Salut les fous,
J’ouvre un nouveau fil de discussion sur nos amis les cumulus ! :eclaircie:
En effet, Je me pose quelques questions sur ces fameux nuages.
Je n’aime pas les trop gros specimens, j’aime plutôt les petits humilis voire mediocris.
Avez déjà fréquenter de plus gros du style petit congestus ou plus (mais rassurez moi, vous êtes pas des camicaz ?? :mdr: ) et comment etait-ce ?? quelles sont vos limites ??
Ce sujet pourra aussi ouvrir sur:
ex: où trouver l’ascendance sous le cum, les rues, les différents cycles des cums…
Voilà un large sujet !
Nos amis les Cums !
yep …
faudrait rechercher … j’avais trouvé une “définition” des cum selon leur pouvoir ascensionnel …
enfin bref, donc le congestus commence à ~+15 m/s
j’ai testé … un jour, bouffé tout cru à Laragne …
grand moment d’angoisse (à l’époque je en savais descendre qu’à -13 m/s)
congestus isolé => m’en suis sorti en (essayant de) tenir un cap. depuis j’ai toujours un compas à poste :coucou:
quelques (longues) minutes à la sortie du nuage pour remettre les idées en place…
puis après c’est parti en cross 8) (bon, on s’est fait rincer avec le jeumeu :averse: )
Salut Piwaille,
merci pour ta réponse ! :pouce:
Les congestus tire à +15 ! :koi: !
Un congestus pour moi c’est un nuage qui a 1000 mètres d’extension verticale ou plus.
C’est quoi, un compas à poste ???
:mdr:
c’est un compas pour les timbrés ! :sors:
‘à poste’, ca veut dire ‘toujours à la même place et qui bouge pas’
:floodstop: !!
C’est un sujet sérieux voyons :mdr: :mrgreen: !!
Excellent topic !
Je suis un peu short pour m’étendre dessus ce soir… Par contre, peut-être à placer dans aérologie ?
Sinon, je suis de tendance frileux avec les cums. Pas trop avec leur pouvoir ascencionnel ou leur extension verticale. Je me fie surtout à la possibilité de s’échapper. Ciel qui se ferme = je pose. Ciel encore bien ouvert = je titille les barbulles. J’aime pas trop me laisser faire bouffer tout cru par ses bêtes là quand même et il est plutôt rare que je me laisse disparaître dedans… Voilà un premier élément de réponse mais je reviendrais suivre ce sujet !
Pour moi, je regarde plus le vario qu’autre chose: si je vois que ça monte fort mais sur une petite distance (en gros large comme quand on fait un 360 large et doux !) je ne me pose pas plus de question que ça.
Après quand ça monte de partout en douceur, je trouve ça trop louche et j’essais de voire l’état des nuages et éventuellement je part en direction du ciel bleu (avec un oeil sur le gps pour voir si le vent ne forci pas). Après quand d’un coup ça devient très turbulent avec des varios important je cherche pas a monter mais a partir de cette zone en direction de la ou c’est moins sombre (comme aujourd’hui par exemple a st hil).et si ça monte fort de partout j’essais d’avancer et d’aller me poser direct
Cela pour plusieurs raison: quand ça monte de partout en douceur je trouve que c’est pas normal alors j’aime pas ça, quand ça devient très fort et turbulent sur une grosse surface, c’est qu’il y a des choses qui se forme et comme quand on est sous un nuage, on ne peu pas voir comment il est, je préfère me barrer pour mieux essayer d’analyser la chose. On analyse mieux dans de l’air plus calme que dans une machine a laver ou la seul préoccupation est de ne pas ce prendre son aile sur la tronche. Si ça monte de partout ça me fait peur alors je pars vite me poser avant que ça monte encore plus.
En fait, quand ça monte fort j’ai l’impression d’être passif et je n’aime pas ça. Il y a bien des fois ou j’aurais pu faire des bornes en continuant à me battre mais je préfère faire moins de borne et être compte de mon vol, plutôt que de faire des bornes et être lessivé à la fin. sur un vol ou du passe ton temps a te battre avec ton aile, j’ai l’impression d’avoir subi le vol plutôt que de l’avoir dirigé !
A+
deux trois idées vite fait sans reflechir:
pour moi, plutôt que la taille du cum, c’est plutôt son evolution que je surveille, d’ailleur ya des cums (même gros) en voie de dissipation qui ne rime pas avec ascendence, fô reperer les barbules en formation, et les beau choux fleurs, pi une fois dessous je surveille toujours la couleur et la forme de la base et les zôt’ cum dont je vois le profil, si la base fonce et s’applatis trop vite je m’ecarte vite fait, ya parfois des mouveument ascendants au bord du nuage: plus sûr.
:coucou: vous connaissez surement deja mais au cas ou…un article vraiment interessant a ce sujet fait par will gadd et traduit et annoté par luc armand (que des amateurs quoi… 
)
http://augredelair.free.fr/DocChasseurDeThermiquesWillGad.pdf
tout a fais ok avec thierry, cet été j’ai fais un coucou a un congestus (qui fini en cunimb isolé) donc un vario à +12, et comme déjà dis ca commence a monter tout dous sur des centaines de mettre a l’accelo, puis ca monte monte monte et accelere donc la c’est louche.
je prefere un +10 pa trop serré mais pas large qu’un +3 +4 sur des dizaine de mettre avec un cum qui noirsi.
aprés le cum bein… 1000m de haut c’est pas trop grave encore, quand ca commence à en faire 2/3000m bon là faut se poser des question surtout s’il monte en tour ou la base s’élargis vite vite… et que le ciel se bache, ca peut passer des petits cums tout coquin qui font une rues en fropnt d’orage en meme pas demi heure(cet été c’est arrivé chez nous , heureusement on étais posé, sinon c’était la cata.
aprés pour trouver le thermique c’est surtout le coté au soleil comme dis dauphin. et imagine le thermique avec le vent.
ca m’est arrivée de faire le cum en passsant par l’ombre ou sous le vent :grat: mais c’était plutot des barbulle donc jsute en formation
voila avec ma faible experience je pourais pas t’en dire plus.
une chose a regarder c’est les emmagramme et les premier cum(s’il monte en tour et font des bulles qui montent ne vole pas) et sur l’emmagramme si tu as une grosse inversion du genre a 5000m no souci si elle est petite bien le cum la traversera.
super intéressant!
karma+
ouaip … j’ai vaguement lu en diagonale… pas trop vu le rapport avec le sujet …
(même si le doc est très intéressant)
en revanche les puissances du congestus, c’est surtout pour vous faire relativiser les nuages qui font peur :affraid: on (un parapentiste normalement constitué) a peur largement avant le congestus et une fois dedans … ben les techniques de descente dites rapides sont très inutiles…
ensuite … les limites …
ben ça dépend de tellement plein de facteurs
- être bien dans sa tête / à l’attaque
- état de fatigue
- état de stress car surveillance d’une situation sur l point de dégénéré
je suis allé me posé l’an dernier car fatigue + un gros cunimb en surveillance sur annecy et moi je suis simplement rentré dans une confluence au semnoz -> j’ai eu peur, me suis posé
à contrario, la fois où je me suis fait bouffé tout cru à Laragne, j’étais bien dans ma tête, le congestus était isolé … j’ai enquillé ensuite sur un cross (jusqu’à ce que le troupeau de congestus arrive)
effectivement ce n’etait pas pour reagir par rapport a la limite cums frequentables ou pas mais plutot a “l’ouverture” du sujet sur le placement par rapport aux nuages…les cycles de formations…les indices a prendre en compte ce qui est traité de la page 6 a 10 :eclaircie:
:init: pour ce qui est des “limites” pour ma part je ne les cherche pas encore…si le ciel est compliqué a analyser et que ca monte trop facilement et crescendo mon reflexe est d’aller tester la machine a pression 
au moins celle la elle ne me petera pas a la gueule :lol:
aprés il y a les confluence(pas encore prise)
l’exemple vers chez moi du vissou avec la fin de nord et la brise qui remonte, des guars ont dejé relié face au vent de sud le baudille a 25 /30km oreille accélo pour zero et en avancant plein nord est.en ligne droite, c’ets simpa et pas dangeureux.
T’en as une sympa qui se met en place assez souvent sur le plateau de Cerdagne…
j’y ai eu droit le jour où je voulais me poser suite à mon probleme de selette : impossible de descendre sur plusieurs kilometres carrés : hallucinant !
Par contre, c’etait pas super doux (confluence oblige)
ouai enfin doux l’autre jour j’en ai merdé une a tuchan et me suis retrouvé bas et je me fesait un peu chauter gentillement mais ca voulais fermer tout le temp… j’avais pas pigé, le copain lui la prise. par contre ce jour là les cum de la confluence etait au delà de 2500m meme je dirais 3000 car à 2000m le collegue en etait loin de chez loin.
[quote]et je me fesait un peu chauter gentillement
[/quote]
tu ceuveux sur la langue Eddie ? :mrgreen:
sinon ça donnerai : je me faisait un peu chahuter mais c’est plus pour l’humour lié a la phrase :bisous:
sinon ça donnerait : je me faisais un peu chahuter mais c’est toujours pour l’humour :bisous: