:affraid:
Impressionnant ce récit!!! Et l’analyse qu’il fait de l’incident montre une belle lucidité, notamment sur la part de risque qu’on accepte en pratiquant le parapente, surtout à ce niveau.
Après, je suis surpris de son discours sur la frontale, la vitesse et la marge de manoeuvre du freinage… Je comprends ce qu’il veut dire, mais j’aurais pensé que la vitesse n’était pas étrangère non plus à l’ampleur prise par sa frontale (passer de 45 à 0 km/h, c’est a priori plus violent que de 35 à 0 km/h, même si je vois mal un compétiteur freiner en cheminement le long des crêtes de St-Hil). Et la réaction de freinage dont il parle, je me dis que si elle vient un poil trop tard, elle peut amplifier fortement l’incident. :grat:
Comme quoi on pilote vraiment pas une voile de compétition comme une aile de loisir…