Chez Advance le sac confortpack existe en 100, 115, 130 et 145 litres de volume. Donc le problème n’est pas au niveau de ce qui existe mais uniquement dans l’incohérence des choix des usagers. Du moins de celle des pilotes qui veulent voler en M6 (par ex) mais porter une UL3 (tjrs pour imager)
Idem pour ce qui est d’utiliser (d’avoir besoin) un tube de pliage pour arriver à rentrer dans un sac de compression. Si c’est lle volume et accessoirement le poids qui comptent, je ne vois pas l’intérêt d’utiliser, même le plus léger, un saucisse-bag pour plier. Même pour une voile “moderne”. D’une, les joncs d’aujourd’hui sont moins fragiles que les mylars d’antan. De deux, à priori si on pense volume minimale c’est que l’on est sans doute plus orienté rando-vol que Xc et que donc la voile utilisé reste “facilement” pliable (une sangle velcrp de 20 mm fonctionne très bien pour maintenir le BA le temps du pliage et de la mise en sac de “compression” et pour le reste de la voile on evite ainsi un maximum les lignes de pliage répétées aux mêmes endroits. Et l’idée n’est pas non plus de laisser la voile ainsi stocké mais bien juste de la transporter d’un point à un autre à “pieds”. Enfin trois, même le plus fin et léger szucisse-bag pèse un peu et surtout représente un “certain” volume.
Bref, je rejoint totalement Fabrice, la solution est dans le juste choix de chaque élément de son matos en rapport avec la vraie pratique envisagée.
Puis cela me semble un peu facile d’ironiser sur le marketing de quelques marques qui soient car elles ne font que répondre à des demandes de leur clientèle potentielle. Avec de plus le même objectif que l’on aurait tous (soyons honnêtes) “gagner de l’argent” Bien sûr qu’il existe une démarche de la part des entreprises de créer et d’entretenir un esprit de “demandes” auprès de nous pilotes. Mais je pense sincèrement qu’aucune des entreprises “parapente” n’est en reste. Chacune essayant de trouver si possible son propre créneau.
Notre microcosme parapente est comme beaucoup d’autres dirigé “aussi” par des effets de modes. On est tous des faschion-victimes en puissance. Plein d’autres exemples existent, par exemple les poignées de pilotage que l’on verra probablement bientôt sur les voile En-A. Mais cest vraiment avec le light que c’est le plus flagrant. Oh… je ne critique pas ceux qui randonnent véritablement pour voler. Mais quand je vois la fixation dans mon entourage sur le matériel light de la part de pilotes qui, plus que moi encore (et pourtant je suis déjà fainéant), cherchent leurs sites en fonction de la facilité d’accès… en voiture.
À nous de savoir ce que l’on veut ou recherchont.
Bonne soirée,