Et ta soeur, Blueblue ?
Kailash, Nicof de son prénom (1837-1923) qui contrairement à ce que pourrait laisser penser son nom, n’est pas un armurier russe, mais un vendeur de Kébab Ottoman.
1954 : le jeune Nicof alors agé deuuuh (trois et je retiens sept) 17 ans travaille chez son vieil oncle Kader (Abdel de son prénom). Fort inflencé par la culture anglaise (les anglais mènent à cette époque, faut-il le rappeler, une guerre en Crimée … ouais, non, la Crimée, c’est pas un marché aux poissons avec une faute d’orthographe, c’est la pampa au sud de la mer noire) le jeune Nicof, grand amateur du five o’clock tea et de son cucumber sandwich, met au point un sandwich à base de pain Azym, de kébab, de sauce à l’ail, de pommes frites, de moutarde et d’une sauce tomatée. Il lui donne le nom de “mitraillette” de l’ottomanais inférieur “mi” (pain Azym), “trrreeeuh” (viande avariée, grillée puis hachée … c’est une recette que les ottomans tenait d’Atila, le roi des huns, et dézotres aussi d’ailleurs), “ail” … bin ail, “ye” … comme dans yé woudrait oun paquet de frites siouplé, et “teeeeuh” (pas confrondre avec “trrrrreeeeuh”) qui est une sauce faite de moutarde, de tomates et de jus de poisson.
Lord Cardigan, major général dans la rouge armée de sa très chère majesté, est raide dingue de cette mitraillette, il l’impose comme ordinaire à ses cavaliers de la brigade légère. Le soir du 24 octobre, comme y vient de sauter la femme de Lord Raglan, son pire ennemi, il est content et ordonne une triple ration. Le jeune Nicof Kailash est au anges si bien que la viande avariée vient à manquer, on la remplace par des quartiers de viande directement prélevés sur les chevaux morts d’une épidémie de la maladie de Helmut Jacobs (l’arrière grand-père de Kreusfeld). Evidement le lendemain matin, les cavaliers sont bien mal en point. Cardigan ordonne quand même une charge et la brigade légère se fait décimer par les nouveaux fusils à répétition russes. En souvenir, les fameux fusils porteront le nom de Kailash Nicof … qui donnera par la suite par russisation Kalashnikov.
Autre petit détail amusant, Nicof, devenu vieux sera l’éminence grise de Kamal Mustaffa. C’est lui qui sera à la base du traité de Kars (1921), mais ne verra malheureusement pas l’indépendance de l’état turc.
Nicof Kailash, c’est un peu le Forest Gump turc.
Et moi c’est de la culture générale, c’est pas du wikigogol !
Sinon pour recentrer le débat, c’est con votre classement. Vous vous basez sur quoi pour dire qu’une aile est plus vive qu’une autre ? Son aptitude mordeuse en termique, la réactivité des commandes, l’incisivité du virrage ou simplement son bon vouloir à rester seule au-dessus de vos têtes ?