avec la diminution de la charge alaire, la polaire des vitesses se déplace vers la gauche (et donc la vitesse de décro diminue) : OK
donc ça veut dire que le poids étant très faible (voile plus les suspentes ~5-6 kg => charge alaire quasi nulle), on peut avoir une vitesse de décro ~0 ?
deco face voile
Je te taquine Benhoit, 
Mais là, la connerie-dite est d’importance … autant que la différence entre poids de la voile (+ suspentes) et PTV (poids total volant) qui même au sol est de …? mais dans tous les cas bien au-delà du poids de la voile (+ suspentes)
il y a des cours de méca-vol à reprendre.
Bonne aprèm ! 
une petite chose: ça n’est pas pareil de garder sa voile sur la tête que de la charger pour décoller 
ben justement je voudrais bien comprendre … et là je comprends pas ce que tu dis wowo ??
c’est bien ce que dit Brandi non ?
[quote]le vent mini doit être au moins la vitesse de décrochage pour une charge correspondant au poids de la voile plus les suspentes.
[/quote]
et je ne vois pas quelle est la charge alaire puisque tu reposes sur tes 2 pieds au sol (si tu as la voile au dessus de la tête, tu ne lui applique pas de charge non (ou très très peu ?) ?
bref je comprends plus rien (et ça se voit visiblement) !
bon et je suis désolé mais est-ce qu’un gentil modo pourrait déplacer ses considérations dans un fil plus approprié avec un titre attirant pour les pros de la mecavol ?
En plus je sais toujours pas si je dois freiner ou pas quand le vent est faible 
et je ne vois pas quelle est la charge alaire puisque tu reposes sur tes 2 pieds au sol (si tu as la voile au dessus de la tête, tu ne lui applique pas de charge non (ou très très peu ?) ?
bref je comprends plus rien (et ça se voit visiblement) !
[/quote]
Ce que dit Brandi est incomplet. Ce que dit Brad-Pitre est plus près de la vérité :
Et encore incomplet dans l’absolu, puisque pour l’élever et la garder au-dessus de la tête, déjà et qu’importe dans quelle proportion (je n’ai pas de chiffres précis à proposer) on charge l’aile avec la résistance de notre poids à son envie de partir avec le vent. :grat:
Je crois, en toute sincérité, que si le sujet t’intéresses tu ne couperas pas à une relecture de ceux que des vrais Pro. du parapente (du vol-libre et ma foi du vol tout court) et de la pédagogie ont pu écrire à propos. Le manuel du Vol-Libre de la FFVL n’est pas plus mauvais que d’autres ouvrages sur le thème pour y trouver la lumière. 
Bonne lecture !
P.S. : Idem pour Gandrel,
ben j’entends ce que tu dis et ce que dit brad … mais :
garder l’aile au dessus de la tête, ce n’est pas la monter ou la charger pour décoller ? il y a bien un moment (transitoire certes) ou elle n’est ni devant ni derrière et tu ne la charges pas (ou très très faiblement par la tension dans les élévateurs) ?
la question est bien : comment calculer le vent (même approximativement) le vent nécessaire pour garder l’aile sur la tête en gonflage statique ? et selon ce vent dois-je lui appliquer du frein ou pas ?
je ne suis pas sur de trouver la réponse dans le manuel du vol libre (et encore moins dans un manuel de vol tout court puisque nous sommes les seuls à “gonfler”) car c’est un point de mecavol bien spécifique.
faut pas trop calculer, faut exercer ton instinct de pilote :bu: à 10 km/h si ça baisse, tu vas devoir freiner un peu pour augmenter la portance, si ça force mettre bras hauts. Ensuite tu règles aussi tes pas, plus vite si ça baisse, quitte à rester sur place si tu as trouvé l’équilibre ou à reculer lors d’une rafale. 
@ Benhoit,
Tu à une question, le problème est que pour avoir une réponse il te faudrait une floppée de capteurs pour obtenir les données instantanées de force, vitesses et etc. et un super-calculateur digne de la NASA pour te donner un résultat. :shock:
Le parapente est au-delà des notions théoriques nécessaire à connaitre, aussi une activité ou nos sens sont primordiaux. :shock:
Encore une fois, l’explication de Brad-Pitre est très pertinente. 
Il y a déjà longtemps, un copain s’était équipé en premier de notre groupe avec un alti-vario et il était persuadé que c’'était l’outil ultime pour réussir ses atterrissages (en particulier aux déco) Résultat, il à fini par se faire mal avec son approche par trop cartésienne. :grat: [size=10pt]=[/size] :affraid:
Si tu ne saisis pas l’idée de mon exemple, je n’ai pas de meilleure solution à te proposer que lire et relire encore le manuel du vol-libre. :bang:
Peut-être que ton appel aux Pro du forum trouvera une oreille, je te le souhaite, moi je ne vois pas comment mieux t’expliquer que, dès que tu es à l’autre bout de tes suspentes par rapport à ta voile, celle-ci subit une force (Poids = Force x 9,81 (attraction terrestre (g))) et qu’il faut te disputer avec ces notions théoriques (et sans doute un peu abstraite) pour qui et quoi provoque quoi et qui permet à la voile de rester au dessus de nos têtes.

Ok ça répond a mes question instinctives 
Coté théorie ça a l’air effectivement compliqué :ppte:
La minute cyclopède …
ou tu vois une charge alaire quasi nulle ? , 5-6kg il faut tout de même un peu de vent pour creer cette portance ,sans compter que la trainée même diminuée n’est pas négligeable.
la vitesse minimum du vent pour sustenter dépend du poids/surface de la voile et de la somme des différentes trainées .
Je fais des jeux au sol dans le vent faible et sans sellette , il faut une faible tension dans la main qui tient les élévateurs pour que sa tienne (environ 300g) , pas facile de dire à combien est le vent mais c’est inférieur à 10km/h
Dans ce cas la meilleure position des freins c’est à finesse max (pratiquement rien sur les voiles récentes) , étonnant non ?
Bonjour,
Avec un faible vent, tu freine quand la voile descend en reculant si possible, cela crée de la charge et elle remonte, tu doit alors soulager les freins pendant la remonter et freiner quand elle est au-dessus de ta tête pour ne pas qu’elle ne te dépasse. Par faible vent, c’est le plus difficile à maîtriser. :vrac:
Dès que le vent est un peu supérieur, cela devient plus facile. L’idéale est d’avoir un vent régulier pour commencer et d’y passer des heures…
Bon vol et gonfalge, Jean-Nono :ppte: