perso, en approche,
je suis soit déjà debout dans la sellette, ou la planchette au ras des fesses,
je regarde au loin devant et a minima le bout opposé du terrain,
je suis bras haut,
quand je voit que le terrain commence a “s’aplatir” en gros que la partie au loin commence a remonter a l’horizon alors que la partie sous mes pieds plonge,
je commence a mettre du frein histoire de garder une impression que le terrain ne bouge plus, autrement dit essayer d’avoir le bout opposé du terrain qui ne monte pas trop vite je sait que je suis a environ 2 m sol
je sait que je suis entré sur la phase pallier, et en gardant ce visuel mon freinage sur cette phase est progressif et je perd progressivement de la vitesse verticale et horizontale.
puis a un moment donné, l’impression vient que le bout du terrain se remet a vite se relever, c’est que j’ai consommé la plus grande partie de la vitesse horizontale, mes pieds sont a moins de 50 cm sol,
un freinage ample et vers l’arrière me permet tout a la fois
de m’aider a me redresser dans la sellette,
un freinage plus efficace,
une prise de contact douce avec le sol
la perte du reliquat de vitesse verticale et horizontale.
mais ne pas oublier qu’a la base c’est vraiment la bonne position du regard qui fait le bon posé.