Lorsque qu’il se passe quelque chose à un endroit précis , c’est l’occasion d’affiner tes sensations en repassant des multiples fois à cet endroit, c’est le gros avantage du soaring avec quelques ascendances .
qu’est ce qui te fait dire "il n y avait qu un coté de l aile qui portait ".
est ce que le commandes se durcissent ? c’est symétrique ? est ce décalé dans le temps ?
que fait la voile , elle fait une ressource ?, une abbatée ? à quel moment par rapport aux durcissements des commandes ?
il y a t’il un coté de la sellette qui se soulève , si oui quel relation avec les commandes ?
Les ascendances suivent-elles le rythme d’un cycle , si oui lequel , ou bien est ce permanent ?
etc …
une fois que tes sensations sont biens intégrées , tu fais des hypothèses tu en déduis une action de pilotage qui serait plus efficace , tu testes , tu fais ton bilan et tu recommences.
Les vols en bord de mer peuvent être passionnants et formateurs.
Pour ton cas, impossible de dire avec si peu d’élément, mais ce qui se passe souvent en soaring surtout quand le vent est travers c’est des ascendances du au rouleau, il faut que t’imagines une immense vis sans fin horizontale et dans le sens du vent qui crée une legère ascendance d’un coté, une zérotage en son sommet et une descendance de l’autre coté.
Il peut y avoir aussi des trains de bulles qui se forment à un endroit précis, c’est le cas quand le soleil est face à un pied de falaise ou bien à marée haute quand l’eau est plus chaude que l’air.