Et allez, une cargaison de messages pour ne pas répondre à la question !
Et pourquoi ? Pour éviter de dire "je ne sais pas ", c’est ça ?
Quand même, la question de départ c’est ça :
Bon, moi non plus je ne sais pas. Mais j’essaie quelque chose… On a un début de tentative d’explication pertinente ici :
Je tente une explication, fermeture à 50% bien profonde = plus du tout de portance sur la moitié de l’envergure, un peu de trainée, élévateurs ne supportant plus le poids du côté fermé, engagement du poids du pilote du côté qui tombe, surcharge de la partie ouverte, tout ce qui concourt à une mise en roulis et une accélération violente, d’où autorotation.
Décrochage de la demi aile intérieure, il reste de la portance (le bord de fuite forme un simili bord d’attaque et la demi aile a tendance à voler vers l’arrière), le pilote ne s’écroule pas dans la sellette et n’entraine pas d’attaque en roulis, la partie de l’aile qui part vers l’arrière a tendance à initier une rotation majoritairement sur le lacet, d’où vrille (dite à plat).
Comment on en sort ? Houlàlà !!! C’est trèèèss difficile. Le départ en vrille est arrivé à bien des gloglos moyens en voulant serrer du petit thermique péteux et ils sont tous morts tellement c’est compliqué d’en sortir… Alors voilà, faut relever les deux mains ! On comprend qu’un geste pareil doit être répété des milliers de fois en milieu sécurisé… D’ailleurs avant la généralisation des SIV, c’était l’hécatombe en vrille à plat… Et heureusement maintenant plus personne n’impacte sur vrille…
Enfin bref, si la vrille est développée sur moins d’un tour, la sortie est étonnamment douce avec une abattée faible. Oui même avec un gun (touche pas à leur) !
Et si on a déjà fait plus d’un tour ? Ben c’est de la manœuvre volontaire, tu fais de l’acro, t’as pas besoin de moi.
Après, y’a toujours le cas de figure du gonze qui relève les mains face au relief… :roll:
…Hem… je ne suis pas certaine que Windsurfer va considérer que ce post fait regagner au forum en qualité…