débuter, les PT?, de l'autonomie etc ...

#61

tout à fait d’accord.
je pense être plutôt dans la moyenne haute pour ce qui est vitesse d’apprentissage (mais loin d’être un OVNI) et j’ai pas encore vu tous les points évoqués ci-dessus en stage. pas encore eu le temps de tout voir. j’ai 16 vols en stage et 4 solo au compteur. (dans l’ordre : 4 en stage, 1 en solo, 12 en stage, 3 en solo).
donc zig, oui je dirai même une bonne vingtaine de vols sont nécessaires si tu apprends vite pour voir les techniques de base du pilotage. (ceux qui volent dans les alpes nous diront que leurs ploufs durent le temps de 10 vols en plaine et que leurs vols comptent donc plus et que du coup en 4 vols tu as le temps de tout voir :clown: )

à ce stade , je me considère comme capable de faire un vol solo sans assistance en conditions optimales de vent sur un site connu en respectant les priorités (quand je ne suis pas fatigué et que je n’ai pas de souci au boulot à coté. j’ai raté plusieurs occasions de vols car je n’étais pas mentalement prêt à voler).
mais je sais que je n’ai pas encore appris toutes les manœuvres de base que peut faire ma voile (et que je dois connaitre avant de m’envoyer en l’air dans des conditions moins optimales)

il m’a fallut du temps pour admettre çà… l’an dernier, après mon 2ième stage ca y est j’étais le dieu du ciel. j’ai pris le temps d’analyser mes faiblesses et lacunes et je sais que j’ai encore un long chemin à faire avant d’être autonome (ca va faire plaisir à mon moniteur s’il me lit… maintenant je l’écouterai quand il me dira quelque chose à la radio au lieu d’en faire qu’à ma tête :oops: )

#62

Salut,

Moi j’ai direct pris un forfait 60 vols …pour l’instant j’en ai fait 30 et je me vois pas trop être sans mono pour le moment…même si ma radio est silencieuse … (hors exercices).

Je fais également ENORMEMENT de gonflage donc pour moi un face voile/dos voile ne me pose plus de preoblème .

Donc je pense qu’après 60vol, et casiment le double d’heure de gonflage . Je serai pret à voler en autonomie avec un ami plus expérimenter que moi

@+

#63

:dent: :+1: :+1:

#64

encore une fois !!! c’est bien !!!

mais que peut on dire d’une personne qui va faire 100 vols de soaring et 100 vols en thermique ?

qui va voler seule ou accompagnée de copains qui ont une certaine maitrise du parapente ( c’est a dire be fédéral ou encadrement de club )

donc pas forcément de généralité …

Et ceux qui pensent savoir …

#65

effectivement pas de généralité…mais il est mieux de voler seul, comme kk, à 60 vols que comme d’autres à 4 vols…

#66

C’est sûr… maintenant kk il faut reconnaître que tu es particulièrement privilégié en ce qui concerne ta formation. Rares sont ceux qui peuvent se le permettre, tant pour des raisons financières que pour des raisons de mobilité et de disponibilité.

Je suis exactement dans le même cas que Step: une vraie volonté de voler sans pour autant pouvoir faire 60 vols encadrés. Du coup oui, formation, c’est clair, et puis après une quinzaine de vols en école (stages init et perf1) j’ai acheté le matos, bouffé du gonflage, et suis parti faire quelques vols en autonomie complète, avec les amis en liaison radio pour me narguer quand je plouffais pendant qu’ils enroulaient (du léger, je rassure!).

Une remarque: l’accent est souvent mis sur le décollage. N’oublions pas l’atterrissage, et comme le soulignait l’un d’entre vous, la bonne évaluation des conditions pendant le vol pour atterrir en sécurité et avec précision. Du coup choisir également un site de vol pas qu’en fonction du déco, mais aussi de l’atterrissage: dégagé et suffisamment grand si, comme moi, on est pas d’une grande précision. Par contre bien évidemment, la construction de l’approche est à maîtriser, quelle que soit la taille de l’atterrissage: ca fait aussi mal de poser vent de cul sur un aérodrome que dans un mouchoir de poche!

#67

Oui mais c’est un choix après…le site où je vole en hiver m’est accessible en train en 45 min ( roquebrune).
Et le financement, bas j’ai bosser pdt 2 ans entre garde d’enfant, pelouse, peintures et lavage de voiture…
Mais prendre prendre un bonne formation était pour moi surtout de convaincre mes parents qu’on n’est pas des fou volant :roll:

@+

Ps: Pleins de club propose des forfaits "encadrement+perf "pour ceux qui sont déjà initier à des prix très intéréssant :wink:

#68

Oui, c’est ce que j’appelle être privilégié! :wink:

#69

Le mieux pour bien apprendre serait peut être d’arrêter le système de stages d’une semaine ? J’ai commencé par un stage init d’une semaine, comme tout le monde, puis j’ai continué avec un stage perf. Ensuite, je me suis inscrit dans l’école près de chez moi, où les monos prennent en charge jusqu’à l’autonomie. A la première séance, j’ai compris que le stage perf ne m’avait pas servi à grand chose.
Je savais pas gonfler face voile, pas faire une belle approche… J’ai mangé du gonflage, fait des dizaines de vols de moins de 2min et mes premiers soarings et thermiques.5 mois plus tard, j’étais lâché comme “pilote autonome en thermique”, avec le brevet B.
Je suis peut être aussi un peu privilégié aussi, vu que je suis étudiant (plein de temps pour voler), que les sites sont assez proches, et que je vole souvent avec mon mono qui me donne des conseils par ci par là, sur la stratégie de vol notamment…

Cette façon d’enseigner (par “forfait illimité jusqu’a autonomie”) est amha plus efficace et safe que de faire des stages d’une semaine, espacés souvent de plusieurs mois.Par contre, ça paye beaucoup moins pour les écoles… Quoi qu’en pensez vous :mrgreen: ?

#70

C’est sur que niveau rémunération c’est pas ce qu’il y a de mieux mais la structure que je connais fait des forfaits 15 vols avec retour en pente école encadré à volonté, les 15 vols sont utilisable par le pilote quand il le veux, et niveau pédagogique çà donne des pilotes dans l’ensemble assez sécurit avec un bon bagage théorique.
Après il y a qqs clubs autour qui prennent le relais avec pas mal de Pilotes passionnés et de bons conseils.

#71

Ouais, c’est très bien comme formule. D’ailleurs si j’avais à conseiller quelqu’un pour apprendre (un peu sérieusement), je l’enverrai dans ce type d’apprentissage. Je connais des gens qui ont très bien progressé comme ça.
Après ya aussi des gens qui veulent se payer une petite semaine de vacances en été à la montagne mais leur objectif est plus de voler encadré en vacances.

Après, pour le gonflage, je pense que trop peu de gens en club en font (dans le mien, ils commencent à s’y mettre un peu). C’est souvent sous-estimé dans les formations (sauf chez Clo) et beaucoup pensent qu’il faut aller à la dune pour s’amuser en gonflant. Rien qu’à Gensac, quand c’est trop fort au déco, rien n’empêche de se faire une petite session suée à l’atterro.

#72

A Arbas avec Pene-air on en a bouffe du gonflage. Au debut du perf1 il etait tellement pas content des decos qu’il nous a renvoye directement en pente ecole … on etait pas content.

Il est top, peneair :pouce:

#73

j’aime bien ta nouvelle coupe Aki! :sors:

#74

[quote] Après, pour le gonflage, je pense que trop peu de gens en club en font
[/quote]
Yep, beaucoup de pilotes considèrent ça comme quelque chose de rébarbatif… Ca me saoulait aussi d’en faire, jusqu’au jour du déclic où on se dit “tiens, c’est marrant en fait”.En plus ça permet de faire des manoeuvres qui pourraient être risquées en vol, tranquillement les pieds par terre, donc que demande le peuple ? :mdr:

#75

Ouais Richard est top pour tous les niveaux :pouce: Mais ce type d’encadrement très personnalisé ne rempli pas trop le porte monnaie non plus.
Sinon, ouais le gonflage, bien qu’on ne vole pas, c’est quand même du pilotage. Tu peux faire tes premiers décro les pieds déjà par terre :stuck_out_tongue: Et bien d’autres choses …

#76

J ai commencé par un stage d’une semaine fin 2007 avec 2 ou 3 mois de gonflage et quelques poufs ma voile était vielle 10 ans et très lente.
j ai changé de parapente qui m’a permis de faire mes 100 premières heure de vol en 2008.
Mais plutôt qu’un stage perf, j’ai choisie un stage de pilotage avec K2, 5 mois après mon initiation. Je ne le regrette pas, au contraire ca ma permis de connaitre ma voile dans ces retranchements et ces réactions face au surpilotage.
Pour la suite, il suffit de s’entourer, de bon pilotes pour la progression ca aide.
et le gonflage j’en fait encore, différemment du début (vol combiné au gonflage) sur des sites du jura, similaire a la dune du pylas.