1er Championnat de France de précision d'atterrissage

Oups !
Merci pour la rectification !
Je ne participe pas à la CFD et je croyais (à tort !) qu’il fallait simplement être licencié.
Je ne savais pas qu’il fallait aussi être breveté. :pouce:
Les validateurs de la CFD vérifient-ils pour chaque déclaration que le pilote est bien breveté ?

J’écris parfois un peu trop vite et il m’arrive de me tromper !
Ce n’est pas la première fois…

Désolé !

:trinq:

Marc

Si le système est bien pensé, amha, c’est plutôt le site qui ne donne l’accès aux formulaires de déclaration qu’aux titulaires du bp.

Salut Frigo !

Puisque tu es validateur de la CFD, as-tu une réponse sur ce point du règlement ?
Ceci étant, si des pilotes non brevetés déclaraient des vols à la CFD, cela poserait-il vraiment problème ?
Je connais des pilotes qui n’ont jamais passé leur brevet et qui réalisent des vols de plus de 100 km.
En principe ils ne peuvent donc pas déclarer leurs vols à la CFD ?
Je suis surpris par ce point du règlement (mais il n’est peut-être pas vraiment appliqué ?).
Cela est en fait assez secondaire…

Et on est vraiment hors-sujet de ce fil de discussion.

:sors:

:trinq:

Marc

Marc, ton discours m’étonne, la fédé fait tout pour inciter les pilotes à se breveter, la CFD est un levier efficace, combien de fois j’ai entendu ‘à merde, il va falloir que je passe le brevet pour pouvoir déclarer ma trace’, de même que la CFD est un formidable outils pour respecter les règles de vol à vue.
Ton pilote à 100 bornes est passé au travers des mailles du filet ‘VAE’ de l’opération “Brevets 2015” de la fédé.


Opération brevets 2015
L’objectif de l’opération « brevets 2015 » est d’inciter et aider les pratiquants, les clubs et les écoles à s’engager dans une démarche collective d’accès ou de validation des brevets,
pour les anciens comme pour les nouveaux pilotes de vol libre, et de valider en nombre mais sans concession, l’expérience de nos pilotes.

Autoriser une personne à participer à une quelconque manifestation/compétition/rencontre/amical aérienne sans validation par un tiers qu’elle est autonome est pour moi une aberration (dans le cadre fédéral ou pas).

Salut,

Sur le fond tu as bien sûr raison.
J’ai toujours incité les pilotes non brevetés que je connais à passer leur brevet.
Et cela est rappelé lors de l’AG annuelle de notre club.
J’ai cité le cas de cet ami pilote, mais je ne soutiens pas le fait qu’il ne soit pas breveté pour autant !
Par contre il est vrai que je ne connaissais pas le règlement de la CFD à ce sujet.
Mon message était sans doute mal rédigé ; je n’encourage en aucun cas à voler sans brevet, mais je croyais cela possible pour la CFD.
Ce que j’ai écrit était effectivement maladroit dans la façon dont je l’ai formulé…

:trinq:

Marc

Amha, le BP serait suffisant pour les compétitions type précision d’atterrissage et acro.

Bonsoir,

Le BPC (et non pas le BP) pour les compétitions officielles d’acro, cela me semble vraiment justifié !

Je comprends bien pour le reste, mais cela imposerait de mettre en place plusieurs licences “compétiteur” différentes : distance, voltige, précision d’atterrissage (ce sera une 1°), vol et ski (ce sera aussi une 1° pour un Championnat de France)…

Si ces nouvelles disciplines, qui vont faire pour la 1° fois l’objet d’un titre de “Champion(ne) de France”, se développent dans l’avenir, pourquoi pas ? Il sera alors temps de le proposer à la fédération.
Pour le moment celle-ci s’appuie sur la licence compétiteur existante (donc avec le BPC) pour pouvoir prétendre à un titre officiel de “Champion(ne) de France”, quel que soit le type d’épreuve.

Marc

Marc, là tu dis ça sans connaitre le fonctionnement d’une compétition acro. Autant en compet cross l’organisateur a besoin du bpc pour s’assurer que les pilotes qu’il envoit en l’air en plein aprem de printemps-été aient bien un minimum de niveau, autant en compet acro, pour les pilotes n’ayant jamais fait de compet et/ou non connus de l’orga, on les envoie sur un “safety run” avec 2~3 figures de base imposées en début de compet pour qu’ils démontrent leur compétence à concourir. Nul donc besoin de bpc qui n’apporte strictement rien à l’orga comme aux compétiteurs (y’a pas d’acro au bpc) sur ce genre de compet.

Salut,

C’est bien possible !

Mais il y a déjà pas mal d’options diverses et variées concernant les licences fédérales (de base et optionnelles) : licence de base, licence compétiteur, licence biplace, journées découverte, IA de différents niveaux, assurance matériel…

Si la licence compétiteur actuelle ne correspond pas (ce qui est possible) aux besoins de certains pilotes et/ou épreuves et s’il serait pertinent de la scinder en plusieurs sous-variantes, il faudrait que cette demande soit remontée et argumentée auprès de la commission “compétition” à laquelle je n’appartiens évidemment pas puisque je n’en fais pas.

Je rappelle que je ne suis pas sur ce forum en tant que représentant de la fédération, mais uniquement à titre personnel.
Lorsqu’il est nécessaire ou utile de demander des infos précises à la fédération sur un point qui relève de mes compétences, j’accepte de le faire pour rendre service.
Dans la mesure du possible j’informe également le forum d’informations en provenance de la fédération.

Mais je ne suis en aucun cas le représentant de la fédération au niveau de ce forum, ni l’intermédiaire mandaté entre celui-ci et la fédération :pouce:

Si la licence “compétiteur” actuelle (qui impose le BPC) ne convient pas dans certains cas, il faut faire remonter cette demande à la commission compétition, mais ce n’est pas mon rôle de le faire ! :pouce:

:trinq:

Marc

Il existe déjà un BPC spécifique speedriding qui permet de participer aux compétitions de speed.

Après si il faut multiplier les brevets pour chaque discipline spécifique, on va à l’encontre de la simplification de l’accès aux compétitions !

La question qui se pose, est : pourquoi un pilote qui envisage la competition parapente sous une forme ou une autre mais dans le cadre fédéral de la FFVL, pourquoi ce pilote serait réticent à se former jusqu’au niveau de competences générales demandé par l’instance organisatrice et responsable des événements sportifs.
Il me semble que depuis toujours et pour toutes les compétitions dans tous les sports ; ce ne sont pas competiteurs mais bien les organisateurs qui edictent les règles, libre aux sportif de participer à ces compétitions en suivant ces règles ou de s’abstenir.
Ah si, il existe une troisième option ; organiser soi même… pour soi même ?

Dans quasi tous les sports les règles sont édictées avec des sportifs ou d’anciens sportifs.

Dans le cas présent, à partir du moment où le BPC est le sésame d’accès aux compétitions officielles, il n’y a aucune raison de changer, même si c’est pour un type d’épreuves qui me semble aussi intéressante que les fléchettes.

Fabrice t’as pas l’esprit para! Je me souviens de mes premiers stages à la FFP en 87, l’important c’était de faire la cible, le vol rien à foutre, ça servait juste à se positionner pour la cible…
sinon dans leurs compets on peut ressortir une 7 caissons? c’est quand même vachement plus adapté que les ailes modernes, les concepteurs ont perdu de vue la raison d’être du parapente: faire la cible!
ROTFL

Une grosse part de l’inhibition du BPC pour les bons pilotes expérimentés est la tartine de réglementation aérienne qu’il faut se coltiner pour passer le théorique.
Cette partie-là est indispensable pour du vol de distance, complètement hors-sujet pour l’acro ou les concours de précision.

M’en fous, je l’ai (volé) le BPC. Et j’ai oublié presqu’aussitôt une bonne part des nomenclatures de zones aériennes etc, que j’avais bachottées pour l’occasion. Et je ne fais pas de compète.

N’empêche, c’est quand même peut-être pas une mauvaise idée, non ?
Concept simple, pas trop contraignant à organiser, permet de mettre en l’air s’il ne pleut pas plein de parapentes colorés dans un ciel de Novembre, tout en visuel pour le public, permet aussi de voir différentes techniques qui peuvent être assez pointues, etc. S’il y a un peu de soleil et des températures pas trop froides, ça fait un évènement parapente sympa à une époque creuse de l’année.

Ça ne vous plait pas?

Si tu demandes un avis perso, voici le mien.

Le challenge amical de Prevol, le même week-end, sera plus ludique et aura le même effet visuel pour l’éventuel public. Je dis éventuel, car je doute que beaucoup de spectateurs se déplacent pour voir des parapentes poser en vol droit.

Je ne comprends pas trop le concept de précision d’atterrissage (surtout en compétition). Pour moi, tout pilote digne de ce nom doit pouvoir poser dans un cercle de 4-5 mètres de rayon, à tous les coups ou presque. Est-ce que ça a vraiment du sens ou de l’intérêt de faire une bataille de précision à quelques décimètres ou centimètres près? Et uniquement ça, pour décerner un titre de champion de France…?

Mmmmhhhh…
C’est vrai à la réflexion que le challenge (et donc l’intérêt éventuel d’une forme de compétition) est plus significatif pour des pilotes comme moi, disons euh… “en progression”, qu’à un niveau qui justifie un titre de Champion de France (à ce niveau, j’imagine que le centimètre de précision tient beaucoup plus du coup de bol que de la compétence).

Ouahou, ça doit pas faire beaucoup de pilotes dignes de ce nom !
Et il semblerait que sur les épreuves de précision d’atterrissage, le cercle de base fasse 2 mètres de diamètre comme on le voit dans cette vidéo. Je trouve ça déjà très balaise.
http://www.youtube.com/watch?v=8Cc91F5DiZU

ils ont ca aussi en parachutisme… mais la cible est molletonnée… et les entrainement c’est carrément sur un gros matelas

Norbert

Tiens, une vidéo plus parlante :
http://www.youtube.com/watch?v=mpFsxO8tV0Q
Je trouve ça sympa que des parapentistes se retrouvent par un temps où personnellement je resterais plus volontiers au coin du feu à boire de l’Armagnac en attendant que le demi-sanglier finisse de rôtir, pour faire des choses toutes simples qu’on peut faire avec un parapente.

Je ne suis pas certain que tous ces gens se déplaceraient s’il n’y avait pas une notion de compétition (bien que je puisse le déplorer) avec classement, podium et titre.
Sur plusieurs manches et essais, c’est comme toujours les “meilleurs” qui sont devant et le coup de chance ne joue quasiment pas. Pour ceux qui concourent pour les titres, comme en effet en vol à ski, entrainement et compétences sont au menu.

La vitrine commerciale afférente :
http://vimeo.com/138663140