Oui les claques a l’ouverture c est un sujet recurrent mais ca existe. Du coup si tu libere en para il faut utiliser un secours specifique. Un secours normal de para tiendra pas … ou alors il tiendra mais pas le pilote dessous. :vrac: :affraid:
Nouveau type de selette : mon idée... (idiote?)
Moi j’aime le modèle avec la liaison avec le casque, question de transmission de pensées.
héhé,
avec tout les “para” je sais plus si tu parles de parapente ou de parachute. 
Bon, tout ce que je voulais dire c’est que des parachutes qui s’ouvrent rapidement sans niquer le cou ça existe,
que des voiles qui tombe sans pilote ça existe sans poser de problème.
Comme ça on pense plus à la sellette, qui est le sujet de la discussion, qu’aux annexes (qui ne sont pas dépourvues d’intérêt) qui interfèrent dans la réflexion.
Je voit que le sujet et devenu un peu plus pointu, mais je me permet quand même de donner mon avis à levautour (bien qu’étant débutant).
Je trouve cette idée très bonne et j’avais pensé a quelque chose de la sorte lorsque je faisais du gonflage. Parceque lorsque je courrais comme ça au sol les sangles de cuissardes finissaient toujours pas se relâcher (jusqu’à le butée!), ou alors gênaient pour courir en étant trop serrées. Ensuite des fois on aimerai bien alléger sa sellette plutôt que se trimballer tout le matos. Donc ce que j’aurais aimé c’est :
-
un harnais, complet, qui s’enfile!, avec cuissardes articulées. Très léger ,confortable et autonome!! Qu’on puisse l’utiliser comme sellette, donc avec fixation pour élévateurs mais sans planchette, ni air bag. (genre sellette radicale quoi, mais avec de vrais cuissardes et une vrai ventrale .) Ainsi en plus pas de problème de sécurité.
-
la partie lourde, qui vient se fixer après! et qui n’est donc pas indispensable. Elle contient la planchette, le mousse bag ou air bag, le parachute, les instruments…
Ainsi même en aillant installé le tout. Les cuissardes restent confortables et ne gênent pas. La partie lourde non plus étant portée uniquement par les bretelles. Voilà, peut être ceci ressemble-t’il un peu a ton idée. Le problème principal étant surement la compatibilité de la partie légère avec la planchette.
++
Le mal de dos à cause d’une ouverture trop rapide,ça me rappelle de vieux souvenirs.c’est une des raisons qui m’ont fait arrêter le parachutisme.Tout est dans le pliage de la voile.
Sinon,pour le largage de la voile,je pense qu’il y a interdiction dans le cadre du parapente parce que l’on est amené à voler un peu de partout dans la limite des zones règlementées,avec survol de zones habitées,de routes et d’autoroutes etc…
Alors qu’en parachutisme l’activité est limité à la DZ (zone de largage)limite bien définie et signalée sur les cartes aéro.
Donc la libération de la voile principale devrait limiter les risques.
Ce que je disais plus haut, c’est que par exemple à Lille et Châlon, les DZ, et donc les zones de largages, sont à coté d’autoroutes, voies rapides, zone habitables,… sans parler de dérive de la voile une fois larguée.
Et il existe des cas où la libération ne se fait pas dans la zone de largage, en particulier : sauts hors-zone (donc dans une zone autorisée mais qui n’est pas forcément au dessus de la DZ) et wingsuit (si y’a un problème, ouverture et/ou procédure de secours en dehors de la zone prévue)
D’accord une voile larguée peut représenter un risque mais le truc ne saute pas à la gueule comme ça, ça descend tellement lentement que le chiffon est dans le champ visuel d’une personne depuis un temps certain avant qu’il ne se le prenne sur la tronche, qu’il soit en bagnole, train ou avion, il aura le temps de voir venir le truc…en général.
[quote]ça descend tellement lentement que le chiffon est dans le champ visuel d’une personne depuis un temps certain avant qu’il ne se le prenne sur la tronche, qu’il soit en bagnole, train ou avion, il aura le temps de voir venir le truc…en général.
[/quote]
:grat: heu là je crois que tu te trompes, :grat: je crois me rapeler que dans le film les nuits de la glisse de 2005, François Bon saute de son parapente solo pour faire du base jump et je me rappelle avoir été surpris par le comportement de la voile (qui se mettait en vrac comme lors d’un décrochage et qui tombait super vite finalement !! (je vérifierais ça se soir!!)
Ensuite pour ce qui est de l’autorisation ou non de larguer la voile en parapente j’ai lu :
“excepter le ballast d’un planeur par exemple, balancer quoi que se soit par dessus bord peut coûter au contrevenant 6 mois de taule et une amende de 3650€ !”(cf pub pour le réglo (ulm) vol libre N°373)
:grat: le mieux est je pense de poser la question à Edeceo (enfin au nouveau qui a ce pseudo il doit être au courant lui
?
Pour pinailler je dirais bien que c’est parce que la voile est alourdie par la sellette…etc…mais c’est vrai que ce que j’ai dit est un peu con, si la voile est en boule ça doit descendre plein gaz. En fait je me rappelais 2 libérations à St-geoirs (parachutisme) où là il n’y avait que la voile, les suspentes et élévateurs et ça descendait super lentement, on aurait presque pu récupérer les voiles avant qu’elles ne touchent le sol.
Mais dans l’absolu, pour larguer un parapente c’est clair que la meilleure façon serait d’attendre d’être le plus bas possible:
est ce que le vomit est compris dans l’interdiction de balancer par dessus bord ??? :grat:
certainement :mdr:
donc mon pote biplaceur devrai faire 12 mois de taule pour avoir fait gerber son passager !!!
eh ben il va être content
est ce que la DGAC donne des primes pour les balances ? :twisted:
:mdr:
[quote]c’est parce que la voile est alourdie par la sellette
[/quote]
désoler :bang: :bang: :bang: faut réfléchir avant d’écrire :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :canape: