Pour moi ,toujours du même sens comme ça je m’embrouille pas!!! :grat: et même parfois de dos voile comme à l’école quand j’étais un poussin ( bon je le suis encore un peu)…
Par contre ce qui me fait rire ,c’est les gars qui veulent a tout prix décoller face voile quand il y a pas un brin de vent et qui squattent les decos… sous pretexte que décoller dos voile ça fais debutan :bang: …
Ceci dit… chacun son truc!!!
Man’s…pour le treuil en dévidoir je ne pense pas que cela change beaucoup par rapport au treuil fixe , cependant en fixe il m’est arrivé de “grogner” quand certains pilotes demandais de décoller face voile , car ces derniers le faisaient d’une manière pas très assurée et il fallait recommencer plusieurs fois…redonner du mou ensuite re tension du câble ou non suivant les personnes , c’est le résultat du manque de pratique au treuil …évidement en face voile , les habitués ne mettent pas trop de temps à le faire Mais…, pourquoi je n’aime pas le face voile pour treuiller les pilotes : en principe il y a du monde quand il y a séance de treuiller et c’est souvent le Samedi et le Dimanche début d’après midi ou les “bulles” risquent de ce manifestés…ou rue de nuages donc tous le monde est en “B.tes…à c.l…”…de plus comme pour le dévidoir il y a un “STARTER” donc pas de souci pour savoir ou en est sa voile , quand le pilote est OK le"Starter" s’adresse au treuilleur (radio): pilote OK la tension commence et le pilote se met à courir comme sur un déco l’aile monte sur sa tête il lâche les commandes et le “STARTER” par radio communique au treuilleur mais aussi au pilote qui écoute “elle est belle …décollage décollage” si il y a un léger souci le “STATER” gueule STOP… c’est très simple et facile , donc dos voile nous gagnons du temps pour tous le monde… bien sur ceci n’est que mon avis pour le treuil fixe . Cordialement . Pierrot capt . :banane:
Selon l’orientation du vent par rapport a la pente, je me retourne dans un sens ou dans l’autre.
Mais à 98% dans le sens habituel, afin de ne pas faire de noeuds ;o)
Pour changer de sens par vent latéral, il faut je me mette le chgt de sens dans le crane avant de gonfler…
Oui à mes tout débuts. Un jour je me suis planté de sens -> twist -> retour à la pente -> impact -> petit bobo
ça m’a bien servi de leçon ! depuis je “vérifie” systématiquement mon sens de retournement !
Pour répondre à la question “à quoi ça sert de changer de sens de retournement ?”, je répondrais “à rien !”. Tout comme voler d’ailleurs, ou faire des décros, ou même vivre, ça sert à rien non plus :mrgreen:
Mais je ne vois pas non plus pourquoi tout faire du même côté. C’est de l’aisance, tout simplement, que d’être opérationnel et à l’aise dans toutes les situations et dans tous les sens.
Pourquoi tu t’etales face au vent ? Moi je reste debout… :mdr:
Plus serieux, tj du meme sens car on est tous plus à l’aise pour tourner dans 1 sens que dans l’autre. En ski, à velo et même en thermique ( autre débat…) “gouffy ou regular” du parapente ?
:forum:
je pense que c’est une sécurité de plus, le jour où mauvaise prévole, un truc qui … sur und éco chaud, tu as une corde de plus à ton arc
[quote=“Man’s link=topic=33230.msg424812#msg424812 date=1389964446][quote author=Willow16,post:11,topic:49189”]
toujours meme sens, mais je me force par contre a faire beaucoup de dos voile quand le vent est pas trop fort, juste pour le jour ou je reviendrais au treuil (P*** ca me manque ce treuil avec les potes :? )
[/quote]
Pourquoi ? Ca décolle très bien face voile en treuil !
[/quote] aussi (en treuil fixe)
Pareil que Mathieu, l’argumentation du “plus expérimenté” m’avait étonnée parce que moi aussi je me disais que “toujours le même sens = sécurité”.
Et puis en fait comme je ne suis pas aussi à l’aise que certains quand le vent est soutenu, il m’est arrivé non pas de me tromper de côté mais de courir après ma voile pour me replacer dessous sans y parvenir parce que le sens de retournement n’était pas compatible avec la direction du vent travers soutenu du jour.
Donc en conclusion je me dis qu’il n’a pas tort le gaillard (et ça me fait mal de le reconnaitre ) et que je devrais savoir me tourner des deux côtés. Fô que j’y travaille.
Quand le vent est travers, et que, bien sur, la voile est étalée face au vent, on se retrouve travers à la pente, avec un angle. Dans un sens, l’angle pour se remettre face à la pente sera moins grand que dans l’autre sens. A vos crayons…
Toujours dans le même sens depuis la mésaventure d’un pote en bi : je lui prête ma sellette (une karver avec la poche secours), je n’ai jamais eu de souci avec mais lui tourne dans le sens inverse du mien au déco. Résultat il accroche la poignée de secours sur la sellette passager, gonfle et pendant la course il entend le secours tomber par terre, oups !
bin, ca dépend si l’on décolle face à la pente ou face au vent
Pour ma pomme, je décolle face au vent, quitte à craber dans la pente, donc ca reste un 180°
Toujours dans le même sens (à droite, aiguilles d’une montre, anti-trigonométrique, etc. comme vous le voulez) depuis mes début en face voile qui m’est venu tard (1er essai au 26èm vol, 2èm au 55èm, + fréquent à partir du 117èm, régulier dès que les conditions le permettent à partir du 147èm) Bref j’ai mis du temps pour maitriser le face voile, avantage je suis toujours encore de bien décoller en dos voile.
Pour en revenir au sujet, il me semble utile de savoir, sans se tromper, se tourner dans les deux sens une fois la voile gonflée et cela pour plusieurs raisons ;
Par vent de travers droit (dans mon cas) surtout sur un déco à forte pente ou avoir moins de rotation à faire peut être avantageux.
En biplace ou il serait bon de choisir le sens de rotation en fonction du coté ou se situe la poignée du secours pour éviter qu’elle soit tiré par le passager du fait de la position pré-retournement.
2-a) Le point 1) se vérifierait aussi en biplace bien qu’il se retrouverait en opposition du point 2)
Après une éventuelle luxation d’un genou par ex. (cheville aussi ?) Il est possible que se tourner dans un sens peut être plus facile qu’un autre. Mais le moment sera alors mal choisi pour s’exercer.
Les trois situations se sont déjà présenté à moi et depuis je me dis chaque début de saison que cette année je vais travailler les deux sens, puis … l’automatisme reprend toujours le dessus (le sens)
La seule fois ou je me suis retrouvé à décoller twisté, c’était sur un déco falaise par vent (assez) fort et (un peu) travers droit. Un peu arraché par une bouffe et une tempo un peu plus forte que souhaitable, un peu verrouillé par un moment d’hésitation et la brise de travers et déjà entrainé par l’envie de voler de mon aile. Possible que ce jour la, à ce moment la, avec ma même tempo et mon même moment d’hésitation le résultat aurait été le même, m’enfin…
… Savoir se tourner, sans se tromper, dans les deux sens serait quand même beau.
Euh… non ! Le stress qui est induit par la hantise de se tourner du mauvais coté (l’habituel dans cette supposition) me donne un tel mauvais ressenti que je préfère m’abstenir, c’est con, je sais. :canape:
Moi je suis bête et disciplinée et je fais comme on m’a appris et comme je n’ai cessé de perfectionner : je lève ma voile main droite avec les deux A centraux et j’ai les deux freins main gauche pour piloter sa montée. Quand c’est velu, je n’utilise pas les freins mais les C (sur une 4 lignes) ou les B( sur une 3 lignes). Retournement en tournant à droite, contrôle et hop !
J’ai par contre appris à pas mal de pilotes novices la technique du gonflage face voile (dont mon pote Pasdoué mais il n’a toujours pas compris) et à chaque fois je les fais gonfler de façon à tourner dans un sens, puis rebelote dans l’autre sens. Il y a toujours un sens qu’ils “sentent” mieux que l’autre et ce sera LE sens de retournement, dont il ne faudra jamais démordre.
On a déjà l’esprit assez occupé sur un décollage sans y ajouter une question oiseuse sur le sens de retournement. De même les militaires qui défilent attaquent toujours du pied gauche, sinon ce serait un vrai merdier.
J’ai observé que les droitiers ne tournent pas tous à droite ni les gauchers à gauche, ou le contraire. La latéralisation du gonflage face voile n’obéit pas aux mêmes règles que l’écriture, le tir au fusil ou le lancer des boules de pétanque.
En SIV par contre j’ai observé des choses étranges. Beaucoup de pilotes sont plus à l’aise d’un côté que de l’autre et ce n’est pas lié à leur latéralisation habituelle. J’écris de la main droite (et très facilement de la gauche sur un tableau) mais je tourne mieux à gauche, que ce soit sur des skis, en moto ou pour engager un virage dynamique en parapente. Je me suis toujours forcée en SIV à faire aussi des autorots et des 360 à droite parce que naturellement je les envoie à gauche. Salut et fraternité*
On a tous une latéralisation, c’est sûr. Mais je vois trop de pilotes qui se font décoller avec 2 tours de twist parce qu’ils sont surpris et qu’ils se retournent du mauvais côté.
Du coup quand je fais du gonflage avec nos jeunes pilotes, dès qu’ils arrivent à tenir la voile au dessus de leur tête, je leur propose un petit exercice: gonflage, tempo, contrôle, détwistage, contrôle, twist de l’autre côté, contrôle, détwistage, et rebelote!
Cela leur permet de ne pas enregistrer de côté pour se détwister, et de se laisser guider par leur sensations: la voile me demande de me retourner de tel côté, alors je suis. Et comme ça limite le côté préférentiel au gonflage, le jour où il faut décoller sur une pente bizarre il y a moins de soucis pour gonfler du côté où il sera facile de détwister.
karma+ Bonne idée que je m’en irai essayer dès mes 1er gonflage/travail au sol de l’année.
Dans l’anecdote ci-avant, j’ai décollé avec un 1/2 twist qui s’est déroulé tout seul et tout en douceur dès la sortie du déco et vu que c’était une falaise je me suis retrouvé tout de suite avec du gaz donc un peu de marge pour au cas où. Avec l’expérience de mes plus de 500 vols à l’époque cela ne m’a provoqué de montée d’adrénaline et donc peu de risque de sur-piloter dans un éventuel affolement. Mais… qui sait comment j’aurais réagi si cela m’était arrivé à mon 50èm ou… 5èm vol ?
Petite question pragmatique : partant du principe qu’on reste face à sa voile en face voile (évite un décalage des élévateurs) et qu’on détwiste voile au-dessus de la tête, quelle situation nécessiterait de tourner dans un sens plus que dans l’autre ?