Désolé pour le petit délai de réponse… et merci à tous pour vos réponses.
C’est vrai qu’en me relisant, ma question n’était pas très claire ! En fait c’est lié à mon parcours perso en chute qui est loin d’être représentatif des autres chuteurs. Disons que les sensations en chute libre sont tellement grisantes, que l’on a très vite envie de multiplier les sauts encore et encore, ne serait-ce que pour progresser. Hors, le budget très élevé peut vite devenir un réel problème, car on peut facilement faire 4 sauts dans la journée, le WE dure 2 jours, etc…
Et si le budget ne suit pas, soit on arrête frustré, soit on saute peu, ce qui était mon cas. Du coup, on n’arrive pas à suivre la progression des copains, on saute pas beaucoup en groupe, on saute trop souvent tout seul, et la motivation diminue peu à peu, même si paradoxalement “l’envie de la porte” est toujours très forte !
J’espère avoir été un peu plus clair. Mais mon interrogation est un peu idiote en fait, car je me demandais si ce phénomène pouvait se produite avec la progression en parapente.
Hors c’est pas du tout pareil, car si le parachute en chute libre ne sert qu’à se poser sain et sauf (en-dehors d’un certain niveau où l’on peut se faire des montées d’adrénaline avec les posers en survitesse), en parapente le but, si j’ai bien compris, le but c’est… voler ! Tout simplement.
Donc aucun vol ne doit ressembler à un autre, et en plus y’a l’air d’avoir plein de manières d’aborder et de pratiquer le parapente 
Ne croyez pas que je suis un impatient qui veut brûler les étapes et aller vite, j’adore profiter du moment présent, je suis plutôt contemplatif et spécialement dans ces loisirs dits “aériens”, mieux vaut aller à son rythme, tranquillement.
En ce qui concerne le vol biplace, je pense que vous avez raison ! Et en plus, autant mettre le prix d’un long vol biplace (130/150 euros) dans le stage initial…
Question budget, je me doute que si on en a pas, mieux vaut faire autre chose que du parapente ! De mon côté, le 1er stage (voire le 2ème) sont déjà mis de côté, donc en effet, autant y aller ! En plus, quand on a un site école et de vol à 30/40 min de chez soi…
Faut juste bloquer une semaine vite fait car quand je suis jardinier à mon compte, comment dire… en ce moment c’est plutôt trèèèès chargé ! Mais ça le fera, on va trouver !
J’imagine qu’au choix, au Pays-Basque, mieux vaut quand même débuter début juin qu’attendre mi septembre, avec le vent du sud à fond…
Sur ce, je vais continuer à rêver devant toutes les vidéos de vol rando dans les montagnes basques et Pyrénées centrales, et j’espère, d’ici cet été, revenir ici ou dans un autre sujet pour vous raconter mes premiers vols ! Merci à vous 