Pourquoi un fabricant de parapente français n'y avais pas pensé avant...?

Pourquoi un fabricant de parapente français n’y avais pas pensé avant…? Et quand je dis un fabricant de parapente français, c’est un fabricant qui fabrique en France bien sûr…!

http://para2000.org/wings/data/independence-grasshopper_pub_fr.htm

Pourtant presque tout est déjà commencé… plus qu’à finaliser quelques petits détails essayer encore d’éliminer la traîner… Bord de fuite… Bord d’attaque, Etc…
Le fait que ça soit une simple surface beaucoup moins de pièces à assembler… donc peut-être plus facilement concurrentiel par rapport aux ailes fabriqué en Chine au Sri Lanka ou au Vietnam.?

http://www.laboratoridenvol.com/projects/gnu-A/gnu-A.en.html

http://www.laboratoridenvol.com/ftvl/presenta.fr.html

Des fois j’ai plein d’espoir… que tout est possible…!
Puis d’autre jour je me dis que de toute façon c’est perdu d’avance… même si un constructeur français voudrais faire une voile comme ça, est-ce que les acheteurs suivraient…?
Et au mieux si ça marcherait bien, les autres constructeurs qui fabrique au Sri Lanka, en Chine ou au Vietnam aurait vite fait de reprendre le créneau avec des couleurs dans tous les sens, quelques modifications et un bon marketing à l’américaine…!

Voilà… c’était une petite pensée comme ça, sans prétention…

Quel que soit le lieu de fabrication ou le fabriquant, c’est une bonne idée !

Pour du Made In France, avec du Porcher ça serait encore mieux

Voir ici :

http://www.parapentiste.info/forum/flood/orthographe-et-donc-flood-t41358.0.html;msg525382#msg525382

Je sais, je me répète (il y a eu tellement de messages à ce sujet !).
Désolé !

:sors:

Marc

https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/fabricant-ou-fabriquant/

Erreur couramment commise
Difficile de savoir s’il faut écrire « ce fabricant de jouets a débuté en fabriquant des toupies » ou « ce fabriquant de jouets a débuté en fabricant des toupies ».

Règle (comment ne plus commettre cette erreur)
Vous pouvez remplacer ce mot par « faisant » ? C’est alors le participe présent « fabriquant », lequel est souvent précédé de « en ». Dans le cas contraire, il s’agit du nom « fabricant », qui s’écrit avec un « c » :

Il s’est blessé en fabriquant une bombe. = Il s’est blessé en faisant une bombe.

mais

Le fabricant décline toute responsabilité en cas de non-respect du mode d’emploi. ? Le faisant décline toute responsabilité en cas de non-respect du mode d’emploi.

Quel rapport avec un https://fr.wikipedia.org/wiki/Faisan ?

Apparement les mono-peau réagiraient différemment ? se piloteraient différemment ?

c’est d’avoir copié la deco ozone qui rend une mono surface aussi lourde plus de 3.kg mini
:lol:

Une voile école Ozone… le même tissu mais conception en double surfaces…
1.3kg de plus pour 22 m2…!

http://para2000.org/wings/ozone/mojo5.html

Effectivement en faisant une voile uni on aurait pu éliminer quelques coutures…! Et peut-être quelques grammes…?

Une question sur ces simples surfaces - je n’en ai vu qu’en video donc … - : comment font-ils pour tenir la rigiditée du profil sur l’envergure ? Il n’y a pas de cloisons ´transverses’ il me semble ? C’est simplement l’extrado qui tiens la cote ? Parceque le tissus reste qd meme assez souple quoi.

Autre point d’interrogation : du coup tous les efforts se retrouvent sur une seule peau. C’est un coup a checker l’etat du tissu de temps en temps qd meme ?
En kite qd une aile s’ouvre en nav il n’est pas rare que ca finisse en 2 kites séparés…

Sinon plus les ailes sont legeres, safe, perfo, et petit volume, plus la magie est grande ! Continuez les constructeurs vous donnez bcp de bonheur aux gens ! :pouce:

Ce sont de bien jolies voiles, c’est certain, mais elles sont notablement plus grandes et plus lourdes que les UFO qui, elles, sont parfaitement adaptées aux stages init.
Comment ont-ils passé l’homologation EN A ?
Ozone ayant fait un bide avec la XXlite, serait-ce un retour sur le créneau avec un faux-nez ?
Je ferai volontiers un essai si l’occasion se présente.
:trinq:

Plus grandes et lourdes qu’est-ce que ça change? Pourquoi serait-elle moins adaptée que la chère UFO??

Comme n’importe quelle autre voile homologuée A peut-être?

La voile la plus compacte et légère du marché, parfaitement adaptée à son usage prévu à savoir descendre d’une montagne. Un bide? Où ça? Des tas de gens volent avec

Je n’arrive pas à mettre le lien…! ( il y a sûrement d’autres personnes qui y arriveront…!)

Il suffit de faire une recherche (avec la phrase en couleur verte…!) sur Google et de prendre le premier article en PDF…
Recherche sur Google avec :
La voile nous porte, qui tient la voile ? Olivier Caldara … la trainée induite, mais seule une partie de la portance sert à maintenir en l’air

http://www.leschoucas.com/theorie/Olivier-Caldara/OC-portance.pdf

Merci pour le doc.
Peut etre me suis-je mal exprimé.
Nous sommes dans le cas 3c du document. Ce sont bien les contraintes transverses ´tirant’ le profil sur l’exterieur qui maintiennent l’aile ouverte sur l’envergure.
Sur une double surface, la dimension et la forme de l’envergure (axe y) sont tenus par le ´sandwich’ intrado, extrado, et la structure transverse.
Sur une simple peau, l’impression qui ressort est que seul la tenue d’une simple peau de tissu encaisse les contraintes transverses (axe y).
Peut être utilisent-ils des tissus plus solides et moins déformants sur l’axe y ?
Peut être qu’une déformation et la tenue d’un profil sur l’axe y n’est pas trop impactant sur la’ perf ? Mais j’y crois pas, la meilleure perf devrait être obtenu avec le meilleur profil maintenu le plus longtemps possible.

Qu’en est-il des fermetures et de la façon de réagir, de les piloter?

Une dame s’est apparement plantée en fin d’été avec une mono-peau qui aurait fermé en approche attéro, hôpital, fractures.

Dit par un pilote qui vole avec une voile arlequin qui doit avoir deux fois plus de coutures que les autres ! :stuck_out_tongue:

Salut

Il n’y a quasiment aucune contrainte sur l’intrados d’une aile. La tension passe des suspentes aux nervures qui sont soutenues par l’extrados.
La répartition des nervures sur une mono peau est quasi la même que sur un parapente traditionnel. Donc c’est aussi solide

A+
L

Salut, et merci pour les infos, je comprends mieux alors :pouce:

Elles ´tortillent’ plus que les doubles peaux ces monosurfaces ?

C’est ma copine Véro et c’était fin juillet, avec une Skin. Quand je suis allée la voir chez elle en octobre, à sa sortie de l’hôpital, elle béquillait avec difficultés et les séances quotidiennes de rééduc étaient très pénibles mais moins pénibles que la contemplation d’un plafond pendant un mois, coincée dans une coque avec le bassin fracturé, sous morphine avec les désagréments que cela comporte.
Elle n’avait pas tout compris de ce qui lui était arrivé. Selon des témoins, elle aurait pris en finale la turbulence de sillage d’un biplace qui aurait causé une grosse fermeture et près du sol cela fait des dégâts, d’autant que la Skin ne fonctionne pas tout à fait comme un parapente lambda quand elle part en digue-digue.
Rassurez-vous : elle va mieux, c’est une battante et on la reverra dans le ciel d’Annecy.

Que l’accident de Véro ne dissuade pas ceux qui seraient tentés de tâter de la mono-surface : c’est réellement LE PIED pour le vol-rando et le paralpinisme et c’est un outil parfait pour l’initiation des débutants : grande facilité de prise en mains, maniement au sol évident, décollage extrêmement simple même par léger vent de cul, prise en charge immédiate, grande stabilité en l’air, grande maniabilité et… heu… ben il faut réapprendre à se poser mais cela ne gêne pas les débutants qui n’ont pas encore appris. Ils apprennent donc à poser cette voile avec précision, et on apprend très vite (même à mon âge).
La seule contrainte pourrait venir de l’obligation des écoles à utiliser des voiles homologuées EN A. Cette contrainte se contourne et intitulant les stages “initiation à la voile mono-surface” et le tour est joué.
Un autre avantage, que j’ai observé lors de mon stage avec Fabien, c’est qu’il n’est pas nécessaire de se pastiller deux journées à gambader sur une pente-école : on prend la voile en mains si vite qu’on peut déjà slalomer au sol entre des quilles en pilotant la voile dès le 1er jour, et voler dès le 2ème jour.
La prévol et la mise en oeuvre sont si rapides que les vols s’enchaînent, on en fait 5 ou 6 dans la journée contre 3 en init habituelle avec une école. Le bus arrive quand le dernier replie, les voiles sont en bouchon et on remonte tout de suite.
Au déco, on n’attend pas que les autres écoles aient libéré un couloir : on se met devant leurs élèves et on décolle immédiatement, cela ne les gêne pas.
Au bilan, les stagiaires y gagnent en efficacité, en temps de vol et en nombre de vols.

Cela reste quand même du domaine de l’initiation. Après, il faudra passer au parapente avec un stage perf mais cela se fera avec des bonnes bases.

Par analogie, un pilote moto qui aura fait une saison en “mobylette” (encore que ces engins, qui roulent à 150, ne soient pas vraiment des mobs) saura se tenir sur un circuit et n’aura aucun mal à s’adapter à la 125, plus puissante mais à peine plus lourde et à peine plus rapide.

J’ai l’air dithyrambique comme ça mais je ne raconte pas de salades. Essayez la mono-surface et vous serez aussi emballés que je l’ai été.

Un parapente lambda contient des cloisons intérieures et les suspentes sont implantées à la jonction de ces cloisons et des panneaux d’intrados. La contrainte mécanique est exercée sur ces cloisons, donc sur l’extrados. Supprimer l’intrados n’influe pas sur la résistance des cloisons, désormais apparentes, en n’impose donc pas de contraintes supplémentaires à l’extrados.
Il ne faut pas oublier que l’essentiel du poids est supporté par les suspentes avant et une mono-surface a un bord d’attaque digne de ce nom. Cela vole très bien et cela ne tombe pas du ciel.
:trinq: