OK, je comprends aussi la Raison du litige persistant:
je parlais de mon coté de la première ramification, la patte d’oie du bas 
Je ne crois pas que le vrillage dépasse cette première patte d’oie. SORRY !
Delta 2 ozone
A vrai dire, moi aussi.
Si je comprends bien, il s’agit d’un vrillage des suspentes hautes. Je n’ai pas encore eu affaire à ce problème, mais une question me vient :grat: : il n’y a aucune différence entre les suspentes hautes des freins et les autres (des lignes A, B, C), alors pourquoi ce pb est il constaté que sur la ligne de frein.
Je me doute que certains seraient tentés de répondre que l’effort y est sûrement moins important mais je viens tout juste de remplacer le cône de ma voile et à ma grande surprise, j’ai constaté que les encrages de ligne b (sur les passants de la voile) était assez ‘lâché’ par rapport aux autres lignes (freins inclus) qui étaient très serrés pour la grande majorité. J’en ai conclu que finalement la ligne b (sur la m6) portait assez peu de charge. (J’ai toujours cru que l’essentiel de la charge était réparti sur les A et B).
En tout cas, aucune suspente haute (freins inclus) ne présentait de vrillage.
Après c’est certain que entre ce que j’ai vu, ce que je me rappelle, ce que j’en pense, ce que j’écris et enfin ce que vous comprenez ; la communication par clavier et sans images précises n’est pas chose facile tout le temps.
Donc si maintenant vous voyez ou se situe le souci, vraiment sur les suspentes haute et extérieures de la ligne de frein, celles fixées au bord de fuite.
Au moment de faire les oreilles, les freins totalement relâchés poignées au poulies. Ces suspentes de mémoire que les extérieures, se vrillent jusqu’à tire-bouchonnées créant ainsi une boucle en haut d’un toron plutôt rigide et c’est sur ce brin rigide que viennent s’enrouler une ou des boucles des suspentes hautes du “suspentage” détendues par le fait de faire les oreilles.
Comment le relâché des oreilles se fait avant de remettre de la tension sur les freins, les suspentes “suspentage” se resserrent sur le brin rigide de la suspente “frein” tire-bouchonnée. Le fait que en se tire-bouchonnant, elle s’est créée une boucle en extrémité ne va que faciliter la création d’une clef indéfaisable, car.
Tant que l’on n’est pas sensibilisé et attentif à la possible survenue de ce phénomène. La première réaction est, quand une oreille ne veut pas s’ouvrir de façon autonome, de pomper profondément du coté rétif.
Justement l’erreur alors à ne pas faire car le fait de tirer sur cette suspente de frein toronnée avec sa boucle en extrémité sur laquelle se sont enroulée(s) et resserrée(s) une ou des suspente(s) du suspentage de plume, va donner exactement l’effet de serrage qu’on provoque quand on réalise une épissure quand on tire la boucle dans la réalisation d’une surliure (même si en l’occurrence ce n’est pas le même brin qui réalise le serrage). Ici on force la boucle au bout du brin créé par le tire bouchonnage de la suspente “frein” à passer à travers la “surliure” réalisé par la ou les suspente(s) “suspentage” enroulé sur le dit-brin.
Pour avoir vu de visu la clef réalisée et le boulot pour la défaire au sol ; il n’y a aucun espoir de la défaire une fois qu’elle s’est serrée.
Je pense que l’on peut que (si on persiste à faire les oreilles en sachant que le souci potentiellement existe) d’abord impérativement regarder son suspentage avant de relâcher les oreilles. Si l’on soupçonne que la situation “pré-clef” est présente (suspente frein tire-bouchonnée et suspente(s) autre(s) enroulée(s) autour) On peut “tenter” de retendre délicatement la ligne de frein tout en ayant les oreilles encore en place (suspentage de plume encore détendu) en se méfiant du risque de décrochage. Pour ainsi, avec la tension dé-tire-bouchoner la suspente de frein et la sortir d’entre les boucles des suspentes “suspentage”. Ça une fois réalisé et sans relâcher la tension minimale pour l’empêcher de re-tire-bouchoner, on peut relâcher l’oreille en question.
Puis je pense, remplacer au plus vite la suspente concernée, au risque que la nouvelle fasse de même au bout d’un certain temps si on ne sait pas ce qui provoque ce curieux phénomène.
ça mériterai un fil dédié
J’ai testé une d2 la semaine dernière, si j’avais su ça j’aurais évité de faire les oreilles!!! :affraid:
Wowo ce que tu raconte sa c’est produit combien de fois? A chaque tirage d’oreille ou juste une fois parce que quand meme c’est vraiment pas de bol qu’un bout de suspente puisse venir faire une clé comme ça en l’air!
Perso, je ne l’ai vu qu’une fois. Le pilote concerné à parlé de plusieurs fois. D’autres pilotes présents et volant respectivement sous D2 et Alpina 2 ont parlé que cela leur était aussi arrivé, l’une ou l’autre fois’ mais pas dans les mêmes proportions de cravate. Le pilote du jour avait remonté l’info vers Ozone-F mais sans obtenir de réponses probante ni sur les causes, ni sur les solutions (si ce n’est de changer les suspentes incriminées)
C’est vrai que cela mériterait un fil dédié mais mon idée en posant la question, c’était surtout de voir combien parmi les pilote de D2 présent sur le fofo ont rencontré pareil phénomène (qui était aussi une première pour moi)
Il est certain que ce n’est pas une marque voire un modèle qui est la “cause” et certainement que le problème a déjà du se poser à d’autres sous d’autres voile. (un peu comme l’histoire des drisses de frein qui s’usait dans les anneaux d’un modèle d’une autre marque)
Ce qui serait surtout intéressant, ce serait surtout d’avoir des hypothèses plausible sur le pourquoi et peut-être à partir de là comment y remédier.
Après, faut bien admettre que les témoignages ne se bousculent pas, pas plus que les avis des spécialistes dans le domaine de la conception/confection/révision/réparation de nos suspentes présents sur le forum.
Pour ma part j’ai fait ce que je pensais utile, en soulevant un incident constaté de visu et qui aurait pu conduire à un accident très sérieux. Je ne peux pas rajouter constructivement plus à ce que j’ai déjà écrit et de ce fait, je vais en rester là. En esperant ne pas lire un jour sur ce forum qu’un tel accident grave serait arrivé avec comme cause un tel incident. Moi de mon coté, je vais surveiller plus attentivement mon suspentage si il m’arrivera de faire les oreilles.
Convaincu d’autant plus qu’il est vraiment à déconseiller d’user des oreilles trop près du sol. Si jamais cela part en auto-rot ou en vrille du fait d’une cravate, il vaut mieux encore être à une hauteur acceptable pour y trouver un palliatif (contrer et finir dans les arbres en ligne droite ou faire… secours) Et cela comme dit précédemment qu’importe sous quelle aile on vole.
:canape: Bonne soirée
Petite correctif ; le pilote en Alpina 2 n’a pas connu cette expérience. Il pense que du fait de son tissu léger, l’Alpina flappe moins que la D2 et que ceci pourrait expliquer cela.
:sors:
Il ne reste que les émerillons au bord de fuite alors …
Non franchement, c’est un mystère.
pour ceux qui ont fait révisé leur Delta2/Alpina2 :
Le calage avait-il bougé? de beaucoup?
Bonjour, j’avais tous mesuré à 80 h pour avoir une référence avec laser ,cible et peson. J’avais contrôlé à 200h, pas bougé, j’ai contrôlé à 280h, pas bougé également. Quand je dis pas bougé c’est 3mm par ci, 3mm par la. Comme elle gonfle toujours bien, même vitesse , même performance que l’alpina 2 neuve d’un copain, je pense que rien n’a bougé. Maintenant, on peut s’habituer à un décalage sans s’en rendre compte. Pour la résistance j’en sais rien, qu’ont donné les tests d’usure chez les pros. 720 euros le jeu complet…
Aujourd’hui 6 h 30 de vol, des petards à n’en plus finir, une demi aile, la norme des jours froids du printemps . Je pense que le calage n’a pas bougé.
Oui chez moi il avait beaucoup bougé mais j’ai contrôlé sur le tard vers 200h