T’as qu’à aller sur FaceBook :mrgreen:
Désolé Hors sujet :oops: :sors:
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j’ai pas d’ ipod :sors:
Yop 
Ben tiens voila une question intéressante, faut il développer l’activité ?
Perso je pense que oui, plus de monde c’est plus de poids pour défendre nos espaces de liberté, plus de moyens à la fédé pour développer des actions (formation, amélioration du cadre de pratique (sites, etc…),…). Si l’activité progresse c’est aussi une plus grande dynamique des constructeurs, donc progression du matériel, baisse des coûts (on peut toujours rêver :mrgreen: ). Tiens à titre d’exemple (en interne) la demande de matos léger a fortement progressé ces dernières années, du coup un groupement de constructeurs a réussi a avoir un tissu ultra light, développé spécialement pour faire des secours à 1 kilo (ou un truc comme ça). Cela n’aurait pas été possible si la demande de matos light était resté aussi marginale qu’il y a 7-8 ans.
A contrario, une stagnation ou une baisse du nombre de pratiquants, pourrait nous conduire à la situation du delta, peu d’évolution, perte de sites de vol (par manque de dynamique locale) et tout un tas d’autres choses qu’on ne mesure certainement pas bien.
Le problème à l’heure actuelle serait de s’entendre sur un “état général” du vol libre, pour voir qu’est ce qu’il faut développer en premier (la formation, le recrutement, etc…), malgré le travail qui avait été lancé (états généraux) je n’ai pas vu de grosses évolutions, ni propositions (faut dire que les résultats sont tombés au mauvais moment :? ).
++
Quand on vole par chez nous (Vichy Clermont) et qu’on a un travail donc pas trop de temps il n’y a qu’un site: le Puy de Dôme !
Là, on laisse sa voiture en bas et on monte en stop avec les touristes sympas et viennent les deux questions rituelles: est-ce que c’est dangereux ? on vient d’évacuer cet aspect des choses sur les 253 posts précédents … et la deuxième : Est-ce que c’est difficile !
A la lumière de mes multiples expériences aéro je leur réponds : non ce n’est pas difficile, le niveau de technicité et le plus bas de tous les aéronefs … en revanche ce qui va être difficile c’est de vous retrouver dans un environnement où plus rien n’est stable et fixe, tout est mouvant. L’idée que l’on se fait du parapente “en bas” ne correspond pas à ce que vous allez vivre “en haut”. Et c’est là que ça va “trier” !
L’humains aime bien avoir du solide sous les fesses, même dans le plus petit avion tu as le cul sur un siège environné de structures dures. En parapente, rien, que du ciel et des trucs mous sous un chiffons qui n’arrête pas de s’agiter.
Je pense qu’à cause de ce facteur, plus le facteur mode/tendance, on a atteint un pic de fréquentation il y a déjà quelques temps. Le parapente n’est pas fait pour tout le monde …; et c’est tant mieux ! La masse amène la législation de masse !! :evil:

Tu viens de résumer en une courte phrase ce que j’allais répondre beaucoup moins adroitement. Avec la masse, c’est toutes les tendances plus ou moins cool (consumérisme, déresponsabilisation…) de la société qui s’introduiraient dans notre petit monde…
Après, l’exemple du matos léger montre aussi qu’on arrive, à notre petite échelle, à faire évoluer les choses dans un sens qui nous convient.
[quote]Avec la masse, c’est toutes les tendances plus ou moins cool (consumérisme, déresponsabilisation…)
[/quote]
Bah désolé, mais tous ces aspects se retrouvent déjà, je ne crois pas qu’ils soient liés à la masse de pratiquants, par contre on a pas les avantages de la masse (défense des intérêts).
[quote]Après, l’exemple du matos léger montre aussi qu’on arrive, à notre petite échelle, à faire évoluer les choses dans un sens qui nous convient
[/quote]
Oui mais pour l’instant c’est “provisoire” (il n’est pas sûr que le fabricant continu à faire le tissu) et c’est à un coût assez élevé.
[quote]La masse amène la législation de masse !!
[/quote]
ça dépend qui a en main les destiné de l’activité (au niveau fédé), dans le contexte actuel je serai malheureusement assez d’accord avec toi 
++
Mon avis à deux balles… il doit y avoir un “seuil” critique a atteindre et a maintenir… en dessous il va nous arriver de dépérir, comme le délta… au desssu legislation de masse et augmentation mécanique du nombres d’accidents (commme bien expliqué plus haut)… bref croitre oui mais attention de ne pas dépasser un certain seuil… maintenant comment fixer ce seuil :grat:
Le fait d’être un sport aérien le rend par nature “inquiétant” pour le grand public. Tout viens de là… Je pratique aussi l’équitation, qui est aussi un sport dangereux. C’est le 3e sport de france en licenciés, (700 000) et la fédé est richissime (des permanants par centaines et des chevaux qui valent des millions d’euros), mais le genre de question que nous nous posons ici ne se posent pas là bas… le binz augmente, y’a des chevaux partout, y compris sur les routes, mais le grand public trouve ça “sympa”… alors que nous on est vu comme des inconscients… dommage.
Bah merde, v’là que je suis aussi d’accord avec toi! Bon ben je te laisse te mettre d’accord avec Lindbergh pour trouver la réponse que je sortirai si on me repose la question de Piwaille :mrgreen:
Ca me confirme dans ma première idée, à savoir que je serais bien incapable de dire si c’est bien ou non, mais qu’on sera jamais un sport de masses…
Je trouve la question très intéressante!
Cette été j’ai un peu été déçu par l’activité du parapente dans certains clubs *un qui se trouve en normandie où le moniteur fait des biplaces tous les wkds. Il gagne sa vie avec son école se qui n’est pas évident, mais c biplaces son devenu pour lui qu’un revenu il enchaîne biplace sur biplace se dépêche pour en faire le plus possible dans la journée, le contact avec ces passagers son assez bref et a peine atterri il repart avec un nouveau bi-placeur, alors que ça passagère avait envie de discuté un pti moment [pas non plus 3/4 d’heure] mais juste ce qu’il faut pour lui faire partagé ce qu’elle a ressenti durant ce baptême, et non lui lui dit qu’il a pas le temps de discuté et part avec un autre client!! Je trouve que ça donne une mauvaise image des parapentistes. *Et je suis passé a Annecy, l’aterro a doussard, c’est une vraie autoroute de biplace, par certain endroit ça devient business business. Si le parapente devient plus une question de bénéfice que de plaisir c vraiment pas TOP!
Je trouve qu’en générale l’ambiance des sites est assez familiale car nous ne sommes pas encore très nombreux se qui permet de discuter facilement et en s’échangeant quelques conseils…
Tout ce blabla pour dire que desfois le parapente pourrait rester “une activité confidentielle” ça éviterai a des personnes qui ne prennent pas cette pratique au sérieux et se lance au parapente comme s’ils faisaient du vélo!
En l’occurence, le danger pourrait bien être l’Europe et son cortège législatif normatif … Un jour on apprendra que selon les normes européennes nous devons répondre à tels et tels critères en matière de matériels, brevets, licences et assurances … et ce sera toujours vers le standard national le plus exigeant de chaque pays impliqué. Sachant que la France est un oasis de libertés aéronautiques … ça pourrait bien se compliquer pour nous !!
Sauf … si notre passion (re) devient ultra confidentielle ! Le prix du matos va exploser mais on ne “vaudra plus la peine” d’une législation particulière.
Nous retrouverons cette aura romantique des aventuriers qui volent dans le ciel et les gens nous adorerons. Les sites seront (encore plus) une attraction touristique du dimanche après le rôti/petit pois ! … et c’est très bon pour la drague ça le romantisme des aventuriers … d’ailleurs faut absolument que j’achète un long foulard blanc en soie … on lance un achat groupé ? 8)
Pas sur… voir la refonte des regles de circulation aérienne qui ont été harmonisée il y a un an et qui a considérablement assoupli les règles françaises…
alors j’ai peut-être encore perdu une occase de me taire !! :lol: … dommage j’aimais bien l’idée du foulard et des gazelles sur les bords des terrains … :bisous:
Les gens dont les premiers mots sont pour dire que le parapente est dangereux sont de toute façon des gens qui ne sont pas plus intéressés que ça par l’activité. L’image de notre sport, globalement bonne ou mauvaise, vous croyez vraiment que cela arrête ceux qui ont vraiment envie de tater du chiffon ?
La question est intéressante mais je crois que c’est une fausse question ou un faux problème.
Je pense que le coeur du problème réside plus dans les contraintes de l’activité. D’accord le matériel neuf n’est pas à la portée de toute les bourses, notamment des jeunes, mais quand on veut en faire on se donne les moyens en commençant par du matériel d’occasion par exemple et même en doublant ou triplant le nombre de pratiquants je doute que les prix diminuent de façon très significative.
Le matos est fabriqué en petite série, si il y a plus de pratiquants, il y aura tout simplement plus de nouveaux fabricants sortant toujours du matos en petite série du fait qu’ils seront plus nombreux sans forcément l’expérience des plus anciens.
Je suis pas sûr… quand tu vois le nombre impressionnant (50+ ?) de marques qui cohabitent déjà sur ce marché plutot restreint (au mieux quelques dizaines de milliers de voiles vendues par an dans le monde) et que tu compares par exemple avec l’industrie automobile qui est marché de masse par définition (plusieurs dizaines -centaines ?- de millions de véhicules vendues par an), il y a pas beaucoup plus de fabriquants pourtant…
La fabrication de parapente peut se faire dans une petite structure, voire toute petite, c’est quand même moins contraignant que la fabrication d’une bagnole. Il y a bien des constructeurs de voitures en petite série mais c’est plutôt pour la fabrication de modèles de luxe qui restera une “niche” viable.
Surtout il faudrait s’entendre sur ce que l’on appelle un fabricant de parapente!
si c’est juste sortir des modèles de voile que tu fais fabriquer en sous-traitance par des usines asiatiques, alors avec une bonne photocopieuse et un fax je peux demain me dire fabricant de parapente!
Si c’est avoir un bureau d’étude et de conception et une usine de fabrication en propre, y a déjà beaucoup moins de marques, non?
Au fait vous avez pas une idée de nom classe pour une marque, j’ai la gamme, en école une copie de la Golden2, en intermédiaire je fais un mix entre l’Aspen2 et la Kaïlash, en voile compet je pompe l’Icepeak XP et si avec ça les clients ne sont pas contents!
Le plus rigolo c est qu il y a plus de marque de parapente que de concepteurs de voile.
Certains bossent pour plusieurs marques … pas etonnant que certains modeles se ressemblent tellement.
oui … “fake” !!! :lol: :lol:
J’aurai dit 'trekking" mais je vais me faire censurer, alors je le dis pas :mrgreen:
J’aurais dit “PeneAir”, avec même un slogan hyper vendeur : “les voiles PeneAir, le panard en l’air !”
Ca tue, çà, non ? :mrgreen: