je viens d’aller comparer nos traces respectives de cette transition identique sur Xcontest, au meme moment, d’environ 6 kms:
Pour la Rush4 28m² en milieu de fourchette , altitude au depart de la transition:1300m; et à l’arrivée de la transition 330m
Pour l’Aspen5 en 24m² en haut de fourchette, altitude au depart de la transition:1397m; et à l’arrivée de la transition 150m
Difficile d’en tirer une conclusion sans voir la trace, en gros tu volais à 6.2 de finesse et lui à 4.8 de finesse. j’en déduis qu’il y avait du vent qui vous contrait. La question est de savoir qui utilisait l’accélérateur ou pas et de manière optimale ou pas.
Non au contraire… Dit comme ça ça jouerais plutôt en sa faveur.
Par contre la surface de l’aile elle joue bien en ta faveur.
La charge donne une meilleure résistance aux turbulences et une meilleure pénétration de la masse d’air lorsque ça bouge, la finesse ne change normalement pas, par contre la surface plus grande d’une aile fait qu’elle plane mieux.
Aujourd’hui, petit cross avec ma nouvelle Rush4 en compagnie d’une Ozone Mantra 6, dans des conditions thermiques douces (ciel couvert).
J’ai eu l’occasion d’enrouler le même thermique que la Mantra 6 en parfaite symétrie et faire les mêmes transitions, en même temps, en partant de la même hauteur.
Et bien, de l’avis même du pilote de la Mantra 6, cette Rush4 enroule et monte aussi bien dans le thermique que la Mantra 6.
La différence se joue dans les transitions avec un avantage indéniable mais pas énorme en faveur de la Mantra 6.
La conclusion que nous en avons tous deux tiré, c’est que la différence de performance en faveur de la Mantra 6 est proportionnellement bien inférieure à l’avantage en terme de sécurité que peut offrir la Rush4.
Par ailleurs, j’ai encore pris une fermeture dans un thermique teigneux, et je confirme qu’il faut aider un peu la voile à se ré-ouvrir car le bout d’aile à tendance à rester collé à l’intérieur de la voile comme lors des oreilles. C’est pour cette raison que je ne conseille pas cette Rush4 à un pilote débutant même si je la trouve par ailleurs bien sage et paisible.
Tout petit retour après un 1er vol de deux heures avec ma Rush4.
Les conditions étaient vraiment petites. Et je suis tout en haut du ptv, voir même un peu au dessus : 85 voire 86 kg sous la S . Je m’attendais à être plutôt en bas de peloton du coup. Et bien ça plane super bien en fait !! j’ai été impressionné.
La Rush 4 a aussi fait le 3ème plus long vol d’Andalousie 2015 (Ligue andalouse de parapente): 187,08km en ligne droite décor/attéro. Ceci tous niveaux de voile confondus. Fran Reina (champion du monde) était premier.
Usure du bas de suspente A’ sur le maillon reliant aux élévateurs sur une Rush 4. A vérifier sur les ailes de ce modèle (pareil sur Swift 4 ?) et peut-être changer les maillons si problème.
C’est drôle, sur ma M6, l’élévateur qui a du bleu (celui que je prends pour gonfler) est celui qui tient les 2 suspentes centrales avec le gros maillon.
Sur la photo, là sangle avec du bleu tiens le petit maillon de la suspente oreilles.
J’aurais pensé qu’Ozone avait un standard au travers de sa gamme d’ailes !
C’est le maillon d’origine? Sur la photo celui qui est gravé a l’air plus clair (c’est peut être un effet de la photo). C’est très étonnant qu’il y ait autant de gravure sur ce maillon. Du coup comme le dit swaxis38 c’est pas étonnant que ça ait bouffé la suspente.
Quand il y a les maillons avec le cache en plastique, il n’y a pas d’élastique ? Il me semble qu’un élastique aurait limité voire réglé le problème non ?
En tous cas ça m’aide bien à apprécier les connexions en boucles dyneema de ma Lynx ! Même si ce n’est pas le gain de poids qui apporte beaucoup, par contre ça évite joliment ce souci de frottements corrosifs et ce hiatus des chainons durs dans une transmission souple qu’on stock repliée contre du tissus…