Ca sert a quoi L1 ?

Re salut tous …

[quote]il est de bon ton en France de critiquer la fonction publique, c’est oublier un peu vite qu’en cas de catastrophe ce sont souvent les seuls sur qui on peut compter (inondations, tempetes camicules etc sans les pompiers, secouristes, medecins, infirmieres et autres services publics ont ferait comment ?) d’ailleurs c’est bien connu des qu’un malade coute trop cher ou que le risque devient trop grand il est transféré de la clinique vers l’hopital
Bon, c’est vrai que la bouffe n’y est pas térrible mais peut etre que c’est pas le plus important pour un hopital , non ?
[/quote]
J voudrais vous remercié tous pour vos messages de soutien …
Je tiens aussi a dire que j ai entièrement confiance en l’hôpital public … D’ailleurs j’embrasse mes deux petites kiné grenobloises …

[quote](j’ai dis sur un déco pas dans un arbre Tire la langue )
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Qaund a toi la Cel (Pas trop mal aux cheveux :slight_smile: ) je sais que t es bien souvent au dessus de moi en l’air … C’est pas la peine de m’humilié sur le forum lol …

J vois mon doc ce soir … J vous en dirais plus
++

Oui, fracture de L2 fin janvier 2011, ostéosynthèse avec broches et vis entre L1 et L3.
J’ai repris le boulot (enseignante) au bout de 2 mois et j’avais très peu de douleurs. Le neuro- chirurgien a été étonné du (bon) résultat de l’opération mais m’a interdit tout sport “engagé” (ski, parapente,vélo !!!..) pendant 15 mois.
J’ai pris un 2ème avis, il y 10 jours,donc 5 mois après l’opération, auprès d’un chirurgien orthopédiste spécialiste de la colonne vertébrale: il m’a trouvée en pleine forme, m’a assuré que je pouvais reprendre la gym, le jogging …et tous les sports que je voulais à partir du moment où ça ne m’occasionnait pas de gêne ou de souffrance et il m’a délivré un certificat médical autorisant la pratique du parapente. Même en rêve je ne l’espérait pas !!!
Le lendemain, je faisais mon premier petit vol et je continue en évitant encore les conditions trop musclées et les atterros trop encaissés (j’ai cassé L2 après un décrochage à 10m et une arrivée un peu violente sur mes deux pieds)

J’aurais voulu me faire enlever le matériel (j’avais lu les recommandations de la FFVL) mais le chirurgien m’a dit que, si c’était tout à fait possible, ça n’était pas utile car ça faisait une opération de plus et que les plaques n’occasionnaient aucun risque supplémentaire pour la pratique du sport.
Donc , tant qu’il n’y a aucune gêne, on garde !

Voilà, maintenant , mon prochain objectif, c’est la reprise du cross (mais je me méfie encore un peu des vaches hasardeuses).

:koi: mince j’étais pas au courant
:bisous: courage (quoi que c’est déjà trop tard … t’es trop forte svv :pouce: )

Concernant les plaque/vis…(entre L5/S1 chez moi)

Ce we j’ai pose un peu…comment dire pas accedemique. En decro, a plat dos. Grosse trouille mais pas de bobo…

Radio de controle quand meme et consultation direct par un neuro, qui me confirme que mes plaques n’ont pas bouge et que meme en cas de casse, vu que c’est vieux (15 ans) on n’enlevera pas forcement. On n’enlevera les plaque que si on est sur que ce sont elles qui generent de la douleur.

Donc je ne voit pas trop comment cela peu etre une contre indication, puisque visiblement maintenant elle ne servent plus a grand chose.

Faut juste se faire a l’idee qu’on a un peu de titane a l’interieur et qu’a partir d’un moment cela ne sert plus a grand chose…pas evident.

Je n’y connais strictement rien (aucune compétences en médecine, éventuellement un peu plus en résistance des matériaux, et un frère Kiné !), mais on m’a dit qu’en cas de casse, c’est pas terrible car le métal garde sa solidité, et c’est les os autour qui encaissent le choc et qui pètent en petits morceaux autour des plaques.
J’

[message un peu long]

Salut,

Je me permets d’intervenir sur ce fil, déjà un peu ancien.

Clairement, LeVautour pose très mal le Pb, et même de façon caricaturale.
Je pense pouvoir en parler, moi qui suis passé à la fois par la case “public” et par la case “privée”, durant la galère de 8 mois que j’ai fait en 2019, 2010 et 2011 réunis.

On sait tous qu’il y a des Pbs dans le public. Ce n’est pas un scoop.
Encore faut-il regarder de près par quels principes respectifs sont régentés le public et le privé.

En clinique privée, on fait du bénéf sur des actes médicaux et chirurgicaux simples et standard.
Par exemple, j’ai été prothésé de la hanche fin janvier à l’ex-clinique du sport qui est privée et qui ne fait pour ainsi dire que de la prothèse de la hanche, de la prothès du genous et de la ligamentoplastie du genoux.
Il font ça très bien, mais ils ne font que ça.

En ravanche, quand il t’arrive vraiment des bricoles graves qui nécessite l’intervention de kadors, ce n’est pas dans ce milieu-là que tu vas trouver la solution, LeVautour… Ne ne fais pas d’illusions !

Le jour où il t’arrivera un truc grave (ce que je ne te souhaite pas, évidemment, eh bin tu seras bien content d’atterrir à la Pitié Salpêtrière ou à Beaujon… même si c’est “public”.

Car ça n’est que là que tu pourras avoir à faire aux kaïds qui pourront t’opérer et résoudre ton cas.
Par exemple, moi, quand j’ai été rappatrié d’Af’Sud par avion sanitaire et sur cocon et qu’il a fallu me trouver une solution sur Paris, c’est au CHU Beaujon que j’ai atterri… car ce sont les meilleurs pours les fracas de colonne vertebrale, eux et à la Pitié-Salpête.
C’est pas dans une clinique “privée” qu’on aurait pu résoudre mon cas.
C’est d’ailleurs telllement vrai que même dans certains hopitaux publics comme à Cochin… il n’ont pas voulu de moi…

Le privé et le public ne répondent donc ni aux mêmes beoins, ni aux même logiques.

Dans le public, on résoud des Pbs médicaux qu’on ne résoud pas dans le privé et qu’on ne peut pas résoudre dans le privé. Et on n’est pas là pour faire ni du chiffre, ni du business.
La logique du “public” n’est donc pas une logique de rentabilité, de facto.
En + de ça, les CHU (pour ne parler que des établissements public où il y a le + de problèmes) manquent cruellement de moyens, notamment pour tout ce qui touche au personnel soignant hors chirurgiens et toubibs.

Ca aussi j’ai eu le “loisir” de le tester (…)
Dans ce sens-là, je comprends ce que tu veux dire, LeVautour : c’est vrai que l’accueil du patient (et non pas du “client”, comme tu dis) laisse à désiser.
On sait pourquoi : pénurie d’infirmières, pénurie d’aides soignantes, pénurie de matos (même pour des conneries), pénurie de tout ce qui touche au “collatéral”, càd au personnel + ou - para-médical (kinésis, diététiciens, etc…)

Toutes choses qu’on n’observe pas, certes, dans le “privé”, qui joue dans des niches “rentables”.
Quand je dis “rentables”, ça veut notamment dire des niches où il n’y a plus d’investissement en recherche à faire.
Par exemple, pour la prothèse de hanche : on a 35 ans de recul sur cette chirugie, elle est éprouvée, c’est clair qu’il n’y a plus aucune dépense de type “recherche” à amortir dans ce secteur-là.

A CONDITION, TOUTEFOIS, que le “client” (comme tu dis, LeVautour) puisse se le payer (ou qu’il ait la “mutuelle qui va bien” - ce qui revient au même.
Or ce n’est pas donné à tout le monde, ne prends pas ton cas pour une généralité, LeVautour…
===> là, on pose le sempiternel problème de la médecine dite “à 2 vitesses” !

Par exemple, quand je me fais poser une PTH à l’ex-clinique du sport : c’est aussi parce que j’ai les moyens de me payer les dépassements d’honoraire.
Si je n’avais pas pu, j’aurais poireauté 3 ou 4 mois de plus… et je serais probablement allé dans le “public”.
C’est aussi simple que ça.
Donc ça ne sert à rien de jeter la pierre au “public” comme tu le faisais là, LeVautour : c’est très superficiel, comme analyse…

Même si, c’est vrai… il y aussi des problèmes d’organisation dans le public qui, sur le long terme, pourraient être en partie au moins résolus, si l’on adoptait des politiques plus rationnelles, plus lucides et surtout… moins “de court terme”.
Et si l’on claquait moins de tune pour aller faire les cons en Lybie ou en Afghanistan (ou pour renflouer le secteur financier de la banque privée qui se met en faillite… en fait sur le dos du contribuable), bin c’est clair qu’on en aurait plus pour nos hopitaux publics… C’est aussi simple que ça.

En résumé : si je me fais opérer de la pendicite, je vais clairement dans une clinique privée. D’autant plus que j’ai les moyens de me la payer.
Mais si je me fracasse le crâne et que ça nécessite de la neurologie de pointe… bin c’est pas dans le “privé” que je vais pouvoir aller !
Je serai bien obligé d’aller dans le “public” et surtout je serai bien content d’avoir à faire aux kadors du “public”, pour ça…
Même si, en termes d’hébergement, je sais pertinnemment que je ne serai pas… à l’hotel !

D’ailleurs, il y a une chose symptomatique dans la façon dont tu en parles là, LeVautour : tu parles de “client” en parlant du privé…
… alors que dans le public, on ne parle que de “patients”. Toute la différence est là, en vérité !

J’espère bien avoir expliqué pourquoi le discours du Vautour était ici très réducteur et ne posait pas le problème comme il se doit.
J’en parle ici longuement car c’est un suejt qui me tient à coeur, étant donné ce qui m’est arrivé dernièrement.

a+
olm

Bon aller je me fais une réponse globale et détaillé à cette (petite) polémique… je comprend ce que tu dis et “l’angle” adopté mais je suis en désaccord sur une partie de tes arguments

Il est vrai que lorsque l’on vit prés d’une très grande ville, avec un CHU et avec un service en rapport avec le “problème” et que de plus le “Prof” est dispo ce jour là et que la cas l’intéresse, c’est là que l’on sera le mieux soigné… je te le concède !!! mais il me semble que c’est une petite minorité de cas…

Quant on ne réunis pas de telles conditions par contre le GRAND risque dans le public c’est que l’on est vu, et, pour commencer, soigné par des INTERNES, c’est à dire des DEBUTANTS… OUI il faut bien apprendre mais moi je préfère qu’ils apprennent sur les autres… et pour être tout à fais honnete je trouve parfaitement anormal et illogique que ce qui est urgent, les urgences, et donc nécessite un diagnostique rapide et de l’expérience, soit confié dans nos hôpitaux publics à ceux justement, qui sont les moins expérimentés.

J’ai à deux reprises dans ma vie eut des accidents (avant mon accident en parapente) qui ont nécessité des opérations… dans le public à chaque fois ça a été une cata à tous points de vue… je ne parlerai meme pas de “l’écoute”, du “confort”, de la “prise en compte de la douleur” mais juste du “médical”… à ces deux reprises j’ai du me faire transférer d’urgence dans des cliniques privées spécialisées qui ont du ré-opéré pour rattraper les conneries et pour l’un des accidents j’en ai encore des séquelles… une GRAVE erreur d’un interne qui a fait halluciner le chirurgien qui à du ré-ouvrir pour réparer (plainte classée sans suite bien évidement…)

LA SEULE FOIS ou les choses se sont bien passées dans le public c’est lors de l’accident de parapente ou l’interne de l’hosto (voir lien en fin d’article), presque en douce, m’as “glissé” que mon cas nécessitait des “vraies compétences” et qu’il préférait donc m’envoyer dans un service de pointe spécialisé en neurochir… dans le privé… et à dit ça en regardant par dessus son épaule… en douce… qques jours plus tard (dans un autre hôpital public CHG de la région) une femme tomberas dans un escaliers, se casseras elle aussi la L1… au bout des qques jours elle attérira dans le m^me service que moi, dans le privé à Toulouse… lésions irréversibles car soignée (transférée) trop tard…

Les “kadors” qui ne peuvent pas être “profs” vu le nombre limité de chaires dans le public SONT dans le privé… donc si tu tombe dans le public sur un prof ok c’est génial MAIS sinon tu pourra trouver aussi compétent dans le privé et tu pourras choisir… contrairement au public ou tu choisira juste de subir celui qui hériteras de ton cas… rien que sur Toulouse deux service de neurochir sont AU MINIMUM aussi réputés que celui du CHU et fut un temps le public envoyait dans l’un d’eux les opération de tumeurs profondes du cerveau (expérience douloureuse d’un TRES proche parent)…

J’ai de NOMBREUX exemple des conneries graves d’internes et d’amis qui ont du aller faire rattraper le coup dans le privé… et à compétences égales, au moins, on y est bien mieux traité…

c’est juste mon expérience mais, franchement, je connais tant et tant d’ami qui ont la meme que… etc…

ci-joint le dernier “exploit” de la “chose” qui porte le nom d’hôpital public dans la ville la plus proche de chez moi … les “exploit” de ce coup-gorge sont nombreux… les urgences du la grande clinique privée du secteur sont bien plus fréquentées depuis pas mal de temps et pas pour rien :

http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/12/1080157-Montauban-Seule-elle-accouche-elle-meme-a-l-hopital-son-bebe-meurt.html

mon expérience de motard tout cabossé (le parapentiste encore intact, ouf) ne peux qu’aller dans le même sens Levautour.

Bah beuh ben,
de mon coté (et y’a sans doute pas que moi) je connais plusieurs exemples qui ont été particulièrement baclés dans le privé.

Donc ?

donc…

TOUS DES CHARLATANS ! :canape:

comme pour les garagistes (dont le boulot n’est pas si éloigné que ça en fait :wink: )

ok, :sors:

moralité : tu n’as jamais travaillé dans un hôpital, sinon tu n’aurais pas cette vision de bisounours.

Heureusement que tu utilises “Caps Lock” pour donner du poids à ton argument infondé. Sans vouloir monter les gens les uns contre les autres (nos politiques le font très bien en ce moment), tu n’as jamais rencontré des chirs qui te poussaient à la conso ?

Ah c’est ça ? C’est franchement énervant ces visions partiales en parfaite méconnaissance des sujets : c’est là-dessus que s’appuie toute désinformation.

Non je n’ai jamais bosser dans un hôpital mais eut une seule fois (pas pour moi) eut affaire à un professeurs dans un grand CHU parisien… je donne juste MA vision basée sur mon expérience… c’est p’tet pas une vérité mais un ressenti appuyé sur cette expérience.

En quoi les exemples sont des arguments infondés?.. les pysiciens font avancer la science par l’expérimentation… Je ne veux monter personne contre personne… j’ai raconter un truc et l’agressivité (voir vers les début du fil) ne vient pas de moi mais de gens qui refuse que l’on ne soit pas de leur avis… c’est cela qui monte les gens les uns contre les autres… es tu statisticien de l’INSEE pour décréter que mes arguments sont infondés? tu te base sur quoi? tu prouve quoi en dehors de ton refus d’accepter le point de vue de autres?

A bon? mes amis et les exemples de ce qui leur est arrivé est de la désinformation? on m’as raconter n’importe quoi dans le cadre d’un complot contre les hôpitaux? et l’article de la dépêche est un mensonge du grand capital de la médecine privée? consternant… si je “méconnait” alors que toi “tu sais” partage donc avec nous ton grand savoir…

Théoriquement, les garagistes sont soumis à obligation de résultats. Pas les médecins.

Non, mais comme l’écrivait Alexander c’est une vision partiale.

La mienne que j’ai écrit quelques lignes plus haut l’est aussi (exemples qui me sont connus de cas foireux dans le privé) pour autant je me garderais bien d’en tirer une conclusion générale.

Partielle oui, évidement… mais en aucun cas partiale puisque inspirée du vécu réel, dont le miens, des erreurs et accidents subi du fait des internes …

oui, partielle, partiale, je me suis emmêlationné les crayons.

Encore heureux ! L’obligation de moyens semble évidente, autant les résultats… Quand tu vois certains patients qui doutent de ce que tu leur expliques parce qu’ils ont lu l’expérience de “georgette” sur doctissimo et qui, fort de cette expérience décident de ne prendre qu’une partie du traitement que tu leur recommandes. Forcément le résultat il ne dépend pas que de la bonne volonté de ton médecin !

Pour ce qui est du discours sur les internes, ça me désole forcément. Cela fait maintenant 6 ans que j’ai fini mon internat… Alors forcément entendre des généralisations ridicules sur des mecs qui bossent 80/90h par semaine pour 1400€ de salaire mensuel et font absolument tourner les services des hôpitaux… Si on enlève les internes et qu’on garde seulement les “Professeurs”, tu vas voir comme ils vont bien fonctionner les hôpitaux. Moi j’ai le souvenir de patients qui mourraient en pleine nuit dans leur chambre d’hôpital et qui seraient bien morts si je n’avais pas été le seul médecin debout à 4h du mat’ pour aller intervenir. Une chance que ça n’arrive jamais en clinique privée :roll: parce que le temps de joindre le médecin d’astreinte chez lui et que celui-ci vienne prêter main forte, on aurait des soucis… :roll:
Enfin bon, je pourrais continuer longtemps sur le thème. Le fait est qu’il y aura toujours des gars qui ont eu des mauvaises expériences, que ça soit en public, en privé, avec un grand professeur ou un petit interne… Et qu’est-ce qu’on peut tirer comme conclusion de ces expériences ?

Moi je serai toi LeVautour, j’irai faire un tour sur les forum de Doctissimo, tu te feras plein de nouveaux potes :mrgreen:

Cela je ne le conteste pas… ils bossent comme des dingues pour des salaires de merde et grâce à leur internat ils apprennent et deviennent de très bon médecins… ils mérite considération et respect pour tout ce qu’ils donnent… je dis juste que pour apprendre il faut aussi faire des erreurs et que je ne veux pas que l’on apprenne sur moi ou mes proches… ais-je tord???

Frigo, si la vie d’un de tes proche était en jeu et que tu avais le choix entre la “loterie” de l’interne de garde et le choix d’un spécialiste que tu choisi, très honnêtement tu ferais quoi???

Si on parle d’urgence vitale, j’aurai une totale confiance en l’interne de réanimation et son assistant de garde. Et globalement j’irai vraiment en hospitalier en 1er lieu, surtout pas en privé.

Si on parle d’urgence “relative”, ça dépendra entièrement de la ville dans laquelle je suis… Si je n’ai pas de pote sous la main, c’est sans la moindre arrière pensée que j’irais aux urgences du CH local pour me faire soigner (ce que j’ai fait dans quelques villes quand j’ai eu des pépins en bécane ou autre). Je n’habite plus dans la ville où sont mes parents, grands-parents… Mais quand ils ont un problème de santé, je les envoie au CHU local sans broncher.

Si on ne parle plus d’urgence, je demanderai aux médecins du coin quels confrères ils me recommandent, public ou privé, peu m’importe du moment que j’ai une recommandation d’un confrère.

Ok… mais pense-tu que j’ai tord de dire que les internes sont avant tout des “apprentis” (et ce n’est en aucun cas méprisant de ma part) et que donc si tu as le choix il vaut mieux voir qqun d’expérimenté?