Sondage pour Plateforme de guide

Bonjour tous le Monde

Voila, je ne suis pas parapentiste. Je lance ce sujet car je suis en phase de création d’une plateforme pour aider les guides sportifs en général à pouvoir atteindre une clientèle plus importante et pouvoir ce faire connaitre par un plus large publique.
Cette idée je l’ai eu en collaboration avec des guides de haute montagnes, qui se plaignait de la difficulté de parfois pouvoir se faire connaitre d’un plus large publique et des marges abusives de certaines entreprises du tourisme.
Mes différentes questions peuvent paraitre indiscretes comme j’ai pu le lire dans d’autre post mais là n’est pas mon but. Je souhaite pouvoir avoir une vue plus précise sur le marché des cours de Parapente et des moniteurs en Parapente.

(ces informations sont difficielement trouvables , site des chambres de commerces, d’association de guide, rapport de toursime,… ne délivre pas toujours ces informations).
Voila donc Je souhaiterais savoir grosso-modo la part de guide de parapente indépendant?
J’ai pu lire ailleurs que c’est la grande majorité.
Aussi Une entreprise comme l’UCPA , combien de marge prend elle sur un vol? (je veux dire la somme qu’elle s’octroie en plus de ce qui revient au guide + les coûts divers)?

Et si vous avez le nombres de moniteurs de parapente sur votre secteur (Régions, département, ou zone géographiques plus restreintes)
Vos réponses serait d’une grande aide.
Vous pouvez me répondre soit en MP ou directement sur ce topic.
MERCI BEAUCOUP,

je sais qu’il y a des guide be parapente, mais pas certain qu’il y en ai beaucoup !

et je ne pense pas que les guide be parapente tourne des bi dans des structures comme l’ucpa !

Bonsoir,

Je confirme : il existe des BE parapente qui sont aussi guides de haute montagne, mais je pense qu’ils sont vraiment peu nombreux et certainement très minoritaires au sein de la population des BE parapente, comme au sein de la population des guides aussi !
Des professionnels du vol libre qui sont sur ce forum pourront apporter des informations plus précises à ce sujet.
J’en connais personnellement un avec qui j’ai eu la chance de réaliser les plus beaux vols de ma vie de pilote montagnard.

Je pense que ces BE qui sont aussi guides de haute montagne sont connus d’un certain nombre de pilotes qui les contactent pour réaliser des projets de vols en haute montagne qu’ils ne pourraient pas réaliser sans eux.
Ils organisent aussi par exemple des stages itinérants axés sur les vols montagne.
Je ne suis pas du tout convaincu qu’ils cherchent spécialement à se faire connaître par des structures du type “Offices de tourisme” par exemple, mais je me trompe peut-être (?).
Et je les vois assez mal effectuer régulièrement des biplaces en UCPA. :grat:

Tu parles de “guides” ; j’ai donc interprété cela comme voulant dire “guides de haute montagne”.
S’il s’agit seulement des enseignants professionnels du parapente en général, on parle alors de “moniteurs” de parapente (et non pas de “guides”) et mon message est alors hors-sujet.
Je n’ai peut-être pas bien compris ton message (?).
Toutes mes excuses si c’est le cas.

A+ Marc

P.S. : Petite remarque à marcantusss :
Tu aurais pu relire un peu ton message avant de le poster ; cela aurait sans doute évité qu’il y ait autant de fautes d’orthographe dedans !
Ce n’est pas parce que l’on est sur un forum Internet qu’il faut massacrer ainsi la langue française ; c’est un petit peu dommage… :sors:

Il y a aussi des professionnels qui font effectivement “guides” de parapente.
Ils ne sont pas dans l’enseignement (donc pas “moniteurs”), mais ils accompagnent les gens sur les bons sites, avec briefings, conseils, etc, et logistique-navette.
Je ne crois pas que ça existe en France, sans doute pour des raisons réglementaires.

en fait si mais ce sont des be avant tout !

Oui, ce que je voulais dire, c’est qu’il y a quelques moniteurs/BE qui font ce genre de prestations (sous forme de stages/services pour pilotes déjà expérimentés, sans démarche d’enseignement, ni de responsabilité d’encadrement), mais je ne crois pas que des non-BE se risquent sur le terrain ?

Salut Hub,

Arrivé à ce stade de la discussion et au vu de ta définition du rôle de guide-parapente ou du moins de la prestation qu’il fournirait ; " genre de prestations (sous forme de stages/services pour pilotes déjà expérimentés, sans démarche d’enseignement, ni de responsabilité d’encadrement) Il n’y aurait à mon avis aucun besoin de diplôme d’enseignants tel BE, BP-DEJEPS.

Tu me diras, le “ni de responsabilité d’encadrement” ne me semble pas possible. Le rôle d’un guide étant par nature, il me semble, d’encadrer le guidé. Et une activité “professionnelle” suppose dans tous les cas la notion de responsabilité et pas que en moyens mais aussi justement en résultats

Sinon sorti du cadre professionnel, dans la pratique associatif du parapente comme précisé par ta citation en italique, le synonyme de guide est accompagnateur fédéral.

On peut même supposer qu’en ayant le niveau validé par l’obtention de la qualification FFVL d’accompagnateur fédéral et dans la mesure ou l’on arrive à se faire assurer pour le risque professionnel. Qu’il devrait être possible d’obtenir une carte professionnel pour exercer comme guide/accompagnateur parapente, toujour dans le contexte cité, donc sans prestations pédagogiques bien sûr. Quoique, même la qualif n’aurait pas besoin d’être, tout au plus utile comme argument marketing.
Évidemment que cela sous-entend déclarations URSAFF et touti quanti…

Faut croire que le metier de guide/accompagnateur parapente n’existe pas formellement en France, donc pas plus non plus une réglementation formelle à propos et que vu que ce qui n’est pas formellement interdit est permis…
À la limite, on evitera d’utiliser le terme “guide” et on préférera celui “d’accompagnateur”. Guide etant à priori une profession plus encadrée qu’accompagnateur et qu’importe si c’est suivi de tourisme ou autres.

Du coup, j’en viens à me demander si l’ami Marcantuss n’est pas à la recherche d’une reconversion…

:mrgreen:

Par exemple une reponse “ministérielle” pour la pratique équestre (qu’en est-il pour le vol libre ?) ;

Réponse du ministère : Jeunesse et sports
publiée dans le JO Sénat du 29/07/1993 - page 1283

Réponse. - La loi n° 92-652 du 13 juillet 1992, dans son article 24, a modifié l’article 43 de la loi n° 84-610 du 16 juillet 1984 relative à l’organisation et à la promotion des activités physiques et sportives. Cette dernière instituait une obligation de détenir un diplôme délivré par l’Etat pour enseigner contre rémunération les activités physiques et sportives. Les établissements équestres dont l’encadrement n’était pas assuré par des moniteurs diplômés d’Etat, si leur activité dépassait le seul accompagnement de cavaliers déjà confirmés, n’étaient donc pas, pour certains d’entre eux, en parfaite régularité au regard des dispositions de la loi de 1984 précitée, qu’il faut d’ailleurs rapprocher de celles de la loi du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature dont découlent les dispositions du décret du 30 juillet 1979 sur les établissements ouverts au public pour l’utilisation d’équidés. Une réflexion est en cours sur l’ensemble du problème des normes d’encadrement des différents types d’établissements équestres. La modification intervenue en 1992 a porté sur trois points principaux : elle a expressément étendu le champ de l’obligation de diplôme à toutes les activités d’encadrement des activités physiques et sportives, ce qui inclut maintenant clairement les fonctions d’accompagnateurs, qu’il s’agisse de randonnées équestres, de moyenne montagne ou de plongée sous-marine ; elle ne réserve plus, en contrepartie, l’exercice de ces métiers aux seuls diplômés d’Etat puisqu’elle ouvre la possibilité de reconnaître des diplômes délivrés notamment par des fédérations sportives ; elle substitue à une répression pénale une répression administrative sous la forme de sanctions administratives prononcées, en application de l’article 48-1 de cette même loi, par le ministre chargé des sports après avis d’une commission comprenant notamment des représentants des professionnels. Le décret d’application prévu à l’article 47-1 de la loi du 16 juillet 1984 n’est pas encore paru et il ne pourra vraisemblablement pas entrer pleinement en application pour la mi-juillet de cette année. Compte tenu de ce retard, le ministère de la jeunesse et des sports a décidé d’adopter à l’égard des personnes en cause une attitude bienveillante jusqu’à ce que la commission prévue ait été en mesure de faire connaître son avis. Ceci aboutit à prolonger, pour une période limitée et hors le cas où le maintien en activité représenterait un risque pour les usagers, la tolérance dont ils avaient bénéficié. Il n’en reste pas moins que le problème de l’encadrement des activités équestres et de la régularisation des situations existantes est posé et qu’il est dans l’intention tant du ministère de la jeunesse et des sports que de celui de l’agriculture (service des haras) de clarifier cette situation. Pour cela : dès sa mise en place, au plus tard, au mois de septembre prochain, la commission prévue à l’article 43 de la loi du 16 juillet 1984 sera saisie des demandes d’homologation de diplômes fédéraux ; à cette même date, la commission prévue à l’article 43-1 sera saisie des demandes d’autorisation d’exercice de ceux qui se trouvent maintenant soumis à l’obligation de diplôme ; avant la fin de l’année, les ministères des sports et de l’agriculture soumettront aux partenaires institutionnels un projet d’arrêté clarifiant la classification des centres équestres et les types de diplômes exigés pour l’encadrement de chacun d’eux.

:jump: Merci premièrement pour toute ces réponses;(j’avais un problème d’ordinateur et ne pouvais y accéder).

Effectivement j’ai fait une erreur de langage, je souhaitais plus parler de tous les professionnels du secteur qui encadrent des vols (moniteur et BE).

Merci Wowo et lassalle pour ces précisions de langage, ahaha et non pas de reconversion. :wink:
Oui donc ce que je cherche comme information sont bien toujours les mêmes.

Nombre de Be/moniteurs de parapente sur votre secteur géographique?
Le pourcentage de professionnel qui enseigne la pratique du parapente entre autre et qui sont indépendant?
Et quel est la marge d’une entreprise sur un cours de vol effectué par un Be ou moniteurs (en dehors salaire et frais matériel, …°?
Merci encore pour vos réponses très appréciés. Vous pouvez aussi m’écrire en MP. :bravo:

Ps: Lasalle je ne pense pas massacrer la langue française, je fais des erreurs mais "massacrer quand même. J’essayerai de faire plus attention mais écrire en français lorsque 'on parle pour très longtemps en espagnol n’est pas toujours des plus faciles.

Bonjour,

Toutes mes excuses pour le mot “massacrer” que je n’aurais évidemment pas dû employer.
Je le regrette et je suis désolé…

:trinq:

Marc Lassalle (avec deux “s” !).