voler en parapente : une drogue douce

un article succinct parmi tant d’autres par rapport à l’addiction au sport, la dépendance psychologique m’intéresse plus particuliérement car je pense que le cerveau va rechercher lors des périodes de non vol, l’adrénaline secrétée suite à un stress en vol ou l’endorphine secrétée du fait de l’excitation quand on vole et procure la sensation de bien être

les conséquences sont intéressantes également

en tout cas, on a beau dire, l’endorphine est aussi libérée lors de l’orgasme mais la sensation de bien être est cependant radicalement différente de ce que l’on peut ressentir en vol ou aprés le vol, il y a donc bien quelque chose de plus que recherche le cerveau quand on ne vole pas, recherche t il cette bulle dans laquelle on se trouve, cette communion avec la nature, en tout cas peu importe car qu’est ce qu’on se sent vivant au final

http://www.ac-reims.fr/editice/images/stories/lettres_hg_lp/STS/BTS_Sport_Bigorexie__le_sport_cre_des_junkies.pdf

j’imagine meme pas alors faire un double sensuel voir erotique en parapente.a l’arrivée tu reste au sol en overdose :bu:
:dent: karma+

Très intéressant ton article Yeager, je m’y retrouve étrangement.
Cela dit, plutôt que de penser que c’est le sport qui génère une dépendance, je croirais plus facilement que c’est notre façon d’être dans la vie modulé par notre environnement etc… qui nous amène aux dépendances sportives (ou autres).
En gros, je pense qu’il faut être un peu “dérangé” quelque part pour développer une dépendance sportive; et non l’inverse… (même si une fois que la poule a fait l’oeuf, l’oeuf fait à son tour la poule ;))

entierement d’accord avec toi flaille :trinq:

Tiens, ça me rappelle ce que j’écrivais y’a pas si longtemps dans un autre fil :

http://www.parapentiste.info/forum/autres-discussions/vous-etes-prets-a-aller-jusquou-pour-voler-plus-t14296.0.html;msg207389#msg207389

Intéressante étude en tout cas…

pour avoir fait de l’ultra trail et faire encore du trail( pas plus de 50 bornes maintenant) et donc du parapente et une vie de couple … chaque domene a son plus et son moins !! :lol: ce qui est sur c’est que les 3 sont addictifs car il font du “bien” par contre attention au i dans le mot vol… ca fait sourire de relire le post initial avec ce i au mot vol .
je sais c’est nul :sors:
il faut essayer de se dire que la famille est un équilibre qui permet de trouver un plaisir dans les sports comme les notres et que se detendre,se dire que a tel ou tel moment c’est famille et que demain c’est parapente , meme si c’est tres tres dur :smiley:

Bonjour, je relance ce post pour savoir si quelqu’un possède un mémoire, articles ou lecture par rapport à ce que j’ai écrit plus haut : "l’addiction au sport, la dépendance psychologique m’intéresse plus particulièrement car je pense que le cerveau va rechercher lors des périodes de non vol, l’adrénaline secrétée suite à un stress en vol ou l’endorphine secrétée du fait de l’excitation quand on vole et procure la sensation de bien être

les conséquences sont intéressantes également

en tout cas, on a beau dire, l’endorphine est aussi libérée lors de l’orgasme mais la sensation de bien être est cependant radicalement différente de ce que l’on peut ressentir en vol ou après le vol, il y a donc bien quelque chose de plus que recherche le cerveau quand on ne vole pas, recherche t il cette bulle dans laquelle on se trouve, cette communion avec la nature, en tout cas peu importe car qu’est ce qu’on se sent vivant au final"

merci d’avance :trinq:

Dans l’action (quelqu’elle soit) , l’Homme se sent vivant.
Et amha, c’est bien l’action qui amène une decharge d’hormone et c’est ce “fix” d’adrénaline coupé à l’endomorphine (ou l’inverse) qui fait qu’on devient addict.
la différence vient ensuite surement du dosage entre les 2 et de l’etat de receptivité de nos chères cellules grises !
Ce mécanisme est à mon sens un peu différent des addictions “extérieures” : drogues, jeu, bouffe, où là ce sont les circuits de la récompense qui sont sollicités.

Yeager, j’avais zappé ce post très intéressant ! Es-tu entrain de parler de bigorexie ? Le sport procure des sensations que le cerveau (et le corps) ne trouvent pas ailleurs. Adrénaline, sensations fortes. Cela d’autant plus que l’on a des activités sédentaires ou pas physiques. On compense… Un vide émotionnel, sentimental, social… Les fractures sont multiples et les remèdes innombrables ! Le sport en est un et pour certains cela ne suffit pas. Il faut également la compétition…

:bu: :bu: :bu: Mooi je suis completement droguéééééééééééééééééééééééééééééééééé :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent: :dent:

un article très intéressant au passage

http://www.auguste-piccard.ch/pages/TM-PDF/TM2011/TM2011Sannicandro.pdf

Un autre ici également : http://m.rue89.com/#/news/226393

merci m@tthieu mais c’est celui que j’ai mis au début de l’article :mrgreen: :trinq:

:mrgreen: Merdouille je fatigue… Je suis désolé, je vais me recoucher… :dodo: