un peu plus constructif !
plusieurs utilité, en cas de contre dans une zone de compression, accéléré peut permettre de ce sortir d’une impasse
en cross, accélérer pour ne pas rester dans les degeulante lors de transition peut permettre de gratter quelques metre qui peuvent être précieux plus tard, de meme lors de cheminement sur certaine crete, ça permet de gagner du temps et donc de pouvoir grater quelques km de plus sur le vol en fin de journée !
tu trouvera la réponse dans le manuel du parapente, dans celui de ton aile, auprès de ton moniteur de stage.
globalement c’est un système actionné par les pieds qui permet de faire varier la vitesse verticale et horizontale d’une aile par modification de son calage.
son usage classique en fait un élément de sécurité de part les actions induites.
son usage stratégique en fait un élément de performance de part les actions induites.
son usage inconsidéré peut en faire un élément accroissant le risque de part les actions induites.
comme tout élément d’un parapente c’est un élément technique qui demande un réglage et un apprentissage pour l’utiliser au mieux sans entrer dans la zone de risque,
malheureusement ces éléments ne peuvent pas se transmettre juste par le biais d’un forum mais plus das le cadre d’un encadrement adapté.
C’est en plus plutôt indispensable d’en avoir un, de savoir s’en servir et de connaître les avantages et les risques de s’en servir si tu veux aller faire de soaring en bord de mer.
Ou quand, ayant tricoté des pieds dans ton cocon, tu te dis que ce serait vraiment bien d’atterrir à cloche pieds parce qu’un de tes pids s’est prise dedans…
C’est couillon quand même, en l’air ça te fais accéléré (d’où le nom fort éloquent) par contre qu’est-ce que ça peut te freiner une fois sur le plancher des vaches…
Dans la série “Régis fait du parapente”, il m’est aussi arrivé, au décollage, de choper l’accéléro en même temps que le cocon, de ne pas m’en apercevoir tout de suite (même si je trouvais le comportement de ma voile un peu bizarre), et d’enrouler comme un demeuré le thermique juste en sortie de déco, accéléré premier barreau.
Pas besoin d’un cocon. Un moniteur à la radio qui t’explique pour la première fois les oreilles accélérées, et paf, tu te retrouve avec un pied coincé dedans quand t’il te dit que tu peux commencer ton approche. Petit coup de flip, et tu décides de retarder un poil ce que viens de te demander le moniteur pour d’abord remettre tes pieds à leur place avant de penser à atterrir…
Première utilisation de l’accélérateur, direct un pied coincé dedans…
Je crois que vous êtes passés à coté d’un truc les gars. Le but d’un accélérateur ne se limite pas à se tirer d’un mauvais pas, que ce soit un renforcement du vent ou une dégueulante en transition. L’accélérateur c’est aussi la seule réponse actuellement homologable à la chasse à plus de finesse.
Il y a deux façon d’augmenter la finesse :
diminuer le taux de chute à vitesse constante
Augmenter la vitesse à taux de chute … on va pas dire constant, mais comparable.
Question taux de chute, on arrive à des minimas qu’il devient impossible d’encore améliorer, donc la seule solution pour des finesses encore meilleures, c’est d’aller plus vite sans trop degrader le taux de chute. D’autre part on doit garder des ailes décolables à pied et surtout homologables (qu’on peut ramener dans le domaine de vol quand ça part en couille). On en arrive donc à des ailes dont les accélérateurs ont des courses très longues qui permettent d’atteindre des finesses élevées (pour un parapente actuel) tout en restant gérables dans la course normale des commandes. Alternativement sur une deux lignes, ça permet d’avoir le maillon des B plus haut que le maillons des A et d’avoir une marge de manoeuvre visible quand on pilote “aux B”.
Devoir pour demain : expliquer pourquoi, sur une trois lignes, en théorie on dégrade la finesse en utilisant l’accélérateur alors qu’on l’améliore en détrimant ?