je sais bien . je prefere cela a cela :bang: !
mais il y a trop d’avis different et d’idées pour arriver a quelque chose donc j’ai fait un pti’t coup de la loi godwin pour juste voir les rections ! … pas de soucis surtout que ce sport m’attire de plus en plus et que je paratique a st hil aussi ,donc ! pour moi passer vers les antennes est aussi sympa et moins risquer pour nous !
a moins qu’ils ont une radio avec un gars sur la moquette … etc etc ! a+
j’ai lu beaucoup plus de que de :bang:
j’ai même lu beaucoup d’avis prêt à laisser des créneaux … mais j’ai aussi lu la non envie de jouer la quille humaine de slalom (une demande de respect de nos espaces vitaux)
je plussois… à partir ou tu mets deux “engins volants non identifiés” volant à des vitesses plus que différentes dans le même bac à sable , y a forcément un facteur risque important …
Une deuche au millieu d’un gp de F1… Oo , ou une voile de speed fly volant à Planfait un 14 juillet,à 13 h …hum j’ose même pas imaginer …
La liberté des uns commencent ou s’arrêtent celle des autres …et c’est bien là la problème …
Une 2cv au milieu d’un circuit F1 ne présenterait pas plus de risque qu’une chicane à négocier.
Quand il y a des différences de vitesse très importantes et comme certains l’ont souligné, cela crée un sujet “immobile” qui s’intègre aux éléments qui constituent le paysage. Encore faut-il le remarquer.
Aussi, c’est à vérifier mais il me semble que plus on va vite par rapport aux autres, plus les probabilités de collision sont réduites.
Mais je ne vous incite pas non plus à faire un remake de la folle course dans Paris par Claude Lelouch dans “C’était un rendez-vous”.
Plus on va vite et plus la désintégration est importante (énergie cinétique je crois).
Plus on va vite en parapente et moins on profite du paysage.
Plus on va vite et moins on satisfait son partenaire.
Une maniabilité toute relative.
Le rayon de braquage est quand même énorme. Genre 1 km pour faire demi-tour.
Un saut en WS me fait plus penser au vol d’une fléchette qu’à celui d’un colibri.
Chaud les miches quand même. Venez pas faire les suppos dans le derche des parapentistes, satanés volants que vous êtes 8)
Content de vos retours. On espère vous lire plus souvent ici.
Et je dois dire que moi aussi, c’est une discipline qui m’a toujours attiré.
Une solution serait de mettre en place 1 ou 2 créneaux de passage de 5 minutes chacun.
Une liaison radio sur la fréquence FFVL entre l’équipe qui va sauter et un référent sur la moquette pour faire patienter les 5 ou 6 voiles en attente de gonflage,et redonner le feux vert au passage du dernier WS.
Imposer le poser à l’attero delta pour ne pas gêner les parapentes plus lents ,qui risquerait de perturber les élèves ou les bi.
Dans tout les cas une réunion de concertation devrait être organisée pour gérer tout ça calmement, pour le bonheur de tout le monde,avant que l’administration ne prenne l’affaire en main avec toutes les mesures coercitives qui la caractérise :bang:
Je vois ça de très loin de ma Moselle,avec une vision peut être déformée par l’éloignement,donc si les locaux avez d’autres suggestions pour faire avancer le schmilblic.
est-ce que je peux compléter par “tu vois ça très loin, vu d’un parapentiste qui ne pratique pas la WS” ?
je crois que le plus simple ça reste (resterait) que les WSteurs fassent la demande, l’expression de leur propre besoin avant qu’on ne leur fasse des propositions qui ne pourront démontrer qu’une chose : qu’on n’y connait rien
Je crois plutot que la demande (qui me semble assez legitime) provient de certains parapentistes qui n apprecient pas trop qu un gars deboule a 140 km/h a une distance qu ils ne jugent pas raisonnable …
Tout comme mon ami volhumain, je suis moi même pilote de WS, avec plusieurs centaines de vols à mon actif. Je voudrais apporter ma contribution à ce post. Tout d abord, il ne fait pas 1km pour faire demi tour, le “rayon de braquage” est bien plus réduit. on parlera plus en dizaines de metres. Bien emmenée, la WS est un outil maniable et précis. Il est très facile de s’éloigner, ou de passer à 2m, d’un objet quasi immobile. Nous le faisons régulièrement, avec des “balises” au courant de ce qui va arriver . Je suis d accord avec vous, si le gars sous la voile n’est pas prévenu, cela peut faire peur.
Il est aussi possible de sauter dans des conditions où seulement quelques téméraires décollerons en parapente, si pas trop d’air pour la mise en vol et le posé.
Du coté des pratiquants de la WS, concernant les vols sur les sites partagés avec des parapentes, il est fortement recommandé de ne pas tailler des shorts, même si cela est tentant. Une distance de sécu est à respecter de notre coté (quelques 10aines de mètres). Même chose pour les vols de proximité, nous devons garder de la marge et toujours avoir de la visibilité pour pouvoir anticiper une manoeuvre d’évitement. Pour les vols depuis la dent, les lignes de vols sont multiples. La ligne classique passe vers les antennes, mais cela peut passer à la moquette, la table d orientation, st Pancrasse, … Bref le plateau peut être franchi en WS à peut près partout entre la moquette et st Pancrasse, soit plusieurs km.
Pour les vols sur st Hil et la moquette, il sont en général faits tôt (avant 8h) ou en fn de journée, en gros lorsque qu’il n y a plus foule sur la ligne de vol. Lorsque c est possible un contact est présent sur la moquette. Je me charge de faire un rappel de tout ça aux pratiquants de WS. Je suis convaincu que nous pouvons continuer à cohabiter sur le plateau des petites roches, comme ailleurs.
J’ai employé le même système BTS MEMO que nous avons utilisé en 2006 et 2007 (pour documenter l’étude de l’instabilité spirale en parapente et de la voltige de Raul http://vimeo.com/user7406907/videos) pour évaluer une wing suit avec un para d’esai du CEV. C’est sur http://vimeo.com/40600069
Nous avions alors estimé le rayon mini de virage à… 450 mètres sous 2G <JP… t’es une bête!>!
Même si les choses on surement évolué depuis, ça reste très peu manœuvrant car le nombre de G encaissable par un corps cambré (essayez de vous placer en croix entre quatre chaises…) restera faible.
Mais peut être qu’avec un exosquelette… :twisted:
Notez aussi que le choc et la décélération encaissées à l’ouverture d’une aile de chute sont bien plus faibles que ce que l’on peut subir sur un gros vrac en parapente (16 à 18 G au niveau de l’aile) ou en 360 (où l’on s’expose à dépasser 5G sous certaines EN-B - Cf l’excellent… si, si… dossier du DHV paru en février dernier "EN-A and B safety check"http://www.dhv.de/web/en/safety/articles-statistics/ltf-a-and-b-class-saftey-check/ ) alors que l’aile de saut, avec son cône court et son lobe faible, monte très peu en charge
Merci aux baseux de considérer le problème avec sérieux et d’agir dans le sens de l’entente et de la cohabitation intelligente.
Au plaisir de se croiser (de pas trop prés quand même ) en l’air ou en montagne.
Je ne comprends pas la phrase ci-dessus.
J’ai compris que le base se pratiquait plutôt sans vent.
La phrase a l’air de dire que seuls des parapentistes chevronnés et téméraires pourraient voler en l’absence de vent au déco et/ou à l’atterro !
Mais cela est complètement faux : le vent un peu soutenu est notre 1° ennemi !
On peut très facilement décoller et atterrir en l’absence totale de vent et on n’est pas téméraires pour faire cela !
Bien sûr un peu de brise de face au déco et/ou à l’atterro est toujours agréable, mais nos voiles décollent et se posent sans vent sans aucun problème…
A moins que je n’aie pas bien compris la phrase ???
Pfuuuu… :floodstop:
Ben oui Marc tu n’a pas bien compris la phrase: Si “pas trop d’air” voulait simplement dire qu’il n’y est pas “trop de vent pour mise en vol de nos WS”…
Je me permet une remarque: Ne vous méprenez pas, la plus part des baseux sont des parapentistes ou l’on été à un moment donné: Ce qui signifie que nous intégrons pour la plus part trés trés bien ce que represente vos trajectoires et espace de vol ainsi que les notres. Ce que nous pouvons nous permettre ou non…
Ne le prends pas mal, mais essayes d’entendre ça: on se fiche que vous vous sentiez parfaitement à l’aise en nous rasant les moustaches, on essaie de vous dire que nous ça nous fiche la trouille.
C’est un peu comme le gars en moto qui slalome à toute blinde au milieu d’un marché en gueulant aux passants “vous inquiétez pas, j’assure”; ou le propriétaire du chien qui te beugle dessus en montrant les crocs “vous inquiétez pas, il est pas méchant” (peut-être, peut-être pas, mais moi en tous cas je suis trouillard).
Ma peur est peut-être irraisonnée, mais elle est réelle (enfin non, honnêtement, elle est hypothétiquement réelle, n’ayant jamais eu l’honneur et l’avantage de croiser la route d’un WS). En parler avec vous peut peut-être commencer à me rassurer si vous me convainquez que vous avez un parfait contrôle.
En même temps, on en parle justement à l’occasion d’une perte de contrôle dramatique, donc la crédibilité du “zinquiétez pas, on assure”, elle en prend un coup.