Comment vous est venu votre passion pour le parapente ?

Au début fut la Moto, à la différence de Nikita pour moi la piste se voyait plus en terre qu’en bitume (quoique !) Après les années d’initiation (14 ans, les Gauloises) :grrr: et autodidactes suivies des années compét :speedy: , retour à la raison et au tourisme.

Septembre de l’an de grâce 2000, C’est le dernier Bol-d’Or au Paul-Ricard. Le groupe de copains-motards que nous étions depuis 7 ans est en deuil de but-alibi pour notre grande sortie annuelle (~4000 Km en 10 jours avec Vosges, Jura, Alpes du N et du S, détour après course dans les Pyrénées pour un retour par le Massif central) La question se pose qu’allons-nous devenir, qu’allons-nous faire de tous ce temps maintenant que Bol-d’Or (au Castellet) tu n’est plus là ? :grat:

C’est là que je me souviens que mon frère qui nous retrouve chaque année, voire nous accompagne depuis sa Ht-Savoie d’adoption (professionnelle), fait du parapente à ses heures perdues depuis 1991. J’en parle aux copain et nous décidons que ce dernier Bol-d’Or dans le Sud va nous donner l’occasion de finir notre peut-être dernier périple par un stage initiation parapente (juste pour voir) :init:

Il s’est fait avec l’UCPA au Lachens, le stage fut nul mais la passion fut née.

Le reste c’est déjà vu raconté dans d’autre fil (présentation, etc. …) :floodstop:

Ah oui, sur les quatre mousquetaires du départ, nous sommes toujours encore quatre parapentiste à nous fréquenter au gré des décos, attéro voire sortie en commun. Même si le temps passant, nos philosophies de pratiques ont évolué et qu’il est de moins en moins fréquents de zéroter ensemble … mais c’est une autre histoire. :rando:

Ah oui (bis) mon frangin bien que revenu (professionnellement) dans sa Lorraine de naissance vole toujours et encore … à ses heures perdues. :init:

Qu’importe le parapente, pourvu qu’il y ai la passion, :forum:

pour moi,
ça devait etre en 1999 en vacances avec un copain (et ses parents) à Vallouise.
on a fait une balade et ses parents qui connaissaient le coin ont décidé de faire une pose à un endroit qui pour moi était juste une clairière ouverte sur le flan de la montagne
maintenant j’appelle ça un déco , bref deux personnes se sont ramenées dont avec un sac à dos énorme … ouvrage du sac, étalage du matos …" trop fort ils vont sauter" me dis-je, et après leurs décollage qui me parut une chose difficile à l’époque, je les regardais s’enfuir dans la vallée c’est la que j’ai compris que ce n’était pas un saut mais plutôt un vol

pendant des année je me suis dis que moi aussi un jour je ferrais un baptême en biplace et puis la peur et le manque d’opportunité m’ont fait attendre Mai 2008 pour découvrir le Lachens avec l’UCPA
je pensais faire un biplace toujours à la base mais le regretté Guy a su me rassurer

deuxieme stage fin Septembre et au retour, un ami de stage m’embarque dans l’aventure et voilà ça fait 4 ans que je vol et je n’ai toujours pas fais de Biplace (d’ailleurs si quelqu’un m’en propose un…j’dis pas non)

voilà c’est fini

Petit je rêvais que j’avais l’avion de Blériot avec des pédales, et à force de pédaler je décollais!! A 25 ans je fais un baptême en ULM pendulaire sur le siège avant avec rien autour de moi, et au décollage ce vieux rêve oublié me reviens en pleine tronche :ppte: voler la sensation est la même que dans ce rêve générique!!! Trop fort!
Il m’aura fallu attendre ma 43° année pour enfin voler de ma propre aile, mais quel bonheur!
Bon mon père était pilote de chasse et j’ai grandi toujours à proximité d’une base aérienne. C’est pt’être aussi dans les gènes que sais-je; toujours est-il que (vous l’aurez peut-être compris) je voulais voler depuis que je suis môme. Ahh le rêve d’Icare quel plaisir de s’y adonner. Bon allez j’en rajoute pas.

Le 13 août 1972 - cela ne rajeunira personne - je me cassais les genoux, les chevilles et la colonne vertébrale en descendant à toute pompe du refuge de Grandes Jorasses (j’avais fait la Walker la veille) et je fantasmais sur une voile qu’on déploierait au sommet pour redescendre en vol à Chamonix.
J’imaginais évidemment un parachute militaire (à l’époque c’était des corolles hémisphériques) mais cela n’allait pas, il fallait planer donc le profil devait être celui d’une aile d’avion… courbée évidemment… merde, me disais-je, il faut une structure gonflable mais extrapoler un matelas pneumatique de camping n’avait aucun avenir, le machin pesant un âne mort comme un delta.
J’imaginais aussi un delta pliant, mais là il y avait l’encombrement en sus du poids.
Cela m’occupait l’esprit, entre deux regards sur la grosse occlusion qui commençait à prendre l’arête de Peuterey, j’artillais pour avoir une chance d’arriver avant l’orage à la plateforme italienne du tunnel, pour faire du stop, avec une pensée pour Desmaison qui était en solo sur l’intégrale de Peuterey et qui allait se faire rincer avant moi… et une autre pour un couple d’amis qui avaient bivouaqué dans la Walker et qui devait maintenant être sortis.
De retour à Chamonix, j’avais pris un crayon pour dessiner ce que j’avais cogité mais cela ne valait rien, j’étais dans une impasse conceptuelle et j’avais repris ma moto pour aller travailler aux Arcs.

15 ans plus tard, j’ai vu des parapentes dans le ciel de Chamonix, mais j’avais arrêté la montagne pour cause d’un enfant à élever, l’envie de voler ne m’avait pas encore saisie (ou plutôt “saisi” vu que j’étais encore garçon).

C’est l’hiver 2007 que l’idée est venue, depuis le château médiéval de Peyrepertuse dans les Corbières.

http://soyeuse.free.fr/2007/702/23/peyre/2358.jpg

23 février 2007. Je mime un avatar de la statue de la liberté et il y a des voiles dans le paysage.

Je connaissais Corinne depuis quelques mois. Pendant mon séjour à Montréal en mai 2007, elle m’avait envoyé un texte à traduire pour son site : “Corinne learns paragliding” avec des photos. A mon retour en juin, je l’avais accompagnée au décollage de Montmin et j’avais été complètement émerveillée par le ballet des parapentes. J’avais mis le doigt dans un engrenage qui me happa complètement.

Dans ma jeunesse, j’ai eu une passion dévorante pour l’alpinisme, qui orienta toute ma vie. Un peu plus tard, ce fut la moto - qui me permettait d’aller grimper en faisant fi des bouchons du dimanche soir - et naturellement je fis de la compète, en construisant moi-même mes machines.
Maintenant c’est la passion du parapente, qui me permet de revenir à l’alpinisme. Inconvénient : l’audace et l’engagement sont presque les mêmes qu’à 25 ans mais l’âge m’a rendue fragile et j’en suis déjà à 3 fractures.
Je ne sais pas si à 70 ans je me mettrai avec passion au tricot, aux confitures et à l’élevage des chats, cela m’étonnerait beaucoup.

Salut et fraternité*

Moi j avais assez peur mais le fait d aller à aiguebelette l’été et de voir toutes ces voiles en l air !!! :jump:
Alors je suis monter voir au déco, à force d y aller, de parler avec des parapentistes je me suis rendu compte qu il y avait de tout des hommes , des femmes , des jeunes , des vieux , des chevelus , des grand , des petit et je me suis dit pourquoi pas moi!!!
Sachant que j habite à 15 min du déco !!!
Je me suis donc offert un bi place et la :shock: :pouce: :ppte: :ppte:

C était parti mais bon je suis très novice et je vais donc y aller doucement histoire de pas me faire peur et tout revendre !!!

et bien moi, je passais mes étés justement à aiguebelette, mes enfants étant petits, ma belle famille habitant les environs.
au bout d’un temps, j’en un peu soupé de passer mon temps dans l’herbe et de barbotter dans le lac, alors que je voyais bien les ailes décoller, aller au grille pain et aller / retour; et je me suis dit : tiens, si je faisait un tandem ?
j’ai fait un bi, moi j’ai tout aimé, du vol tranquille jusqu’a la descente 3-6; je me suis dit : je vais me faire un stage init avec l’école.puis j’ai mis les bouchées doubles . puis triple .
mais je me souvient encore de la montée au déco pour faire le 1er grand vol… ça parait long les rots au début ROTFL

c’est vrai ! je me souviens de la rotation pour mon premier vol … plus un bruit dans le camion- ce qui changeait énormément des 2 jours passés- , et mon dieu, que c’était long ce chemin !
Après …l’extase :slight_smile:

nous justement pour le 1° vol on etait tous si angoisse qu’on n’a pas arrete de parler ( de tout de rien /sexe/fric/aucun temps mort) mais on savait que c’t pour faire passer cette satané boule au ventre :affraid:

et ensuite une fois posee :ppte: :ppte: :ppte: encore encore

J’ai commencé (très) tard a 56ans (2006), apres avoir fait moi aussi bcp de moto… En juin au cours d’un repas de skieurs ,un copain me dit " je vais voler en parapente cet aprem ." Waouh , ça doit etre chouette , j’ai toujours eu envie de voler , c’est ou ?"
J’ai pris rendez vous avec mon club ecole , la semaine suivante, j’avais une “bache” pour faire du gonflage , l’année suivante j’ai acheté une apco allegra+ selette + secours a un gars qui arrêtait( :coucou: Pico) .
Depuis j’ai plus arrêté sauf le temps de consolider une double fracture des malléoles en 2007 (attero rugueux), et- les ligaments croisés en 2008( au ski) ,
Mon objectif était d’être autonome a la retraite pour voler ensuite autant que possible :wink:
Brevet en 2009( achat de la Faĩal), BPC 2010, Accompagnateur club en 2011, animateur prévu en 2012.
Je prend une de mes voiles partout où je vais , mi janvier j’étais en Andorre(ski) , en novembre a la Réunion(magnifique ), début février je serai a Valmorel :wink: pour skier bien sur ( sport que j’ai commencé a 10ans )et j’espère voler sur la station .
C’est moins facile de débuter le vol libre tard : ressenti, compréhension proprioceptive etc j’ai bien galéré au début.
Depuis j’ai volé sur de nombreux sites en Europe , au Maroc , a la Réunion
Merci a mes amis moniteurs(trice) de Cap en Ciel Waggaclub ( :coucou: Claude, Alain , Cathy) . Ici nous volons en plaine sur des petits sites entretenus par nos soins et que notre voisin le Vautour connait bien ! Mais aussi a Millau , dans les Pyrénées (Françaises , Espagnoles ), voir plus loin Dolomites , Maroc , Corse , Reunion selon les opportunités

salut a tous

moi j ai voté “deja passionné par un autre sport aérien auparavant”…

lorsque je suis né mes parents n avaient pas de voiture, juste un avion de construction amateure offert par un ami pour leur mariage (un émeraude, avion leger en bois et toile), j’ai donc fait mon baptême de l’air a 9 mois sur les genoux de mes parents : et oui pour voyager on avait pas le choix, ça devait être folklo avec la chien et le chat!!!
j’ai ensuite commencé a apprendre a piloter ,un stage de pilotage avion a 9 ans (le “pinch hitter”, c 'était une sorte de securité : en gros apprendre a poser un avion si les parents avaient un malaise). A 14 ans j’ai commencé le planeur, mais je ne suis pas allé jusqu’au laché : j’ai découvert le snowboard et le skateboard et l’ambiance du club ne me plaisait pas.Vers 20 ans je me suis remis tranquillement à l’aéromodélisme planeur pendant une petite dizaine d’années jusqu’à faire un peu de compete ( on avait des petits planeurs de 300 g qu on lançait à la main pour chopper les bullettes en dessous de 50 m d’altitude.)
j’ai laché l’aéromodélisme vers 2010 lorsque je suis revenu vivre en montagne.

Je ne m’étais jamais trouvé attiré par le parapente avant l’été dernier, mais le vol a voile a décollage a pied m’avait toujours fait rêver : ce que je voulais c’était pratiquer le vol a voile sans les contraintes du planeur. En y réfléchissant apres coup le parapente était évident et j aurais du y venir plus tôt…
j’ai donc fait mon stage init en aout, débarrassé un pote de son matos et maintenant je voudrais voler tous les jours…

Des points communs avec certains… Toute petite je rêvai de voler, mais naturellement, par méconnaissance du reste, c’était l’avion qui incarnait ce rêve. Trop cher, bien sûr, et le planeur aussi. Mais un rêve d’enfant, ça dure toute la vie, sinon c’est vraiment triste de grandir.

Eté 1990, il me semble. Je suis avec l’homme de ma vie et un autre couple en vacances motardes en Auvergne, et comme tout bon motard, nous payons le péage pour monter au Puy de Dôme, voir si de là-haut les volcans sont beaux. Et là-haut, quel spectacle ! Des conditions sûrement excellentes, un ballet aérien, des parapentes partout, qui décollent, font un petit tour au-dessus, se reposent au sommet, recommencent. On s’est regardés, V. et moi, la même pensée nous était venue en même temps : il faut qu’on essaye ce truc !
De retour de vacances, on se glisse dans des après-midi d’initiation proposées par la fac, je découvre que voler en vrai c’est comme voler en rêve ! Et puis achat d’une voile pour deux, et voilà, jamais arrêté depuis. :soleil:

Au début un rêve de vol bras ouvert au dessus d’un champ d’herbes vertes tout en douceur , deux nuit de suite je m’en souvient comme hier .
Peut-être parce qu’a l’époque j’habitais juste à coté d’un pré en pente ou j’ai appris à skier j’ai 7 ans.
Depuis cet age la je suis passionné de tout objet volant malgré une famille non pratiquante :diable: Beaucoup de maquettes et de modélisme volant et non volant dès l’age de 10 ans.
Je découvre le parapente en 90 et fait dans la foulée fait un stage init en 91 au printemps.
Et là …magie de ce rêve revenu sous la forme d’une pente école, quelques grand vol dès le troisième jour et puis du mauvais temps, un vol dans des conditions
bien trop forte pour un init, une pédagogie totalement absente,plusieurs aller et retour pour rien me font prendre conscience que c’est une activitée à risque
est qu’il faut y consacrer beaucoup de temps , beaucoup plus que ma profession et mes trois enfants ne m’en laisse à l’époque …
Donc fin du rêve , ou plutôt le rêve continue , mais le rêve seulement, ainsi les années passent et régulièrement je me dis que quand je s’rai grand…
Depuis deux ans la pitite dernière est sortie du nid et un petit vent de liberté souffle. Fin 2011 il y à trois mois je me décide pour un nouveau stage
20 ans après le premier. Quatre grand vol super à la fin du stage, un peu de trouille mais quel pied cette fois c’est décidé je continue , j’ai 50 balais cette année
et j’ai envie d’apprendre à voler car l’idée de faire des vols de durée me motive autant que le fait de comprendre et de m’apprivoiser à ce milieu totalement inconnu malgré sa proximité Si je laisse passer encore un tour ça risque d’être plus difficile tout de même… :grat:

Pas de souci ! On est encore jeune à 50ans.
J’ai débuté le parapente à 59 ans, à la sortie de 2 interventions chirurgicales majeures, et je connais un pépé de 82 ans qui a deux prothèses de genoux, une de hanche et une d’épaule, qui décolle comme un cochon et pose sur l’airbag, mais qui vole super bien entre les deux.
A 55ans, je dénivelais encore 800m/h et maintenant je suis contente quand je fais 500, ce qui reste honorable pour une vieille dame avec de la ferraille partout et 11 anesthésies générales en 6 ans.

Salut et fraternité*

Bonsoir,

Ce n’est pas l’âge qui compte, mais la motivation que l’on a dans la tête !
Une bonne condition physique, cela aide bien sûr, mais cela s’entretient.
Je vais avoir 65 balais en avril et j’ai toujours des projets de vols en haute montagne avec mes amis paralpinistes, alors…
Tant que mes jambes me permettront de monter là-haut, je continuerai, même si la cadence de montée n’est plus celle que j’avais il y a 30 ans (mais on continue à tenir des horaires corrects…).
Et le matériel ultraléger actuel aide bien les vieux “croulants” comme moi :lol:

A+ Marc Lassalle

Réflexions sur l’âge.

En septembre 2009, dans la descente de l’aiguille du Goûter - j’avais marqué un but - j’ai rattrapé un pépé qui tenait une dame âgée encordée, visiblement un guide et j’ai fait connaissance. C’était J.Louis Bernezat, un nom qui parle aux alpinistes de notre génération. J’avais parcouru pas mal de voies qu’il avait ouvertes et failli faire un stage avec lui, c’était Pierre de Galbert qui l’avait remplacé et qui plus tard me parraina au concours de l’ENSA.
A 74 ans, le petit père Bernezat venait de faire le Mont Blanc, avec montée par le Tacul et descente par les Bosses, une sacrée bambée comme on dit à Chamonix, et cela dans un horaire très honorable.

Je me rappelle aussi avoir rencontré Armand Charlet, tout à la fin de sa vie, au sommet de l’aiguille du Tour. Ce n’était pas un homme à rester à la maison quand il pouvait encore aller se faire plaisir là-haut, il était en compagnie du guide valaisan Joseph Savioz, que je connaissais, sinon je n’aurais pas osé aller l’emmerder. En allant saluer Savioz, qui m’avait fait signe, j’avais pu saluer Charlet d’un “bonjour monsieur Charlet”.

Marc se rappelle sans doute aussi que Paul Beylier fit la Walker à 72 ans. Pour l’avoir faite à 24 ans, je suis restée admirative parce que ce n’est pas vraiment à vaches.

64 ans cet été, et plein de projets dans la tête quand les jambes auront retrouvé un peu de vigueur. Le coeur est parfait, le souffle excellent et la santé en béton, qu’importe l’âge ? J’ai un copain / devenu copine qui passe sa retraite entre ses petits-enfants, son jardin, ses confitures et ses chats. C’est une autre manière de vivre l’âge, ce n’est pas la mienne.
Je préfère l’idée de mourir en montagne que sur un lit d’hôpital, “face au cancer par arrêt de l’arbitre” comme chantait Brel, mais on ne choisit pas.
On peut au moins choisir sa manière de vivre, quand on veut exister.

[quote]Et Akaki Akakievitch mourut, sans avoir existé. (Gogol / le Manteau)
[/quote]
Tout le monde sait que je suis trans et je n’en fais pas mystère. Le Dr Ménard, de Montréal, qui me “répara” parce que j’avais été très mal opérée à Francfort, me disait avoir opéré une dame de 81 ans… qui avait attendu pour ça le décès de son épouse. Des esprits étroits pourraient ironiser, mais je trouvais comme Ménard que c’était magnifique.
Il n’y a pas d’âge pour se réaliser, l’important est d’être soi-même.

Salut et fraternité*

trés vrai dans ce que tu dis pob :wink:

                                  vraiment bien ce post................. karma+  :bravo:  :bravo: ..... :trinq:

j’approuve ce que tu dis viviane :pouce:

:vol: C’est bien ça qui m’interpelle…aucune chance de voler chez nous dans ce plat pays! et pourtant c’est arrivé…un mélange de circonstances,de rencontres,de hasard mais avant tout ce rêve de voler que beaucoup d’êtres humains ont désiré sans jamais l’atteindre…je dirais donc un rêve achevé bien qu’éphémère…

[quote=“Paragliding old bag,post:35,topic:38431”]
Réflexions sur l’âge.

Je préfère l’idée de mourir en montagne que sur un lit d’hôpital, “face au cancer par arrêt de l’arbitre” comme chantait Brel, mais on ne choisit pas.
On peut au moins choisir sa manière de vivre, quand on veut exister.

Il n’y a rien à rajouter si ce n’est Oui ! karma+