour exister dans un endroit sympa. Un peu de visibilité dans un secteur surchargé ça ne fait pas de mal. Je n’en attends rien d’autre.
Une grosse structure n’a pas besoin du Chant du Vario pour exister.
Se battre sur les prix sur le Net est à mon niveau illusoire. Déjà, quand tu vois la multiplicité des statuts pour les écoles, on ne se bat pas tous dans la même catégorie (charges, impôts sur les sociétés, taxes pro, locaux ou pas, assurances, etc) et sur un même secteur géographique on n’est pas en mesure de se mettre aux prix des “moniteurs discount”.
Alors sur Internet, t’es en concurrence avec le monde entier. Le gars qui cherche sur Internet il finit par acheter au Népal et toi tu t’es épuisé pour rien !

#3

:coucou:

pas eu le temps de te répondre hier …

Je connais des grosses structures qui se paient des bandeaux sur d’autres sites plus anciens mais un poil moins visités …
de toute façon aucune structure n’a besoin de qui que ce soit pour exister …
en revanche,
1/ c’est vrai que la notoriété d’une grosse structure est déjà acquise
2/ pour autant elles continuent à investir en pure communication institutionnelle
3/ mais c’est vrai qu’elles ont les moyens d’avoir un vrai budget comm…

Comme je suis quelqu’un de pragmatique, je cherchais surtout à réfléchir à un moyen pour diminuer cet écart entre la comm institutionnelle (être présent) et l’animation marchande (tenter de faire des ventes).

#4

Si tu veux favoriser chez tes annonceurs des ventes par le biais du Chant du Vario, une possibilité c’est de faire un label. Un vrai.
Tu définis des critères (sans les communiquer aux pros) que tu aimerais voir respecter, tu envoies des “clients-mystère”, enseignement ou matériel, chez les revendeurs concernés et tu labellises ou pas les annonceurs.
Tu crées un label de qualité “Chiant du Vario”, privé, indépendant et ça risque peut-être de prendre un certain poids à court terme.

#5

Salut

Je suis le post et je comprends tout à fait Surfair à propos des labels. Mais je vois pas pourquoi ne pas l’annoncer aux pro. L’annoncer, c’est inciter les pros qui veulent rentrer dans les critères de ce label à se conformer à ce label.
Il y a quelques années, on avait voulu faire ça, sur l’initiative de P. Gevaux. Mais outre la grande difficulté rencontrée pour instaurer un label, il est encore plus difficile d’en vérifier l’application sur le terrain.
Un label doit parler aux gens : Je sais que c’est plus cher, mais je sais aussi pourquoi c’est plus cher et pourquoi je vais là-bas.

J’ai longtemps cru que le label fédéral n’apportait que très peu de choses aux écoles. Je sais aujourd’hui que c’est faux. Mais combien d’années a t’il fallu pour en arriver là ?

Pour résumer, le label je suis pour.

A+
Laurent

#6

il y a du pour et du contre …
quand tu prends certains labels qui nous causent, ont peut voir les dérives : telle aile rentrée dans le label DHV-X au chausse pied mais qui ne mérite clairement pas sa place dedans …
En revanche je suis d’accord avec toi que le label doit parler aux consommateurs (je sais que je vais payer un poil plus cher, mais je sais pourquoi) et aux pro (je sais dans quel sens je dois m’améliorer pour obtenir le label).

En ce qui concerne le label fédéral, je suis convaincu que -pendant des années- il n’a rien apporté à personne. Je me souviens même de nombre de contre-exemple (écoles qui jetaient les élèves dans l’trou dans des situations simplement horribles, au delà des limites du raisonnable … et qui avaient le label). Je crois qu’ils ont pas mal amélioré le cursus pédagogique :pouce: et fait un peu de ménage :bravo:
mais la fédé reste quand même un des organismes les moins communicants qui existe … du coup toute l’information met tellement longtemps à sortir de cette “boite noire” :fume:

#7

c’est po malin d’avoir fait remonter ce sujet … du coup j’arretes pas de penser à comment mettre en oeuvre le label du chiant du vario …

:pouce: des critères publiques pour que l’ensemble de la communauté puisse “voter”

mais quels critères ??? j’ai bien 2-3 idées, mais pas assez pour faire un label …
un label évolutif sur lequel on peut rajoute des critères au fur & à mesure qu’on évolue … mais comment on gère l’apparition d’un nouveau critère : perte du label pour les enseignes pas encore testées ? :?

bref, ça cogite dur :grat:

po malin tout ça :clown: