Ben c’est clair quand meme, ya bien un moment ou on donne des plan de panneau unitaire…C’est quand meme pas bien compliqué, semble-t-il, d’avoir une idée assez précise de la surface global. Et le logiciel de conception ne doit pas changer grand chose dans la logique.
Ou alors c’est le découpeur et la couturiere qui se démerde pour faire son calcul de besoin en pieces détachées ??
Idem pour le calcul du prix de revient. 2m² de tissus, c’est pas la plus grosse partie, mais c’est pas neutre quand meme. Ou alors le tissus coute tellement peu, qu’on se moque de la quantité précise !
Il n’y a que dans le parapente que la surface à plat est la référence. Dans toutes les autres activités aéro on parle de surface alaire (= surface projetée). D’ailleurs la formule de portance se réfère à cette surface projetée.
La surface à plat c’est quoi pour vous ? on découd tous les caissons et on mesure le tissu ou on pose la voile au sol et on mesure la surface recouverte ?
Si vous voulez comparer 2 parapentes, comparez plutôt les données projetées, c’est peut-être ce qui sera le moins faussé.
Ce que vous n’arrivez pas a comprendre c’est que les deux valeurs sont exactes mais elle ne donne pas le même type de calcul de surface d’un PARAPENTE !
j’ai fais un petit dessin un peu reducteur d’un parapente mais si personne ne comprend…
imginez que vous avez un logiciel qui calcul la surface (parce qu’il est programmé comme ça !) en suivant le trait rouge et un autre le trait vert.
les logiciel dans les deux cas donneront une valeur juste mais elle ne representera pas la meme idée de la surface du parapente.
Et ça ne changera rien aux cotes de découpe envoyé au atelier de prod qui seront les mêmes pour les deux logiciel évidement.
c’est comme ça que je comprends la chose, mais peut etre que ça n’est pas le cas.
Oui, enfin pour la valeur projetée, y’a pas trop à tortiller sur ce que ça représente. Ça devrait être précis ou alors c’est que le logiciel est bien buggé…
Je pense que la personne qui doit choisir entre 2 ou 3 voiles souhaite avoir des retours de vols avec les impressions pour pouvoir se donner une idée
et pour le moment je ne lis pas grand chose
Alors à vos plumes pour comparer ( D3, S10, et autres " C " du moment.
Justement si, un parapente est une adition de plusieurs cellules.
Ces cellules sont plus ou moins étirées en fonction du poids mais aussi de la vitesse de la voile (bouts d’ailes qui ont plus de portance).
Un ballon de foot, si tu mets ton pieds dessus, il n’est plus rond mais ovale.
@ Limo. Si on prend ton exemple de ballon de foot ; la forme change, oui ; le volume change, oui ; mais la surface de cuir utilisé pour la fabrication de la sphère qui n’en est plus une, non je vois pas en quoi elle changerait. :grat:
Honnêtement vous arrivez vraiment à croire que le résultat du calcul de la même surface fait par 2 logiciels différents peut avoir 2 valeurs différentes et ceci sans que l’une des deux réponses ne soit définitivement fausse (ou avant ou maintenant)
De même, nos ordinateurs d’aujourd’hui n’arriveraient pas à exécuter un calcul integral que des lycéens en seconde seraient capable de faire ?
Si on était le 1er avril, je penserait à un poisson de la part d’Ozone.
Paraitrait qu’elle vole pas mal mais pas pareil en fonction de la surface :canape: et aussi en fonction du volume du ballon bien sûr et peut être aussi en fonction des mouches mais ça c’est moins sûr.
Si tu prends une lampe qui projette la surface du ballon au sol, tu aura une valeur V1.
Si tu déformes le ballon tu auras une autre forme projetée, donc une autre surface et donc valeur V2.
Pour ce qui est du logiciel utilisé par Ozone (et aussi les autres). La première version calculait les surfaces théoriques, sans tenir compte des déformations liées au poids de l’ensemble ni aux forces aérodynamiques.
Les logiciels plus récents tiennent compte des effets aérodynamiques.
L’un des plus importants d’entre eux est le ballooning.
C’est Bruce Goldsmith qui a été le premier à communiquer sur ce phénomène en mettant en avant son cord cut billow sur la Tala.
Ils sont vraiment très fort chez Ozone
Ils ont réussi la première aile à surface variable (pas de beaucoup, mais c’est la première)
des années qu’on en rêve