J’ai compté mon accident en exercices de gonflage comme un accident de parapente, même si c’était sur un stade de foot de banlieue parisienne… :?
Notre accidentologie : fréquence
Non si ça se compte en arrêt de travail.
Si effectivement je n’ai eu aucun accident de parapente lié au fait de voler moi-même, pour autant le parapente m’a déjà occasionné quelques “accidents”, exemples :
En 2004, en marchant pour me rendre sur un déco, (le 700 de la Gréolière) un de mes genous abîmé en moto-cross en 1982 (LCA HS) et mal soigné en 1998 (suppression des ménisques qui occasionnaient des blocage, ce genou me lâche. Est-ce un accident de parapente ? Le même aurait pu m’arriver aux champignons et la voile n’était même pas sorti de son sac. En congé cela ne m’a pas occasionné d’arrêt, tout au plus une fin de saison vol-libre et de carrière professionnelle avec une orthèse pour attendre l’automne et me faire réparer tout cela par un “vrai” chir-orthopédiste.
Un autre en 2015, là aussi ma propre voile encore dans son sac, un ami handicapé me demande un coup de main et malencontreusement, fini par m’envoyer bouler en contre-bas d’un déco raide et cailloutteux. Mon habitude de mettre mon casque et mes gants m’a épargné le plus grave. Là aussi, est-ce un accident de parapente dans l’esprit de Papyon ? Et aussi pas d’arrêt (vive la retraite) et j’ai décollé dans la suite, un peu froissé sans doute mais surtout avec en tête une leçon de plus sur la conscience des risques à avoir dans toutes nos actions.
Bien sûr, je pourrais aussi citer comment j’ai réussi un autre jour à me cogner la tête dans le hayon de ma voiture en voulant vite en sortir pour ne pas louper la navettes du club ou encore ; Comment je me suis brûlé les doigts en choppant les suspentes arrières de la voile d’un copain qui partait en kite-sellette sur un déco très mal pavé par brise bien présente.
C’est très subjectif ce que l’on va considérer comme accident…
Ce qui me paraît par contre pas subjectif du tout, c’est les douleurs voire sequelles qu’un accident peut laisser et ceci qu’importe dans quelle pratique. J’ai donné dans ma vie et c’est bien pour cela que je prône une pratique dans un esprit le plus sécuritaire possible.
Aucun vol, aussi performant et/ou beau soit-il, ne mérite d’être le dernier ou même… le dernier avant un long moment de souffrances pour y revenir.

J’ai bien pensé que le volume de pratique devrait être pris en compte mais ça fait des complications (au niveau création du sondage) que je ne maîtrise pas
A choisir je pense le nb d’années de pratique plus significatif que le nb d’heures en vol en rappelant que déco et atterro sont les deux mamelles du carton (et donc que le nb de vols est surement aussi important que le nb d’heures en l’air - cross engagés mis à part)
Evidemment il convient d’aller au delà des accidents déclarés !
Sur mes 5, aucun de déclaré, même le premier en stage encadré en 1993, malgré le plâtrage d’une cheville
Je suis content de n’avoir jamais cratérisé en 4 années de pratique intensive.
Mais du coup, pareil je peux pas trop répondre… ou alors avec le “jamais” il faudrait rajouter le "combien d’années de pratique " ?
Plutôt que compter en année de pratique il faudrait compter en nombre de vols et diviser par le nombre d’accidents.
Ca serait beaucoup plus réaliste.
Pour moi la réponse est simple : jamais.
1 seul accident en vol libre, ne causant aucune blessure et seulement une réparation dans la voile. Accident qui n’était pas du à ma pratique.
Plus de 10 ans de pratique et volume moyen inconnu mais supérieur à 40h/an sauf durant l’année 2015.
Je n’ai pas le sentiment d’être une exception, loin de là.
Ca a fait 31 ans en juin et jamais de blessure, quelques boîtes bien sûr mais même pas d’égratignure.
non! tu dis “jamais”
…en sachant qu’il ne faut jamais dire “jamais” :clown:
(tous ceux qui n’ont pas eu d’accident doivent cocher “jamais” même si peu d’années de vols)
Une aimé aux arbres au début (pas assez de marge après mon Xème passage au même endroit au cous du vol), mais pas de blessures ni même d’égratignures.
Donc j’ai répondu jamais… :canape:
Rien depuis, même si deux atterros en mode trou de souris et une clé lors d’un déco au milieu de 40cm de kékés au col vert.
Certainement , mais comme on dit “quand on aime on ne compte pas”
beaucoup ne comptent pas ou plus leurs vols (alors que les années comptent pour nous :roll: )
Ceux qui enquilles les cartons vont peut-être être moins enclin à répondre à ce sondage, ce n’est qu’une supposition :sors:

31 ans de pratique aussi pour moi, mais pas une égratignure, bien qu’il y ait eu :
- une énorme frontale (voile devant moi, mais bien en-dessous de moi) qui s’est bien rouverte de façon symétrique ;
- et surtout un énorme vrac avec une voile que je ne connaissais pas du tout (je venais de l’acheter) avec surpilotage de ma part, décrochage et impossibilité de rouvrir la voile (je n’avais jamais fait de SIV avant) ; perte d’altitude de 200 m au moins avant réouverture de la voile (j’imagine que j’ai sans doute fini par remonter les mains ?) à moins de 50 m/sol ; cela aurait pu très mal finir, mais comme il n’y a pas eu d’arrêt (j’ai revolé dès le lendemain), j’ai répondu “jamais”.
Marc
personne ne s’est jamais fait une simple cheville ou un poignet? étonnant…
Les répondants biaisent eux-même le sondage comme ici:
donc pas d’arrêt?
Un crash en 32 ans de pratique : il y a 30 ans , en essayant un proto ITV Alnair , avec sellette de pilotage débridée , déco falaise sans vent ( ROTFL ) : résultat , baptême treuillage en hélico / tassement des Lombaires qui me rappellent encore régulièrement à leur bon souvenirs .
Heureusement ensuite , je me suis calmé , pas le moindre problème les 30 années suivantes , après plus de 1500 vols .
Je ne comprends pas ta question?
Près de 40% annoncent au moins un accident (suivant la définition “ayant entraîné un arrêt de l’activité parapente pendant au moins quelque temps”).
Nombre d’heure, nombre de vol :grat: je dirais plutôt nombre de jour de pratique.
dans mon club 100% des pilotes qui volent plus de 80 jours par an et depuis plus de 10 ans on eu un carton soit une vingtaine de personnes.
S’ils n’ont pas eux de carton ce n’est pas passé loin.
Une vingtaine de pilotes de ton club volent plus de 80 jours par an, soit plus de 6,6 jours par mois en moyenne ! :grat:
Cela me semble vraiment beaucoup.
Il faut à la fois être libre et avoir une météo correcte…
Je suis impressionné. 
Marc
Pour une fois que tu n’es pas étonné 
Ceux qui volent souvent sont effectivement à la retraite ou bien organisés, les sites en plaine sont nombreux et proches, il n’y pas de temps d’approche, celui qui a 1h30 de pause le midi et qui travaille à 20 minutes du site peux voler 40 minutes s’il met 10 minutes à déplier/ranger ses affaires.
Il faut se rappeler que même si on travaille 8h par jour 7 jours sur 7 toute l’année et qu’on dort 8h il reste 8h de temps libre, après c’est des choix et une météo adaptée.
Le nombre de jour par an volable par chez moi tourne autour d’une centaine en restant dans des conditions ‘loisirs’ mais il me semble que c’est le cas aussi dans ton coin sachant qu il n’y pas de coupure l’hiver.